1871  De la COMMUNE DE PARIS à la République 2

Publié le par Bernard Gasnot

1871  De la COMMUNE DE PARIS  à la République 2

 

 1 Souvenez-vous de la chronique du 28 janvier dernier qui nous parlait de la désastreuse guerre franco-prussienne de l'été-automne 1870 et nous emmenait de la proclamation de la république (4 septembre 1870) à la Commune de Paris. Nous nous étions quittés ce jour-là sur une situation des plus instables dans cette bonne ville de Paris en cette année 1871: épuisée et affamée par un siège de cinq mois menés par les Prussiens, la ville, qui débordait d’un farouche patriotisme, était forcée de capituler sans avoir pu véritablement se battre.

Retrouvons-nous maintenant, précisément, en mars 1871.

Paris voit avec effarement le nouveau gouvernement républicain, théoriquement issu du peuple, aiguillonné par une Assemblée Nationale à majorité royaliste (en raison du vote rural du 8 février 1871), procéder à la suppression vexatoire du statut de capitale de Paris au profit de Versailles, prendre de brutales mesures économiques (fin du moratoire sur les loyers et les dettes commerciales) et suspendre les libertés de réunion et d’expression... L’Assemblée Nationale ratifie ensuite, dans la désapprobation générale, le traité de paix signé avec l’Empire allemand le 1er mars (le jour même, les Prussiens défilent dans Paris) : perte de l'Alsace et de la Lorraine et versement à l'Allemagne d'une indemnité de guerre de 5 milliards de francs-or afin que les Prussiens évacuent le territoire !

Cela porte l’exaspération de la population parisienne, déjà travaillée par un activisme de groupes ouvriers révolutionnaires, à son comble. Le peuple aurait-il lutté, souffert, enduré toutes ces privations pour retourner sous la coupe d’un gouvernement répressif et lâche ? Cela semble incompatible avec le vent de liberté qui a soufflé sur Paris suite à la chute de l'empire : dans un climat d’initiatives populaires et patriotiques multiples (clubs, associations, journaux), des « comités de vigilance » se sont spontanément constitués en septembre 1870 pour aider, voire contrôlé, les élus municipaux dans leurs tâches. Ces comités n’entendent pas abdiquer leur influence récemment acquise.

Noyautés par des militants de l'Association Internationale des Travailleurs (AIT), ils revendiquent d’abord pour Paris les libertés municipales dont la ville a été privée en 1851 en raison de son opposition à l'Empire de Napoléon III. Durant le siège de Paris, ils ont milité également pour la réquisition et la distribution des subsistances et des logements, pour la levée en masse et pour l'armement des citoyens sous contrôle populaire : ils entendent développer leur action en profitant du contexte de faim et de misère que le comportement du nouveau gouvernement, jugé défaitiste, rend insupportable.

