Profession Assassins Financiers

Publié le par Bernard Gasnot

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GOLDMAN SACHS – LA BANQUE QUI DIRIGE LE MONDE

Un documentaire très complet même s’il n’est pas dit que Goldman Sachs a également subventionné la campagne électorale de Barack Obama en 2008 à hauteur d’1 million de dollars…

Depuis cinq ans, Goldman Sachs incarne les excès et les dérives de la spéculation financière. Anatomie d’un pouvoir qui ne connaît ni frontières ni limites et menace directement les démocraties. Plus qu’une banque, Goldman Sachs est un empire invisible riche de 700 milliards d’euros d’actifs, soit deux fois le budget de la France. On l’appelle “la Firme”, comme dans les romans d’espionnage des années 1980. Après s’être enrichie pendant la crise des subprimes en pariant sur la faillite des ménages américains, elle a été l’un des instigateurs de la crise de l’euro en maquillant les comptes de la Grèce puis en misant contre la monnaie unique. Un empire de l’argent sur lequel le soleil ne se couche jamais, qui a transformé la planète en un vaste casino. Grâce à son réseau d’influence unique au monde, et son armée de 30 000 moines-banquiers, Goldman Sachs a su profiter de la crise pour accroître sa puissance financière, augmenter son emprise sur les gouvernements et bénéficier de l’impunité des justices américaine et européennes.

Son nom n’a longtemps été prononcé que dans l’univers compassé de la haute finance, avec un mélange de crainte et d’admiration. Et puis la crise est arrivée, jetant une lumière crue sur les pratiques de Wall Street et de son plus beau fleuron, Goldman Sachs.

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De New York à Athènes, de Londres à Strasbourg, Goldman Sachs : la banque qui dirige le monde comment l’établissement américain n’a cessé de flirter avec la ligne jaune – quitte à la franchir parfois – dans un seul but : gagner toujours plus d’argent. Au point de devenir le symbole d’une finance devenue folle. A partir de témoignages d’ex-salariés, politiques, régulateurs ou économistes, les journalistes Jérôme Fritel et Marc Roche, correspondant du Monde à Londres et auteur d’un livre à succès sur Goldman Sachs, relatent les dérives de cette puissance de l’argent. En trompant ses propres clients d’abord, comme quand la banque pariait sur un effondrement des crédits immobiliers américains, les subprimes, tout en refilant des produits qu’elle savait toxiques à d’autres ; en continuant à spéculer sur les matières premières le 11 septembre 2001, « parce qu’il y a de l’argent à se faire, quoi qu’il arrive« ; en aidant la Grèce à cacher une partie de sa dette abyssale avant l’explosion du pays en 2009.

SENTIMENT D’IMPUNITÉ ET D’INFAILLIBILITÉ

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Surtout, les témoignages et les images d’archives laissent poindre un sentiment d’impunité et d’infaillibilité. Le patron de Goldman Sachs, Lloyd Blankfein, n’a-t-il pas expliqué un jour « faire le travail de Dieu » ? Une morgue qui doit beaucoup, selon les auteurs, au « réseau d’influence unique au monde » dont bénéficie-la banque. Henry Paulson, secrétaire américain au Trésor sous George W. Bush, Mario Draghi, président de la Banque centrale européenne (BCE)… : autant d’anciens de Goldman Sachs, parmi tant d’autres, passés de la banque américaine à des responsabilités publiques, ou inversement. De quoi créer potentiellement des conflits d’intérêts explosifs… sans que cela n’émeuve les principaux intéressés.

Lors d’une audition au Congrès américain, Henry Paulson ne semble ainsi pas comprendre les griefs qui lui sont adressés, lui qui a laissé sombrer Lehman Brothers, un des principaux concurrents de Goldman Sachs, mais qui a sauvé l’assureur AIG, dont la faillite aurait été destructrice pour la banque qu’il dirigeait, avant de rejoindre l’équipe Bush. Aucuns juges ne pourraient juger l’enquête trop à charge contre Goldman Sachs, presque un bouc émissaire idéal dans cette haute finance si souvent vérolée. Mais être les premiers vous expose beaucoup plus. Et la banque et ses responsables, en refusant de parler aux auteurs, n’ont rien fait pour contrecarrer ce biais.

GOLDMAN SACHS – LES NOUVEAUX MAÎTRES DU MONDE

Comment Goldman Sachs, petite maison de courtage fondée en 1869 par un immigré allemand, est-elle devenue la banque d’affaires la plus puissante du monde ?

La première chose que l’on apprend chez Goldman Sachs c’est que l’on ne doit pas parler de Goldman Sachs. Les anciens ont peur, les stagiaires se cachent. Depuis décembre 2006, les banquiers de Goldman Sachs savaient qu’une crise financière se préparait et ont largement tiré profit de cette précieuse information. Les Américains, eux, en ont subi les conséquences et commencent à se réveiller. Ce plongeon au coeur de l’une des plus grandes institutions de Wall Street permet de lever le voile sur les méthodes de la finance mondiale.

GOLDMAN SACHS, LE TRAIT D’UNION ENTRE MARIO DRAGHI, MARIO MONTI ET LUCAS PAPADÉMOS

Qu’ont en commun Mario Draghi, Mario Monti et Lucas Papadémos ? Le nouveau président de la Banque centrale européenne, le président désigné du conseil italien et le nouveau premier ministre grec appartiennent à des degrés divers au « gouvernement Sachs » européen. La banque d’affaires américaine a en effet tissé en Europe un réseau d’influence unique sédimenté depuis des lustres grâce à un maillage serré, souterrain comme public. A tout concours, il faut une hiérarchie. Le premier prix revient bien sûr à Mario Draghi, vice-président de Goldman Sachs pour l’Europe entre 2002 et 2005. Nommé associé, il est chargé des « entreprises et pays souverains«. A ce titre, l’une des missions est de vendre le produit financier « swap » permettant de dissimuler une partie de la dette souveraine, qui a permis de maquiller les comptes grecs. Vient ensuite Mario Monti, conseiller international depuis 2005. Arrive en troisième position Lucas Papadémos, qui vient d’être nommé premier ministre de la Grèce, qui fut gouverneur de la Banque centrale hellénique entre 1994 et 2002, qui a participé à ce titre à l’opération de trucage des comptes perpétré par GS. Le gestionnaire de la dette grecque est d’ailleurs un certain Petros Christodoulos, un ex-trader de la firme.

Deux autres poids lourds tiennent le haut du pavé dans la défenestration de l’euro, Otmar Issing, ex-président de la Bundesbank et Jim O’Neill, l’inventeur du concept des BRICS, l’acronyme désignant les marchés émergents à fort potentiel de croissance (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud). Ex-président de Goldman Sachs International dont il est resté l’un des administrateurs, l’Irlandais Peter Sutherland a joué un rôle-clé dans le sauvetage de l’Irlande. Enfin, Paul Deighton, qui a passé 22 ans chez Goldman Sachs, est directeur général du comité organisateur des Jeux olympiques de Londres en 2012. La lanterne rouge car chacun sait que le sport comme l’amitié est hors concours. Pourtant, au-delà des apparences, le réseau d’influence qui a fait sa puissance avant ou pendant la tourmente politique financière de 2008 a perdu de son efficacité. En effet, les complicités anciennes entretenues par les ex-banquiers centraux chevronnés mobilisés pour tirer les ficelles se révèlent moins utiles face à des politiciens sensibles à l’impopularité des professionnels de la finance tenus pour responsables de la crise. Là où Goldman Sachs pouvait facilement exercer ses talents, une série d’affaires – la Grèce, la spéculation contre l’euro, le scandale Abacus auquel a été mêlé le goldmanien français Fabrice Tourre – lui ont mis à dos la puissance publique.

Le carnet d’adresses est utile mais ne suffit plus à lui tout seul sur une planète financière complexe et technique et face à une nouvelle génération d’industriels moins pétris de respect pour l’establishment. Les patrons européens partis à la conquête du monde se sont émancipés des croisés de la haute finance style Goldman Sachs. La quête de valorisation de l’actionnaire, les exigences de transparence des comptes et les impératifs de l’expansion à l’étranger émoussent l' »effet réseau«. Enfin, devenus plus exigeants sur la qualité et l’indépendance du métier de conseil, les clients européens, mais pas seulement, exigent le respect d’un minimum d’éthique.

Et c’est là que le bât blesse à propos de Goldman Sachs. Car la banque aime placer ses hommes sans jamais laisser tomber le masque. C’est pourquoi ses hommes liges cachent cette filiation quand ils donnent une interview ou mènent une mission officielle (comme ce fut le cas de Monti qui s’est vu confier en 2010 une étude sur le marché unique européen par le président de la Commission, José Manuel Barroso). Mario Draghi affirme qu’étant entré en fonction en 2002, il n’a rien eu à voir avec le maquillage des comptes grecs orchestré deux ans plus tôt par la banque. Et il a démissionné en 2005, soit un an avant que Goldman Sachs ne revendre une partie du « swap » en question à la National Bank of Greece, la première banque commerciale du pays, dirigée par un ancien Goldmanien, Petros Christodoulos, aujourd’hui responsable de l’organisme gérant la dette grecque.

LES DRAGONS DE LA FINANCE

Depuis 2007, la crise ne fait que s’accentuer. La récession s’impose et les États étouffent sous le poids de l’endettement. Cependant, il existe un monde parallèle qui agit comme une sève pour irriguer la gouvernance mondiale en formation : les paradis fiscaux. Ils sont définis par le journaliste économique Nicholas Shaxson comme un « lieu qui se propose d’attirer des activités économiques en offrant à des particuliers ou à des entités un cadre politiquement stable permettant de contourner les règles, les lois et les réglementations édictées dans les autres pays ». Appelés aussi« juridictions du secret », ces paradis fiscaux s’emploient à manipuler les mouvements d’argent internationaux.

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LA CITY DE LONDRES – CAPITALE DE LA MAFIA FINANCIÈRE

On dénombre environ une soixantaine de ces « juridictions du secret » au cœur de la globalisation, qui se subdivisent en 3 groupes :

· Les paradis fiscaux européens comme le Luxembourg, le Liechtenstein ou Monaco

· Les États-Unis, ses États fédérés (en particulier le Delaware) et les dépendances sous influence américaine (les îles Vierges, Panama, …)

· La City de Londres organisée en 3 cercles concentriques : les dépendances de la Couronne (Jersey, Guernesey et l’île de Man), les quatorze territoires britanniques d’outre-mer (les îles Caïmans, les Bermudes, Gibraltar…) et des États entretenant des relations étroites avec l’ancien colonisateur : Hong Kong, Singapour, Dubaï…). Ces centres offshores combinent le secret bancaire et la non-imposition.

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La capitale britannique est constituée de deux villes. La première est un vaste centre urbain de plusieurs millions d’habitants dirigé par un maire disposant de peu de pouvoirs. La deuxième est un espace de 3,16 km², appelé « City of London Corporation » ou« Square Mile », subdivisé en 25 quartiers appelés « wards »dont seuls quatre sont réellement habités, tandis que les autres regroupent les bureaux. Dirigée par un Lord-maire, Sir Roger Gifford véritable ambassadeur de tous les services financiers, la City est dotée d’un gouvernement (le « Guildhall »). Outre les 9.000 résidents de la City à voter, les représentants d’entreprises (23.000 personnes) ont aussi le droit de vote. Ainsi, Goldman Sachs, la banque Narodny de Moscou ou encore la Bank of China participent à la vie« démocratique » de la City. Ajoutons que des citoyens d’honneur anglais et étrangers appartiennent à ce corps électoral très particulier. Nous pouvons relever les noms de George Bush, Jr. et de Vladimir Poutine. La famille mondialiste est très variée.

La City est un véritable État dans l’État disposant d’un pouvoir total sans avoir de compte à rendre au Parlement de Westminster. Cette politique est rendue possible entre autres grâce au rôle du remembrancer (« remémoreur »), véritable lobbyiste et non-élu, qui est un relais entre la City de Londres et le Parlement anglais. Il est chargé de vérifier que les représentants du gouvernement ainsi que les différents ministères n’élaborent pas de mesures pouvant contrer la toute-puissance et l’indépendance de la City. Il est vrai que celle-ci concentre des intérêts jalousement gardés. Sur ce petit territoire, on trouve près de 550 banques, la moitié des assureurs de la planète — plus que ceux de New York, Paris et Francfort réunis — un volume d’affaires journalier cinq fois supérieur au PNB anglais, la moitié des entrées en bourse dans le monde et près de 80 % des hedge funds (fonds spéculatifs) européens. Comme l’a résumé joliment le député anglais Tony Benn, la City « est une île offshore amarrée sur la Tamise ».

Sachant que la quasi-totalité des investissements internationaux se fait via les centres offshores, en profitant au passage d’avantages fiscaux et de contraintes juridiques bien allégées, les multinationales s’en donnent à cœur joie. Pareille à une araignée au milieu de sa toile, la City de Londres régente tous ces flux financiers. La dérégulation des marchés qui s’est accélérée à partir des années 1980 a conduit à des volumes financiers colossaux transitant dans les paradis fiscaux. Selon l’économiste John Christensen, ils sont évalués à plus de 20.000 milliards de dollars. Une telle situation montre clairement que les politiques n’ont plus le pouvoir et que la finance a en main des atouts majeurs pour imposer un monde se rapprochant de l’idéal orwellien.

LA CITY – LA FINANCE EN EAUX TROUBLES

Mathieu Verboud propose une enquête sur l’un des plus importants paradis fiscaux méconnu du grand public : la City de Londres.

Comment a-t-elle réussi à être un des acteurs majeurs de la dérégulation financière, des bonus extravagants, de la culture du profit à court terme, de la fiscalité douce mais aussi du secret bancaire, de l’évasion fiscale et du blanchiment d’argent ?

Il est vrai que l’endroit est particulier : la City n’est pas un « borough » comme les 32 autres quartiers de Londres, il jouit de nombreux particularismes : les électeurs sont les personnes physiques et morales installées dans le borough, le Lord Mayor de la City dispose d’une large autonomie par rapport à la ville de Londres, notamment en matière de police, etc.