Mais sans l’épée, le pouvoir de la plume n’est rien. 2

Or, parallèlement, la Garde Nationale (sorte de milice armée formée de civils réservistes et qui a assuré avec succès la défense de Paris durant l’hiver) détient un stock d’environ 200 canons : des canons acquis par souscription populaire dans les premiers jours d’octobre et qui ont été regroupés, par précaution, sur les hauteurs de la ville, à Montmartre. Ultra patriotes et issus des milieux populaires, la Garde Nationale est très sensible à la propagande des éléments ouvriers et syndicaux les plus radicaux. Pire, cette force armée s'organise début mars 1871 en une fédération républicaine (où les Gardes nationaux vont prendre l’appellation de « fédérés », retenez bien ce nom…) et dont le Comité central est composé de délégués élus par la base ! Mécontentement populaire réel, manipulation de groupes radicaux décidés, présence d’armes pouvant être utilisées contre les forces de l’ordre : le cocktail bien connu des émeutes de notre XXème siècle est déjà disponible pour ce qui pourrait être la plus grande insurrection française du XIXème... Cette situation explosive est intolérable pour Adolphe Thiers, nouveau chef du gouvernement qui négocie avec Bismarck le retrait des troupes prussiennes du territoire national. Pour lui, il n’est pas question qu’un armement de cette importance reste aux mains de troupes irrégulières. Thiers a gravi l’échelle sociale grâce à son travail, ses compétences et ses alliances matrimoniales et en dépit du cloisonnement social des monarchies de Charles X et de Louis-Philippe. Il a réussi à survivre à l’Empire de Napoléon III et appelle de ses vœux la pérennisation d’une république conservatrice et bourgeoise, soucieuse d’ordre et de méritocratie. Mais celle-ci est fragile : 6 mois d’existence seulement (depuis le 4 septembre 1870) ne garantissent aucunement une grande longévité quand l’on réfléchit au poids du vote rural en faveur de députés… royalistes ! Thiers veut éviter à tout prix une probable restauration monarchique et, pour cela, il lui faut d’abord étouffer dans l’œuf toute révolution ouvrière à visée socialiste, qui provoquerait immanquablement l’anarchie, la ruine du commerce par l’isolement de la France qu’elle induirait puis, fatalement, une reprise en main autoritaire par un régime dominé par les royalistes. 3

Début mars 1871, afin de rétablir l'ordre, il décide de désarmer la Garde Nationale. Le 18 mars, il envoie la troupe régulière pour reprendre le contrôle des arsenaux de Montmartre. Incurie ou provocation délibérée ? L’opération, mal préparée (les soldats n’ont pas apporté d’attelages avec eux pour tirer les canons et ne peuvent donc matériellement en prendre le contrôle) tourne en tout cas au fiasco. La foule et les gardes nationaux se rassemblent face aux soldats, on élève des barricades et, désemparés, les soldats finissent par fraterniser avec la population. Les deux généraux qui commandaient le détachement, Lecomte et Thomas, sont capturés et lynchés par une foule surexcitée. Les insurgés ameutent alors la population : c’est le début effectif d’une étonnante insurrection : la "Commune" (= l'érection du pouvoir municipal en autorité autonome du reste de l'Etat).

Thiers décide alors d’appliquer une tactique qu'il avait vainement conseillée au roi Louis-Philippe lors des émeutes de 1848 (lesquelles avaient abouti à la chute de la monarchie). On peut d’ailleurs valablement se demander (sans réponse) si elle ne constituait pas un plan préparé d’avance pour « liquider » ensuite l’opposition ouvrière révolutionnaire : il s’agit de l'abandon de la ville de Paris aux insurgés. Il s’agit de toutes façons au premier chef d’éviter à tout prix aux forces de l’ordre des batailles de rues comme celles de 1830 et 1848 : une situation à l’issue hasardeuse au vu de la topographie de Paris (nombreuses ruelles, même si les travaux d’Haussmann ont modifié les boulevards) et de l’armement de sa populace.

Les ministères et les troupes régulières se replient donc sur Versailles. Le Comité central de la garde nationale, qui s'est installé à l'Hôtel de Ville dans la confusion, se trouve alors maître de la capitale sans combat. Cette victoire inattendue fait hésiter ses membres sur la conduite à tenir. Certains proposent de poursuivre les troupes régulières, de se diriger sur Versailles et de prendre le pouvoir par la force en renversant l’Assemblée Nationale. Délaissant cette perspective audacieuse mais incertaine, le Comité central décide plutôt de consolider la situation sur le plan politique. Il s’agit de donner une légitimité populaire à l’insurrection par l'élection d'une municipalité, ou « commune ». Les élections ont lieu le 26 mars et, deux jours plus tard, le nouveau conseil municipal de Paris prend le nom de « Commune de Paris ».