ALL WARS ARE BANKERS WARS

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Le monde de la finance et du gros business transnational est contrôlé pas à pas, petit à petit depuis le XVIIIème siècle par 13 familles dont voici 2 listes établies par 2 sources différentes :

Rothschild (Bauer)

Rothschild

Bruce

Bundy

Cavendish (Kennedy)

Kennedy

De Medici

Du Pont

Hanover

Freeman

Hapsburg (Habsburg)

Collins

Krupps

Li

Plantagenet

Onassis

Rockefeller

Rockefeller

Romanov

Astor

Sinclair (St Clair)

Russell

Warburg (del Banco)

Van Duyn

Windsor (Saxe-Coburg-Gothe)

Merovingien (Dynastie Européenne)

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A celles-ci viennent se greffer les familles royales européennes et les 8 banques qui contrôlent la réserve fédérale américaine et qu’on retrouve en fait aux manettes de tout le système tentaculaire des banques centrales, géré depuis la Banque des Règlements Internationaux (BRI) dont le siège est à Bâle en Suisse :

· Rothschild Banks of London and Berlin, banquiers de la reine Victoria

· Lazare Brothers Banks of Paris

· Israel Moses Seif Bank of Italy

· Warburg Bank of Hamburg and Amsterdam

· Lehman Brothers Bank of New York

· Chase Manhattan Bank of New York (Rockefeller)

· Kuhn, Loeb Bank of New York

· Goldman, Sachs Bank of New York

Ces familles contrôlent « La Couronne« qui n’est pas la Famille Royale Britannique, mais la City de Londres et la Banque d’Angleterre, qui est une entité privée comme toutes les banques centrales.

LE CŒUR DE L’EMPIRE FINANCIER

Certains demanderont pourquoi avoir oublié Wall Street ? Réponse: Wall Street est au service de ces trois entités nommées, Wall Street est à la botte, comme tous les gouvernements… Le nœud de vipères est constitué historiquement et dans l’ordre chronologique du Vatican, de la City de Londres (état dans l’état) et du District of Columbia yankee.

La ville état du Vatican, le District of Columbia et la City de Londres forment un empire inter-connecté.

Ces trois cités-états entreprises contrôlent le monde économiquement au travers de l’entreprise financière de la City de Londres, militairement au travers de Washington District of Columbia (D.C) et spirituellement au travers du Vatican.

· Elles ne paient aucun impôt

· Elles ne sont sous aucune autorité nationale

· Elles ont leur propre drapeau indépendant

· Elles ont leurs propres lois séparées

· Elles ont leur propre force de police

Elles ont des identités totalement différentes du reste du monde.

NOTE : Les trois étoiles qui sont sur le drapeau du District of Columbia réfèrent aux trois cités-états, une pour chaque ville de l’empire

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DISTRICT OF COLUMBIA D.C

Le président des Etats-Unis Obama, et les autres avant lui, opère en tant que “Roi-vassal” prenant ses ordres de la “City of London” au travers du Royal Institute of International Affairs (: RIIA la maison mère du CFR en grande-Bretagne…).

La constitution du district of Columbia fonctionne sous la loi romaine tyrannique connue sous le nom de “Lex Fori” qui ne ressemble en rien à la constitution des Etats-Unis. Lorsque le congrès a voté la loi de 1871, il créa une entreprise distincte connue sous le nom d’Etats-Unis / US (NdT: et non pas “d’Etats-Unis d’Amérique” / USA) et un gouvernement corporatiste, entrepreneurial pour le District of Columbia. Cet acte de trahison a permis au District of Columbia de fonctionner comme une entreprise en dehors de la constitution originale des Etats-Unis d’Amérique et en dehors des meilleurs intérêts des citoyens américains.

CITY OF LONDON INC.

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Devenue un état souverain en 1694 lorsque le roi William III d’Orange privatisa et retourna la Banque d’Angleterre à des banquiers privés. En 1812, Nathan Rothschild torpilla le marché boursier anglais et prît alors un contrôle frauduleux de la Banque d’Angleterre. Aujourd’hui, la ville état de Londres (City) est le centre financier mondial et le kilomètre et demi carré le plus riche de la planète.

Elle abrite :

· La Banque d’Angleterre contrôlée par Rothschild

· Lloyds of London

· Le London Stock Exchange

· Toutes les banques britanniques

· Les succursales de 384 banques étrangères

· 70 banques américaines

· Journaux de Fleet Streets et Publishing Monopolies

· Le QG mondial de la franc-maçonnerie

· Le QG pour le cartel mondial monnétaire connu sous le nom de “la couronne” ou “the Crown”

Elle ne fait pas partie de la ville de Londres ou de l’Angleterre ou du Commonwealth Britannique

LE VATICAN INC.

La fortune collossale du Vatican inclut d’énormes investissements avec les Rothschild en Grande-Bretagne, en France et aux Etats-Unis et avec de très grosses entreprises pétrolières et de l’armement comme la Shell, BP et General Electric. Le stock de lingots et de pièces d’or du Vatican vaut des milliards, il est emmagasiné à la Banque D’Angleterre contrôlée par les Rothschild et à la Réserve Fédérale américaine.

L’église catholique est la plus grosse puissance financière au monde, la plus grosse accumulatrice de richesses et de propriétés en existence, possédant plus de biens et de richesses que toute banque, entreprise, fond de trust géant et gouvernement n’importe où sur la planète.

Le pape, qui est le dirigeant visible de cette fortune mondiale colossale, est un des hommes les plus riches de la planète.

Alors que les deux tiers de l’humanité vit avec moins de 2$ per jour et un cinquième (1/5) du monde est sous-alimenté ou meurt de faim, le Vatican est à la tête de la richesse mondiale, profite inlassablement de ses investissements sur le marché boursier et dans le même temps prêche le “don”.

Durant la seconde guerre mondiale, le Vatican fut critiqué pour son soutien à Hitler et son régime nazi. A ce jour, le Vatican est toujours sous le coup d’une enquête pour le pillage de l’or nazi des banques suisses et des comptes des victimes juives de l’holocauste nazi.

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Ces cinq dernières décennies, plus de 1500 prêtres et évêques ont été identifiés pour avoir harcelé sexuellement des dizaines de milliers de jeunes garçons et filles au sein de leur congrégation religieuse et leurs orphelinats.

· Pourquoi cette institution honteusement riche prêche t’elle des valeurs spirituelles, la pauvreté et la chasteté, alors que des cardinaux, des prêtres et des évêques couvrent leurs crimes d’abus sexuels et de viols ?

· Pourquoi l’église a t-elle lutté contre et résisté aux accusations et aux demandes de compensation de ses victimes sexuellement, émotionnellement et spirituellement traumatisées ?

RÉSISTANCE À L’IDÉOLOGIE DOMONANTE – COMPRENDRE LE COEUR DU PROBLÈME…

L’EMPIRE DE LA COURONNE BRITANIQUE ET LA CITY LONDON CORPORATION

Attaquer l’empire, c’est attaquer ses piliers idéologiques et financiers. C’est à la City de Londres (pilier financier), au Vatican (pilier de l’idéologie religieuse et de la finance) et à Washington DC (pilier militaire), qu’ils se trouvent. Boycott, désobéissance civile, union et… Un grand coup de balais général se doit d’être effectué.

La politique mondiale aujourd’hui est gouvernée par le Vatican, mais aussi par l’empire de la Couronne. Le monde moderne de la soi-disante civilisation occidentale a commencé à la fin du XVIIème siècle avec la floraison de l’empire britannique. Cet empire a en fait commencé plusieurs siècles plus tôt avec la création de la City de Londres, qui est aujourd’hui une corporation, entreprise vieille de 800 ans, qui contrôle les finances d’une entité appelée “la Couronne”. Cette entité est la créatrice et la contrôleuse de la Banque d’Angleterre, de la banque de la Réserve Fédérale Américaine, de la Banque Mondiale, du FMI, de l’Union Européenne et de nombreux cartels et entreprises dans le monde. L’identité de la “Couronne” est un secret bien gardé et la Banque d’Angleterre de la Couronne a pris le contrôle des Etats-Unis durant

L’administration de (Teddy) Roosevelt en 1901-09, lorsque ses agents, qui étaient en fait des agents de la Couronne JP Morgan, prirent possession de 25% des affaires commerciales et financières américaines. La Couronne n’a jamais été le roi ou la reine d’Angleterre depuis la création du corps entrepreneurial, mais la monarchie britannique en est la figure de proue pour la Couronne, domine le parlement de Grande-Bretagne et a autorité sur les premiers ministres au travers un ordre de chevalier du Vatican appelé “Ordre de la Jarretière” (Ordre fondé par le roi Edward en 1348. La devise de l’ordre est une devise française “Honni soit qui mal y pense”, elle figure aujourd’hui, écrite en français sur tous les passeports britanniques avec l’autre devise de la royauté “dieu et mon droit”, également écrite en français sur les passeports britanniques…). Quoi qu’il en soit, la Couronne n’est pas le roi ou la reine d’Angleterre, qui sont une monarchie établie du corps entrepreneurial de la City de Londres. La Couronne est le directorat de la corporation et la Grande-Bretagne est dirigée par la Couronne, la City de Londres qui contrôle la Banque d’Angleterre, une entreprise privée (: dont la famille Rothschild est un des actionnaires majeurs). Il y a un État privé existant en Grande-Bretagne au centre même de Londres.

Cette cité, située au cœur de Greater London, est devenue un état souverain en 1694 lorsque le roi William III d’Orange privatisa la Banque d’Angleterre et la livra aux banksters du Vatican qui dominent aujourd’hui le monde de la finance.

La corporation de la City / Couronne n’est pas sujette à la loi britannique ; elle a ses propres tribunaux, ses propres lois, son propre drapeau ( tout comme le Vatican et la troisième cité état de la trilogie : Washington DC, créée bien plus tard), sa propre force de police. La corporation de la Couronne est aussi séparée de la ville métropolitaine ; sa police se déplace dans des véhicules rouges et les uniformes sont différents de la police de Londres Métropole. La Couronne de Londres héberge également la Banque d’Angleterre privatisée et la banque Lloyd’s of London, le London Stock Exchange (la bourse de Londres) et toutes les banques britanniques. La City héberge également les bureaux de 385 banques étrangères, dont 70 banques américaines ainsi que les journaux de Fleet Street et les monopoles de publication. La City contrôle le monde des médias et le renseignement mondial. C’est depuis la City de Londres et le QG de la Franc-Maçonnerie britannique, supervisé par la monarchie britannique et le duc de Kent, que la franc-maçonnerie mondiale est gouvernée. Ceci inclut l’ordre du Grand Orient Maçonnique et le rite écossais de Washington DC.

En 1945, la Banque d’Angleterre fut nationalisée par le gouvernement travailliste (“socialiste”) et n’est plus soi-disant une banque privée, bien qu’elle gouverne la réserve fédérale américaine. Elle est contrôlée par les Rothschilds, qui sont les banquiers du pape, les gardiens de la trésorerie du Vatican. La City de Londres possède également son Lord Mayor (Maire), différent du maire courant, qui a le pouvoir dans la corporation de la Couronne. Lorsque la reine désire faire des affaires dans la City, elle rencontre le Lord Mayor à Temple Bar. Temple Bar et ses franchises associées viennent de ce qui est appelé les “Four Inns of the Temples of Courts”, le temple intérieur et le temple intermédiaire. Le logo du temple intérieur est un cheval blanc sur le sceau d’un soleil éclatant de l’ordre des jésuites. Le cheval blanc est un symbole de l’empire britannique, de l’Ordre de la Jarretière, de la corporation de la Couronne et est le même cheval blanc qui est le symbole du CFR (Council on Foreign Relations). Le cheval blanc est un symbole de l’ordre des jésuites: Pégase. C’est l’ordre des jésuites qui gouverne l’honorable société du temple intérieur. Le temple intérieur est le groupe qui est au cœur de la gouvernance de la corporation de la City de Londres.

La Terre entière est gouvernée par la Couronne, au travers des colonies de la Couronne qui appartiennent à la City de Londres (comme le Canada, l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Commonwealth en général…), l’empire de la Couronne. Celui-ci gouverne l’Afrique et continue de gouverner la Chine et l’Inde. Les colonies sur Terre sont justes des colonies de la Couronne, les Etats-Unis d’Amérique sont des états de la Couronne. Ceci dit néanmoins, il est d’une importance vitale de se rappeler ce qui suit. L’empire de la Couronne utilise la loi du commerce (alias la loi maritime internationale ou loi des contrats) comme moyens de contrôle. Cette loi ne s’applique pas à des personnes hommes et femmes souveraines et libres.

Votre nom, lorsqu’il est épelé totalement en lettre capitale d’imprimerie, comme par exemple le mien: JULIAN WEBSDALE, est une entreprise, une corporation, un trust créé par le gouvernement au travers du ministère des finances à votre naissance. Chaque fois qu’un enfant né, une entreprise/un trust est créé utilisant son nom en lettres capitales d’imprimerie.

Ils font ceci parce que les gouvernements sont des entreprises et ils opèrent sous la loi commerciale, la loi des contrats. Les lois passées par les gouvernements ne s’appliquent qu’à des entreprises et non pas à des entités vivantes, qui respirent, des hommes et des femmes de chair et de sang libres et souverains, dont les noms sont épelés en majuscules et minuscules, comme dans Julian Websdale ou julian websdale. L’homme et la femme vivants, souverains sont sujet à la loi commune, au droit coutumier et non pas au droit commercial introduit par les gouvernements au travers de la législation.

LE SOMMET DE LA PYRAMIDE

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LES ROTHSCHILD, LA COURONNE BRITANNIQUE ET LE VATICAN DIRIGENT LE MONDE

Il existe en Angleterre deux Couronnes, l’une étant la reine Élisabeth II.

Bien qu’extrêmement riche, la reine a surtout un rôle cérémoniel et sert à détourner l’attention de l’autre Couronne, qui rédige les ordres la concernant via le contrôle du Parlement anglais. Cette autre Couronne se compose d’un comité de 12 banques chapeauté par la Banque d’Angleterre (la Maison Rothschild). Elles dirigent le monde depuis l’état souverain de 2,74 km² connu sous le nom de Cité de Londres, ou simplement « La City ».
La Cité ne fait pas partie de l’Angleterre, pas plus que Washington DC ne fait partie des États-Unis.

La Cité est considérée comme les mille carrés le plus riche sur Terre et possède à sa tête un Lord Maire nommé pour un an.

Quand la Reine veut se rendre pour affaires dans la Cité, elle y est accueillie par le Lord Maire à Temple Bar (le Barreau des Templiers), où elle demande l’autorisation d’entrer dans cet État souverain et privé. Elle se déplace ensuite dans la Cité en restant quelques pas derrière le Maire. Son entourage ne peut porter que des uniformes de service.