L’idée, très présente aujourd’hui encore, que la « Commune » fut une révolution ouvrière et prolétarienne, menée contre la bourgeoisie par le petit peuple opprimée, repose en réalité largement sur la récupération qu’en a fait l’extrême-gauche dans la mémoire collective. Parmi les 85 élus, les ouvriers ne sont en effet que 25 et la majorité est composée d'employés et de petits patrons, auxquels s'ajoutent quelques journalistes (ex. Jules Vallès), des professions libérales ou encore des artistes tel le poète Jean-Baptiste Clément. Mais elle repose également sur le souvenir des initiatives sociales qui vont être prises par le nouveau gouvernement (on verra lesquelles plus loin).

Elle est enfin la conséquence du fait que, en bons activistes décidés, ceux que l’on appellerait aujourd’hui les « gauchistes » vont faire main-basse sur le pouvoir municipal en accaparant les principaux postes de direction. Les élus de la Commune se divisent ainsi entre quatre grandes tendances :

- les « radicaux », héritiers du jacobinisme révolutionnaire représentent la majorité

- les « internationaux » sont des ouvriers membres de l'AIT (17 élus)

- les « blanquistes » (du nom du révolutionnaire Auguste Blanqui) sont partisans de la violence révolutionnaire, ce sont les plus durs mais ils n’ont que 8 élus

- les « républicains modérés », enfin, obtiennent 15 élus. Hostiles à l'insurrection, ils refusent de siéger, laissant le champ libre aux éléments les plus extrémistes.

La direction de la ville est donc aux mains d’éléments partisans de changement radicaux : un peu comme si Arlette Laguiller, Alain Krivine et Olivier Besancenot prenaient aujourd’hui le pouvoir dans la capitale et commençaient à diriger les affaires publiques avec des idéaux collectivistes ! Le parisien moyen frissonne déjà à cette idée… Dès son élection, la Commune se met au travail en se divisant en 10 commissions : (commission exécutive, des finances, militaire, de la justice etc…). Celle-ci vont prendre des mesures révolutionnaires pour l’époque mais qui, tout bien, considéré, offrent néanmoins quelques résonances actuelles. Vous l’allez voir.

A un moment où l’assurance–chômage n’existe pas, on ouvre des ateliers pour les sans-travail (nos contrats-emploi-solidarité ?). Les loyers sont annulés d’office pour les trois derniers termes échus (nos lois actuelles sur le surendettement ?), les échéances commerciales sont rééchelonnées d’autorité pour éviter les faillites (le droit commercial d’aujourd’hui ne fige-t-il pas les dettes dans le cadre du redressement judiciaire ?). On restitue à leurs propriétaires les objets engagés au mont-de-piété (prêt sur gage) pour des sommes modiques. On édicte une législation sociale interdisant les amendes sur salaires dans les ateliers et le travail de nuit pour les ouvriers boulangers (ce qui mécontente d’ailleurs le petit peuple qui, lui, est habitué à son pain frais le matin !) On proclame aussi la séparation de l'Église et de l'État (elle sera votée par le Parlement en 1905, soit 30 ans plus tard et ne risque pas, aujourd’hui, d’être remise en cause au moment où l’on débat de la laïcité à l’école). On institue l'enseignement gratuit, laïc et obligatoire (ce sera chose faite par Jules Ferry en 1882, dix ans seulement après !).

Les entreprises de l'État et de la Ville sont « communalisées » (on dirait aujourd’hui « nationalisées » comme certaines le furent en 1945 et en 1981 !) et confiées à la gestion de leurs propres ouvriers. Le fruit du capital ne profite donc plus seulement aux capitalistes mais aussi aux travailleurs (la participation, instituée par le général De Gaulle en 1945, ou encore l’actionnariat populaire, sont aujourd’hui les avatars bourgeois de ces conceptions). Il règne un climat de fête, de liberté retrouvée, de spontanéité. Ce n’est pas mai 68, c’est mars 71 ! Ce n’est pas encore Woodstock ni l’Ile de Wight, c’est tout simplement Paris, ses guinguettes et ses boulevards !  Les rues se couvrent d'affiches et d'inscriptions et les journaux fleurissent. On rétablit le calendrier révolutionnaire (nivôse, pluviôses, ventôse, etc…) et des clubs se multiplient (« bataillons de la garde nationale », coopératives, « union des femmes »). On publie une pompeuse déclaration du genre de celle des Droits de l’Homme de 1789, on supprime le service militaire mais aussi, tant qu’on y est, l’armée de métier. Le 16 mai 1871, on renverse la colonne de la place Vendôme, faite avec le bronze des canons pris à l’ennemi lors des campagnes napoléoniennes : elle est le symbole de l’oppression et de la guerre.