Au XIXème siècle, 90 % du commerce mondial transitait par des navires britanniques contrôlés par la Couronne. Les 10 % restants devaient acquitter une commission auprès de la Couronne pour le simple privilège d’utiliser les océans du monde. La Couronne a dégagé des milliards de livres de bénéfice, tout en opérant sous la protection des forces armées britanniques. Il ne s’agissait pas de commerce ni de prospérité britanniques, mais du commerce et de la prospérité de la Couronne. L’auteur Frederic Morton a estimé qu’en 1850 la fortune des Rothschild dépassait les 10 milliards de $ (la richesse totale des dynasties bancaires est estimée à environ 500.000 milliards

de $).

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« Peu m’importe de savoir quel pantin siège sur le trône d’Angleterre pour gouverner l’Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais. L’homme qui contrôle la monnaie de la Grande-Bretagne contrôle l’Empire Britannique, et c’est moi qui contrôle la monnaie. » – Nathan Rothschild Aujourd’hui, la dette garantie par obligations est détenue par la Couronne.

Le Temple Bar ci-dessus mentionné est le bras juridique de la Couronne et détient le monopole exclusif de la fraude légale dans le monde par l’intermédiaire des franchises de la Bar Association (l’Association du Barreau). Le Temple Bar est composé des quatre Inns of Court (écoles de droit).

Il s’agit de Middle Temple, Inner Temple, Lincoln’s Inn et Gray’s Inn. Le point d’entrée de ces sociétés secrètes fermées n’est révélé que lorsqu’on est appelé à leur Barreau.

Les Bar attorneys (procureurs) aux États-Unis font allégeance et prête serment à la Couronne. Toutes les associations du barreau du monde entier sont signataires et des franchises de l’Association Internationale du Barreau dont le siège se trouve aux Inns of Court du Temple de la Couronne (Crown Temple).

Inner Temple détient la franchise du système légal grâce à une licence qui saigne à blanc le Canada et la Grande-Bretagne, tandis que Middle Temple a licence pour voler l’Amérique.

Afin de faire reconnaître internationalement la Déclaration d’Indépendance, le roi Georges III, templier du Middle Temple, accepta au Traité de Paris de 1783 d’établir une entité légale de la Couronne, sous la forme des États-Unis constitués en société, et connus en interne sous le nom d’États Templiers de la Couronne (Colonies) (Crown Temple States). States (États), avec un « S » majuscule, indique une entité légale appartenant à la Couronne.

Cinq Temple Bar Attorneys (procureurs du Temple Bar) au minimum, ayant solennellement prêté serment à la Couronne, ont signé la Déclaration d’Indépendance américaine. Ceci signifie que les deux parties étaient agents de la Couronne.

Quand une partie signe à la fois comme première et seconde partie, c’est sans conséquences légales. La Déclaration n’était qu’une note de service interne circulant en privé parmi les membres de la Couronne. La plupart des Américains croient posséder leurs propres terres, mais ils n’ont fait qu’acheter de l’immobilier par contrat. Après exécution du contrat, le contrôle des terres est transféré par acte de vente (warranty deed).

Cet acte de vente (Warranty Deed) n’apporte qu’une présomption de possession (‘color of title’) La présomption de propriété n’est qu’un semblant de titre, mais pas un titre de propriété réel ou reconnu par la loi. Le Warranty Deed ne peut s’opposer à un acte de concession (Land Patent). La Couronne s’est vu accorder des actes de concession en Amérique du Nord par le roi d’Angleterre. Les coloniaux se sont rebellés contre les taxes usuraires de la Couronne, et la Déclaration

l’Indépendance a donc été établie pour pacifier la populace.

Une autre ruse utilisée pour berner les gens est l’émancipation. Ces cartes dans votre portefeuille qui portent votre nom écrit en capitales d’imprimerie indiquent que vous avez été émancipé et que vous avez le statut d’une société.

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Une « personne morale » (juristic Personality) a été constituée, et vous êtes soumis à des accords multilatéraux qui établissent un lien capitalistique entre vous et la Couronne.

Ces contrats invisibles comprennent les bulletins de naissance, les documents prouvant la citoyenneté, les contrats de travail, les permis de conduire et les comptes bancaires. Il est peut-être utile de remarquer ici que les contrats n’ont pas besoin, ou n’ont jamais nécessité, d’être écrits pour être valides aux yeux des juges américains. Si c’est rédigé, il ne s’agit que d’une déclaration écrite du contrat.

Ceux qui protestent contre les taxes et les (futurs) opposants à l’appel sous les drapeaux qui cherchent à se désengager des clauses qu’ils désapprouvent dans ces contrats, ne tireront aucun avantage d’un recours, dans la mesure où les juges rejetteront ces arguments sans rapport avec la jurisprudence du droit contractuel. Le droit de la responsabilité civile traite de griefs autres que ceux du droit contractuel.

Ces accords ou contrats privés qui nous lient seront toujours prioritaires par rapport aux clauses générales de la Constitution ou de la Déclaration des Droits (la Constitution n’étant essentiellement que le droit commun anglais sous un autre nom). Pour la Couronne, la Déclaration des Droits est vue comme « une loi sur les bénéfices », qu’ils nous confèrent en attente de réciprocité (les taxes).

Les protestataires et les opposants seront également déboutés s’ils mettent en avant leur statut de citoyen. La citoyenneté est un autre accord capitalistique conclu avec la Couronne. Et c’est le contrat juridique même dont les juges fédéraux vont se prévaloir pour les incarcérer. Selon les mots de Felix Frankfurter, ex-juge de la Cour Suprême, « La loi (« equity ») est dure, mais nous ne faisons qu’appliquer des accords ».

Le Titre 42, section 1981 du code des Droits Civils déclare que « les citoyens seront soumis aux mêmes punitions, peines, pénalités, taxes, licences et exactions de toutes sortes ».

Ce que nous considérons comme citoyenneté, la Couronne le voit comme un instrument d’enrichissement juridique. Il faut également garder à l’esprit que même la circulation habituelle ou l’usage commercial des billets de la Réserve Fédérale constituent une reconnaissance de passif envers le paiement de la dette de la Couronne à la FED. Ceci est mesuré par votre revenu soumis à l’impôt.

Et afin de faciliter le démembrement d’actifs, la fin du 14ème Amendement à la Constitution comporte un état de l’hypothèque lié à la dette des États-Unis, où toutes les personnes émancipées (dont vous faites partie) peuvent être considérées comme responsables de la dette de la Couronne.

La Couronne voit notre participation à ces contrats commerciaux comme volontaire et que tout gain est imposable, puisque ledit gain n’aurait pas été possible sans la Couronne.

Ils considèrent le système des banques interétatiques comme leur appartenant. Tout profit ou gain de toute personne titulaire d’un compte bancaire (ou d’un emprunt, d’une hypothèque, ou d’une carte de crédit) porte en lui — de par la loi — exactement la même valeur que si ce gain avait été généré par la Couronne.

Les comptes bancaires échappent à la protection du 4ème Amendement, parce qu’il s’agit d’un contrat commercial, et que la Déclaration des Droits ne doit pas interférer avec l’exécution des contrats commerciaux. La Couronne considère également les relevés de compte comme sa propriété privée, une des conséquences du contrat bancaire que chacun d’entre nous a signé et qu’aucun de nous n’a jamais lu. L’individu isolé qui lit effectivement le contrat bancaire découvrira qu’il a accepté d’être lié par le Titre 26 et qu’il a accepté au titre de la section 7202 de ne pas diffuser de conseils frauduleux à propos des taxes. Ce contrat écrit avec la Couronne confirme que les billets de banque sont des effets de commerce imposables.

Quand nous avons ouvert un compte en banque, une nouvelle personne morale a été créée. C’est cette personne (revenus et actifs) que les agents de l’IRS (le fisc étasunien) reversent à la Couronne au moyen de l’imposition

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On consacre actuellement beaucoup d’encre à la Sécurité Sociale.

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La possession d’un Numéro de Sécurité Sociale est connu dans le code de la Couronne comme une « preuve formelle » que nous avons accepté [la notion de] bénéfices commerciaux fédéraux. Voilà un autre exemple de lien capitalistique avec la Couronne. La présentation de notre Numéro de Sécurité Sociale à un employeur officialise notre statut de contribuable, avec, en échange, un engagement à payer des taxes à la Couronne. Par le Numéro de Sécurité Sociale, nous acceptons de bénéficier ultérieurement d’une retraite. La Sécurité Sociale est un drôle d’animal. Si vous décédez, votre conjoint ne touchera rien, mais par contre, ce qui vous était dû est divisé (perdu) entre les autres cotisants encore vivants.

Mais la Couronne considère l’absence de réciprocité dans tous ces engagements comme un vol et agira contre nous en réparation du préjudice dû. Pour qu’on puisse échapper aux tentacules de cette pieuvre qu’est la Couronne, il faut procéder à une étude approfondie de la jurisprudence. Il faudrait être considéré comme « étranger à la chose publique » (« Strangers to the public trust »), perdre tous les bénéfices liés à l’émancipation et clore tous ses comptes bancaires, parmi d’autres actions. Il faudrait que la citoyenneté soit annulée et perdue et décréter le statut d' »étranger » (« denizen »). Si des gens ont réussi à franchir ce barrage de feu, j’aimerais bien avoir de leurs nouvelles.

Les États-Unis d’Amérique sont une entreprise, gérée par la Couronne britannique et le Vatican

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« La Trinité du contrôle mondialiste

La Cité du Vatican La City de Londres Washington DC

Religion Finance Armée

Tous trois sont des États distincts, totalement indépendants de leur pays respectif«

Les USA sont, et ont toujours été, une immense entreprise gérée depuis l’étranger. Elle s’appelait à l’origine la Compagnie de Virginie et elle appartenait à la Couronne britannique et au Vatican, qui reçoivent leur part annuelle de bénéfices.

Les présidents des États-Unis sont nommés PDG (nous ne les élisons pas !), et ils sont responsables devant le « conseil d’administration », pas devant les citoyens américains. Nous sommes considérés comme employés de l’entreprise et le but des élections est de détourner l’attention, une manière de nous donner l’illusion que nous avons notre mot à dire.

« En 1606, le roi Jacques créa la Compagnie de Virginie, à laquelle fut accordé le droit d’établir des colonies dans la province de Virginie, nommée d’après Élisabeth 1ère, populairement surnommée la Reine Vierge. L’Union Jack flotta pour la première fois sur le sol américain à Jamestown, en Virginie, de manière permanente, au printemps 1607

Les premiers membres de la Compagnie de Virginie étaient des aristocrates qui soutenaient l’Église d’Angleterre et la cause royaliste. Parmi eux figuraient Lord Southampton, le comte de Pembroke, le comte de Montgomery, le comte de Salisbury, le comte de Northampton, et Sir Francis Bacon En tant que Chancelier d’Angleterre, Bacon réussit à convaincre le roi d’accorder les chartes qui permirent aux nouvelles colonies de proliférer dans le nouveau monde Les membres de la Compagnie de Virginie qui se fixèrent effectivement en Amérique comprirent plusieurs membres de la famille Bacon, et certains de ses amis qui étaient des initiés de la Rose Croix » —

C’est par l’intermédiaire d’organisations comme la Bourse des Métaux de Londres que les bénéfices de la Compagnie de Virginie (USA) y sont ramenés. » « La Chambre des Bourgeois [de Virginie] a été formée en 1619 à Jamestown. Ce fut le premier corps législatif représentatif des Colonies Américaines. La Chambre fit passer des mesures destinées à aider la compagnie à prospérer. Mais un grave soulèvement indien en 1622 à Jamestown a fait perdre aux aventuriers le peu d’intérêt qui leur restait. En 1623, le roi Jacques décida que la compagnie était mal gérée. Il s’empara de l’association en 1624 et la compagnie fut dissoute. » « Ses actionnaires étaient londoniens, et on la distingua de la Compagnie de Plymouth, qui reçut une charte à la même époque, mais largement composée d’hommes de Plymouth.

En 1619 la compagnie établit la première vraie législature de l’Amérique continentale, l’Assemblée Générale, qui comportait deux chambres. Elle comprenait le gouverneur et son conseil, nommée en Angleterre par la compagnie, et la Chambre des Bourgeois, composée de deux bourgeois de chacun des quatre bourgs et chacune des sept plantations. La cour rendit son jugement contre la Compagnie de Virginie, qui fut ensuite dissoute, et la Virginie devint une colonie royale. »

« Ce qui signifie que tous les droits qui appartenaient aux propriétaires de la Compagnie de Virginie concernant l’or, l’argent, les minéraux et les droits, extraits et payés en Amérique, appartiennent toujours aux familles britanniques qui possèdent les États-Unis d’Amérique et ses terres.

Les mêmes dividendes sont payés depuis l' »Indépendance » et sont toujours payés par le peuple américain, par l’intermédiaire de leurs responsables fédéraux qui sont, en fait, des responsables de la Compagnie de Virginie — oui, y compris le Président.

(…) Mais il y a encore une astuce. Qui possède les actifs apparemment détenus par la Compagnie de Virginie ? Réponse : le Vatican. » — David Icke – The Biggest Secret

« Une fois que les 13 (encore !) colonies originelles eurent gagné leur « indépendance » et qu’un pays « indépendant » eut été formé en 1783, la Compagnie de Virginie changea simplement son nom en… les États-Unis d’Amérique.

Voyez-vous, il existe deux pays nommés les États-Unis, ou plutôt des USA et des usA. Les états-unis d’Amérique, avec des minuscules, sont le territoire des différents États. Ces terres, comme nous l’avons vu, appartiennent encore à la Couronne britannique, en tant que dirigeant de l’ancienne Compagnie de Virginie, bien qu’il nous faille ajouter dans un moment quelque chose là-dessus.

Et puis il y a les États-Unis d’Amérique, avec un E et un U majuscules, qui correspondent aux 176 km² de terres situées à l’ouest du Potomac, et sur lesquelles est bâtie la capitale fédérale, Washington DC et le District de Columbia. Ces USA-là comprennent aussi les protectorats étasuniens de Guam et de Porto Rico.

Les États-Unis d’Amérique ne sont pas un pays. Il s’agit d’une société appartenant aux mêmes lignées de sang de la Confrérie qui possédait la Compagnie de Virginie, parce que les États-Unis sont la Compagnie de Virginie ! » — David Icke — The Biggest Secret

« En 1604, un groupe d’importants hommes politiques, hommes d’affaires, marchands, manufacturiers et banquiers se réunit à Greenwich, alors situé dans le comté anglais du Kent, et ils constituèrent une société nommée la Compagnie de Virginie, en prévision de l’afflux d’Européens blancs, au départ surtout britanniques, sur le continent nord-américain.