La « Commune de Paris » fait des émules : fin mars 1871, des mouvements insurrectionnels éclatent à  Marseille, Lyon, Saint-Étienne, Le Creusot, Toulon et Narbonne.

C’est le début d’une ère nouvelle ?

Non, ces émeutes provinciales sont rapidement écrasées et, en réalité, les jours de la Commune de Paris elle-même sont comptés... Dès le 2 avril, les « Versaillais » commencent à bombarder la capitale. Les « communards » tentent une sortie le lendemain. C’est un échec : les pertes sont lourdes, les chefs militaires communards Duval et Flourens sont capturés et exécutés. La situation s’envenime et, tandis que des tensions internes commencent à disloquer le commandement de la Commune, celle-ci décrète que toute personne reconnue complice de Versailles serait dorénavant retenue comme otage. 4

 

Militairement, les Versaillais progressent. Ils bouclent progressivement l’ouest parisien, tandis que, à l’Est, l’armée prussienne campe sous les fortifications, interdisant tout passage et laissant les Français s’étriper entre eux. Les bombardements font la joie des enfants qui se réunissent sur le haut de la place de l’Etoile pour observer les fumées des combats.

Les premières défaites militaires conduisent l'Assemblée communale à former, le 28 avril, un Comité de salut public aux pouvoirs renforcés : il s’agit ni plus ni moins que d’une dictature qui exclut la minorité d’opposition. Il désormais est loin le temps de l’insouciance et des beaux idéaux. C’est dans un climat d’anarchie et de violence que la situation interne de la Commune se dégrade lentement : les bataillons de la garde nationale , par exemple, sont incapables de se plier à une quelconque discipline et passent leur temps à destituer et réélire leurs délégués.Le 21 mai, un traître du nom de Ducatel indique aux troupes régulières un endroit des fortifications laissé sans surveillance : les « Versaillais » entrent alors dans Paris. C’est l’hallali.

Mais les Communards n’entendent pas reculer et, pendant une semaine, la guerre civile fait rage : les soldats du gouvernement progressent d’ouest en est, enlevant chaque barricade à la baïonnette. Ce n’est partout que combats de rue acharnés dans un Paris transformé en camp retranché. La répression des « Versaillais » est impitoyable : tout individu trouvé les armes à la main est fusillé immédiatement et sur place. Il en est de même pour les femmes qui apportent leur soutien aux combattants en transportant vivres ou armes (les fameuses « pétroleuses » !). Mais les exactions sont nombreuses et les exécutions sommaires de femmes et d’enfants qui ont lieu soulèvent vite l’indignation de la population. A la férocité des troupes régulières répond alors l’absence de scrupule des Communards, retranchés, repoussés, décimés, sans cesse réduits et qui ne voient plus aucune issue qu’un ultime baroud. Le 26 mai 1871, plusieurs dizaines d'otages innocents (dont Mgr Darboy, archevêque de Paris) sont fusillés pour l’exemple. Le bilan de ces exactions approche 500 personnes au total.