Son principal actionnaire était le roi reptilien Jacques Ier, et la charte originelle de la compagnie fut terminée le 10 avril 1606. Cette charte et ses mises à jour ultérieures établirent ceci :

(…) La Compagnie de Virginie comprenait deux filiales : la Compagnie de Londres et la Compagnie de Plymouth ou Compagnie de la Nouvelle Angleterre. (…) Les « Pèlerins » du mythe historique américain étaient en fait les membres de la seconde filiale de la Compagnie de Virginie, qui s’appelait la Compagnie de la Nouvelle Angleterre. La Société des Pèlerins (the Pilgrim Society) demeure un important groupe élitiste au sein des Illuminati.

La Compagnie de Virginie possédait la plus grande partie des terres de ce que l’on nomme maintenant les USA, et toute terre située jusqu’à 1667 km au large. Cela comprenait les Bermudes et la plus grande partie des Caraïbes actuelles.

La Compagnie de Virginie (la Couronne britannique et les familles des lignées de sang) avait droit à 50 %, oui : 50 %, du minerai et de tout l’or et l’argent extraits sur ses territoires, plus un certain pourcentage des autres minéraux et matières premières, ainsi qu’à 5 % des bénéfices des autres entreprises.

Les chartes précisaient que ces droits étaient transmissibles aux héritiers des propriétaires de la Compagnie de Virginie et continuent donc à s’appliquer… indéfiniment !

Les membres qui contrôlaient la Compagnie de Virginie qui devaient jouir de ces droits, devinrent connus sous le nom du Trésorier et Compagnie des Aventuriers et des Planteurs de la Cité de Londres.

21 ans après la formation de la Compagnie de Virginie, tous les « droits, impôts et taxes » réglés au titre des activités commerciales menées dans les colonies durent être payées directement à la Couronne britannique par l’intermédiaire du trésorier de la Couronne. (…)

Les terres de la Compagnie de Virginie furent accordées aux colonies avec un bail, et ils ne pouvaient donc revendiquer la propriété de la terre. (…)

Par l’intermédiaire de son Conseil des Colonies, le monarque exigea que les membres de ces colonies imposent la religion chrétienne à tous, y compris aux Amérindiens. (…)

Les cours criminelles des territoires de la Compagnie de Virginie devaient opérer selon le droit de l’Amirauté — le droit maritime — et les cours civiles selon le droit commun, le droit terrestre. (…) Maintenant, regardez bien ! Tout ceci est encore le cas aujourd’hui ! » The United States, Inc.

L’Angleterre, le Canada, l’Australie et beaucoup d’autres pays sont politiquement dirigés par des « premiers ministres », responsables devant la reine. Elle est de fait le chef officiel de 123 pays du Commonwealth. L’Amérique, la Russie et d’autres pays, cependant, ont un « président » et un « vice-président ».

Les grandes entreprises ont habituellement un président et un vice-président. Cela veut dire quoi ? Les présidents américains gouvernent depuis la « Maison Blanche » (the White House). Les présidents russes gouvernent aussi depuis la Maison Blanche. Les Jésuites, une importante force au service des Illuminati, ont également leur propre Maison Blanche. l’Angleterre est dirigée depuis « Whitehall ».

Le gouvernement des États-Unis est dirigé depuis la « Maison Blanche », celui de l’Angleterre l’est depuis ce qu’on appelle « Whitehall », et Whitehall, comme notre « Maison Blanche », est le symbole du pouvoir parce que le « hall » est comme le temple maçonnique (masonic hall), le temple de la loge, le temple de l’union. » — Jordan Maxwell – Matrix of Power

« Pour ceux qui pensent que l’Amérique mène la danse, il serait bon de remarquer que la Reine d’Angleterre est toujours le chef officiel du Commonwealth (123 pays) et le monarque officiel de l’Australie et du Canada, en même temps que celui du Royaume-Uni. (…) Ajoutez à cela le fait que tout ce que Bush père a obtenu pour ses deux mandats présidentiels, c’est un simple titre de chevalier de l’Empire Britannique. » — Prash Trivedi

Les 13 colonies originelles des États-Unis s’appelaient en fait des compagnies. Il existe aussi des unités militaires qui s’appellent des compagnies. Nous chantons des chants patriotiques tels que « La Bannière étoilée », mais une bannière est une publicité d’entreprise, pas un drapeau.

On se rend avec un drapeau blanc, pas avec des couleurs. Quand vous êtes fou, vous vous révélez sous votre véritable jour (« sous vos vraies couleurs », dit-on en anglais). Si vous veniez de conquérir votre indépendance dans une sanglante révolution contre la Grande-Bretagne, choisiriez-vous les trois mêmes couleurs pour votre nouveau drapeau américain ?

Pourquoi est-ce que « every heart rings true for the red, white and blue » (tout cœur est sincère quand il s’agit du bleu, du blanc et du rouge »). Et qu’en est-il de ce drapeau à franges dorées utilisé par les militaires, suspendu dans toutes les cours de justice, les écoles et les bâtiments gouvernementaux ? Tout cela a un rapport avec le droit maritime et le drapeau britanniques.

Barack Obama est le PDG actuel de l’USA Corporation et les drapeaux frangés d’or situés à l’arrière plan signifient « gouvernés depuis l’étranger »

« On le connaît aussi sous le nom de droit maritime (militaire) britannique, et c’est la raison pour laquelle le drapeau américain comporte toujours des franges dorées quand il est placé dans les cours de justice des États-Unis. Même chose dans les bâtiments gouvernementaux et les établissements scolaires financés par le gouvernement fédéral.

Les franges dorées sont un symbole légal indiquant que la cour se conforme au droit maritime britannique et le « Uniform Commercial Code » — droit militaire et marchand, différent du droit commun ou du droit constitutionnel, dépendant du droit de l’amirauté concernant les pavillons, le drapeau présenté indiquant le type de droit dont dépend le navire (dans ce cas, la cour).

Toute personne qui entre dans ce navire (cette cour) accepte ce faisant de se soumettre au droit indiqué par le drapeau en question. Les juges refusent de remplacer le drapeau avec franges par un drapeau sans franges lorsque le demandent les accusés qui sont au courant, parce que cela change le type de droit sous lequel opère la cour de justice.

Si vous paraissez devant une cour à drapeau frangé d’or, vos droits constitutionnels sont suspendus, et on vous juge selon le droit maritime (militaire/marchand) britannique. — David Icke – Tales from the Time Loop

Le droit maritime international, le droit utilisé en haute mer, provient de Sumer, il a été amélioré à Rome, et demeure à ce jour. Jordan Maxwell a expliqué que la façon dont nous gérons aujourd’hui les échanges commerciaux a pour modèle les chevaliers du Temple/maçonniques, un système vieux de 1000 ans.

Notez bien [qu’en anglais], que votre colis soit envoyé par air, par mer ou par terre, vous l’expédiez « par bateau » (you « ship » it). Le navire rejoint son poste à quai et s’amarre au « dock ». Le capitaine doit fournir aux autorités portuaires un « manifeste » (« certificate of manifest ») déclarant les produits qu’il a amenés.

Grâce à un vide juridique créé par la famille royale, les citoyens US sont considérés comme propriété de la Reine selon le droit maritime britannique. Depuis notre naissance, où nous avons quitté les eaux maternelles, par les voies naturelles (birth canal), nous sommes en conséquence un produit maritime, un produit de base « expédié par mer/mère » (shipped). Notre mère, selon le droit maritime, livre un produit (Ndt : un « fruit de mère » ?), et c’est la raison pour laquelle nous naissons, en anglais, dans une « delivery room » (une salle d’accouchement ou de travail, mot-à-mot : une « salle de livraison »).

Voilà pourquoi le toubib (« doc » en anglais, mot qui, bien sûr, évoque le « dock » ci-dessus – Ndt) vous délivre un « berth certificate » (un manifeste, expression prononcée exactement comme « birth certificate », un extrait de naissance). On vous garde dans un « maternity ward » (un service de la maternité). Pourquoi le mot « Ward » ? Aucun autre secteur d’un hôpital ne s’appelle ainsi. Ce sont les prisons qui ont des « wards » (des cellules) et des « wardens » (des gardiens).

L’Entreprise États-Unis vit le jour juste après la Guerre de Sécession. La loi de 1871 a été votée par le congrès et a établi une forme de gouvernement distincte pour le District de Columbia, en en faisant avant tout une entreprise.

On a décidé qu’on appellerait les employés des « citoyens ». Donc, lorsque vous affirmez par écrit ou devant une cour de justice que vous êtes citoyen des États-Unis, vous n’êtes pas un Américain libre, mais un employé d’US Inc.

Quand vous avez une amende, un procès-verbal, une facture, que vous êtes poursuivi en justice, vous devez signer votre nom tout en majuscules. Lorsque vous décédez, votre pierre tombale, maçonnique de par la loi, sera entièrement écrite en majuscules, pour montrer que leur employé est mort.

L’entité représentée par votre nom écrit entièrement en majuscules est votre code-produit selon le droit maritime. Majuscules et minuscules vous représentent légalement, représentent votre corps.

Le « Uniform Commercial Code » (le code commercial uniformisé) a été approuvé par l’Association du Barreau Américain, qui est une franchise, une filiale, du système légal britannique et de sa hiérarchie siégeant au Barreau du Temple, à Londres (dont le nom provient de la société secrète des Chevaliers du Temple, ou Templiers, Illuminati).

Je l’écris depuis des années : le pouvoir qui contrôle l’Amérique est basé en Grande-Bretagne et en Europe [continentale], parce que c’est là que se trouve le pouvoir propriétaire de l’Entreprise États-Unis. Incidemment, si vous trouvez étrange qu’une cour de justice située sur la terre ferme puisse être administrée selon le droit maritime, Il énonce que la Juridiction de l’Amirauté est applicable dans les lieux suivants : (1) en haute mer ; (2) sur tout navire américain ; (3) sur tout territoire acquis pour les États-Unis ou qui est réservé à leur usage, et placé sous leur juridiction exclusive ou partagée, ou en tout lieu acheté ou acquis d’une autre manière par les États-Unis, avec le consentement du législateur de l’État concerné.

Autrement dit, l’Amérique continentale. Tout ceci est fondé sur le droit romain, car les Illuminati ont toujours joué ce jeu au fil des siècles, partout où ils sont allés. Les principaux hommes politiques savent ce qu’il en est, tout comme les administrateurs gouvernementaux, les juges, les avocats, et les « journalistes » qui sont dans le secret. Ceux qui comprennent ce qui se passe et demandent à la cour le nom du vrai créditeur, ou à qui vont les amendes imposées par le « système légal », se voient refuser ce renseignement par le juge. Dans de tels cas, les vrais créditeurs, et les ultimes récipiendaires des amendes, ce sont les banquiers pour lesquels le « pays »-entreprise est en faillite.

Les avocats et les avoués doivent passer l’examen de l’Association du Barreau (Bar Association) tout comme les alcooliques vont au « bar », que les mordus du sucre mangent des « candy bars » (des bâtons de sucre d’orge), et que les joueurs espèrent voir s’aligner « 3 barres » sur la machine à sous. Tout ceci provient du « Temple Bar » des Templiers anglais du début du XIIIème siècle. Au départ, le Temple Bar n’était littéralement qu’une barre ou chaîne tendue entre deux poteaux situés à proximité des écoles de droit du Temple. C’est rapidement devenu une énorme porte bâtie en pierre, et on a finalement construit huit de ces portes, afin que les élites puissent restreindre ou contrôler le commerce à l’intérieur de la Cité de Londres. On les a abattues au cours du XIXème siècle, mais on en a numéroté et stocké les pierres, jusqu’en 2004, année où on a tout simplement réédifié le Temple Bar à Londres. « L’entreprise États-Unis (the United States Corporation) a été créée derrière le paravent d’un « Gouvernement Fédéral », lorsqu’à la suite de la « victoire », fabriquée de toutes pièces, de la Guerre d' »Indépendance » américaine, les Colonies Britanniques sont passées de la dictature ouverte de Londres à celle, plus discrète, qui n’a cessé d’exister depuis. De fait, la Compagnie de Virginie, la grande entreprise régie par la Couronne britannique qui contrôlait les « anciennes » colonies, a seulement troqué son nom pour « les États-Unis » et autres pseudonymes en rapport.

Parmi ceux-ci figurent les US, les USA, les États-Unis d’Amérique, Washington DC, le District de Columbia, le Gouvernement Fédéral, et les « Feds ». La United States Corporation a son siège dans le District de Columbia et son PDG actuel est un certain George W Bush.

Il n’est pas le président des gens, ni du pays, comme on le leur fait croire, il ne s’agit là que d’un écran de fumée. Cela veut dire que Bush a lancé une « guerre contre le terrorisme » au nom d’une compagnie privée, dans le seul but d’atteindre les objectifs de cette entreprise.

Cela n’a rien à voir avec « l’Amérique » ou « les Américains », parce que ce sont là des entités légales distinctes. C’est à la United States Corporation qu’appartient les militaires des États-Unis, et à qui appartient tout ce qui est considéré comme « fédéral ».

Ce qui inclut la Réserve Fédérale, la « banque centrale » des États-Unis qui, en réalité est une banque privée possédée par les actionnaires dominants (et contrôleurs de l’US Corporation) qui ne sont même pas Américains. C’est la banque à laquelle la United States Corporation — l’Entreprise États-Unis — emprunte de l' »argent ». » —

La carte de l’Empire Britannique Élargi

Une vérité choquante à propos de votre bulletin de naissance

» Regardez, au bas de votre bulletin de naissance, il est écrit Département du Commerce. Il appartient au ministère du Commerce parce que vous n’êtes rien de plus que du matériel commercial. Voilà pourquoi, lorsque vous vous retrouvez sans emploi, vous n’allez pas au bureau pour l’emploi, mais au Bureau des Ressources Humaines, juste parce que vous n’êtes qu’une ressource humaine. » Conférence-Diapos sur les symboles cachés, 1990.

Le juge siège pour la banque (« bank »). Il y a des berges (« banks ») sur les deux côtés d’une rivière. Une berge (« river bank ») dirige le flux (« flow ») du courant / de la mer (« current/sea ») — la monnaie/la devise (« currency », prononcé presque comme « current/sea » – Ndt), la trésorerie (« cash flow »). La monnaie (« current-sea ») est « déposée » de rive en rive/de banque en banque (from bank to bank) au fil de la rivière.

Nous ne sommes que des « consommateurs » à qui on fait de la publicité, que des « ressources humaines » à utiliser comme des batteries, et eux, ce sont les « ingénieurs sociaux », les manipulateurs des structures sociales qui nous façonnent, nous autres « bouches inutiles », en esclaves payés.

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