Mais les insurgés continuent de perdre du terrain : au bout d’une semaine de combats intenses et au milieu d’un véritable bain de sang, les troupes régulières sont maîtres de la majeure partie de la capitale. Malgré une résistance désespérée et après une ultime poursuite parmi les tombes du cimetière du Père-Lachaise, le gros des derniers irréductibles est fusillé le 27 mai devant le mur qui portera désormais le nom de « Mur des fédérés ». Le lendemain, 28 mai 1871, la dernière barricade tombe : c’est la fin officielle de l’insurrection de la Commune de Paris Le bilan de cette « semaine sanglante » est lourd : entre 20 000 et 30 000 morts du côté des insurgés dont les monceaux de cadavres jonchent des rues de Paris dévastée. L’Hôtel de Ville, les Tuileries, le Louvre ont été incendiés. Partout, le spectacle n’est que désordre, mort et destruction.

Le calme revient donc mais, pour Adolphe Thiers, la question n’est pas close : l’insurrection ponctuelle écrasée, il faut définitivement éradiquer la menace révolutionnaire pour assurer l’avenir de la république bourgeoise. Après avoir compté les morts, on compte les prisonniers : 43 000 ! Dans les deux mois suivants, les tribunaux militaires prononcent une centaine de condamnations à mort complémentaires, plus de 13 000 peines de prisons et près de 4 000 déportations en Nouvelle-Calédonie… Ouste !

Cette fois, la Commune est bien finie.

Qu’en reste-t-il cependant aujourd’hui, outre l’œuvre législative qui fut largement reprise ou adaptée par les gouvernements ultérieurs ? Tout d’abord une forme de nostalgie romantique (les Français sont très forts pour cela). Chaque année a ainsi lieu la célébration de l’anniversaire de l’évènement par divers groupuscules anarchistes et gauchisants qui l’ont récupéré politiquement (pour, on l’a vu, des raisons historiquement contestables) et qui restent inconsolables d’un « Grand Soir » qui n’eut jamais lieu que dans leur mythologie. Le chant  « L’Internationale » (« C’est la lutte finale, etc… ») que nous connaissons tous a d’ailleurs été composé par le communard Eugène Pottier, juste après les évènements, en juin 1871.

 5 Il est ainsi étrange que la ville de Paris ait tenu à rendre hommage à ses insurgés en leur donnant des noms
de rues, parmi lesquelles nous citerons  :
- la rue Gustave Courbet (en plein quartier chic du 16ème arrondissement, un comble !) : un peintre qui fut à l’origine de la démolition de la colonne de la Place Vendôme et fut d’ailleurs ensuite notamment condamné à… la rembourser !
- ou bien la rue Jean-Baptiste Clément (poète à la fibre communarde et auteur en 1868 de la chanson « Le temps des cerises » que votre grand-mère fredonna peut-être
- ou encore le Boulevard Auguste Blanqui (un activiste révolutionnaire, pourtant, qui fut surnommé l’ « enfermé » car il fut emprisonné durant la majeure partie de sa vie !)
- et enfin, carrément, la… Place de la Commune de Paris (13ème arrondissement) !

Nous n’oublierons pas, également, la station de métro Louise Michel, passionaria des barricades qui fut expédiée en détention en Nouvelle-Calédonie, d’où elle correspondit beaucoup avec Victor Hugo. Dans cette bonne ville de Paris, on a donc à l’évidence le culte, sinon la nostalgie, de la barricade. Du moins tant que ces dernières ne renversent pas l’ordre petit-bourgeois : la Commune est en réalité la dernière révolution que connaît la France au XIXe siècle et son écrasement écarte le danger révolutionnaire pour longtemps, permettant ainsi aux modérés de jeter les bases d'une République conservatrice seule capable d'assurer l'ordre social. Et puis il nous reste enfin l’Hôtel de Ville de Paris tel que nous le connaissons aujourd’hui : incendié entièrement lors des derniers jours de l’insurrection, c’est donc à sa destruction quasi-complète que nous devons son architecture actuelle, rénovée pour l’occasion. Il en est de même, partiellement, pour le château des Tuileries (qui n'existe plus et se trouvait à la place de l'actuel avenue du général lemonnier) et le Louvre, lequel fit l’objet d’un important chantier de reconstruction.

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