Les Dessous du Communisme autoritaire«

Publié le par Bernard Gasnot

Les Dessous du Communisme autoritaire«

L’Holodomor (littéralement « tuer par la famine ») fut mis en place par deux juifs communistes : Joseph Staline et Lazare Kaganovitch. Les listes officielles publiées en 2009 montrent que presque tous les communistes qui ont causé l’Holodomor étaient juifs. (tout communites souhaitent occulter ce fait et bien d’autres encore.)

Shimon Peres, le président de l’État d’Israël conseillera plus tard aux Ukrainiens « d’oublier l’histoire

Le communisme, comme nous allons le voir, est une création juive. Sous prétexte d’une lutte de classes qui voudrait, dans son idéal, abolir la bourgeoisie au profit général du peuple, les pires atrocités ont été commises par un groupuscule bolchévique bien identifié, mais tut à l’école ou dans les livres historiques les plus répandus. En outre, tous les théoriciens du communisme furent juifs. Là Russie Tzariste fût la première grande victime de la « terreur rouge ».

Vous devez comprendre que les dirigeants bolcheviques qui ont conquis la Russie n’étaient pas des russes. Ils haïssaient les russes. Ils haïssaient les chrétiens.

Poussés par la haine ethnique, ils ont torturé et massacré des millions de russes sans l’ombre d’un remord. On ne peut pas le souligner assez.

Le bolchevisme a commis les plus grands massacres de tous les temps. Le fait que la plupart du monde soit ignorant et insensible à ce crime monstrueux est la preuve que les médias mondiaux sont aux mains des auteurs de ce crime.

Le Secret Derrière le Communisme

Parle des origines ethniques de la révolution communiste et du plus grand Holocauste dans l’histoire de l’humanité, sur les motivations ethniques derrière la révolution bolchevique et les génocides commis par les Soviétiques. Le Dr David Duke utilise la recherche de Raphael Lemkin pour exposer le génocide délibéré bolchevique contre le peuple ukrainien, ce qu’on appelle aujourd’hui l’Holodomor. Il expose également la guerre bolchevique contre l’intelligentsia russe et leur noblesse était aussi une tentative de détruire le leadership naturel du peuple russe, de manière à les rendre plus faible contre leurs nouveaux dirigeants d’une minorité ethnique abrité d’une animosité raciale profonde envers le peuple russe.

Il montre comment presque tous les historiens renommés sont d’avis que les communistes ont tué beaucoup plus d’êtres humains que le nombre allégué contre Hitler, mais il souligne que les génocides de la Terreur Rouge sont presque totalement ignorés par Hollywood et les médias de masse. Il montre aussi la longue et étroite relation entre le communisme et le sionisme, et comment les deux entités extrémistes se sont engagées dans des stratégies répressives similaires.

Le moteur secret du Communisme

Le Communisme destructeur et assassin

De tous les systèmes révolutionnaires conçus au cours de l’Histoire dans le but de détruire les valeurs de notre civilisation, systèmes qui ont été employés tout au cours des âges de la façon la plus efficace et toujours au moment le plus propice, le plus parfait, le plus efficace et le plus impitoyable est sans aucun doute le Communisme, qui représente la démarche la plus avancée de la Révolution mondiale. D’après ses doctrines, il ne s’agit pas seulement de détruire une institution politique, sociale, économique ou morale particulière, mais d’anéantir la Sainte Église, et même plus, de faire totalement disparaître les expressions culturelles chrétiennes qui font partie de notre civilisation.

Si avec une étrange unanimité les tendances révolutionnaires juives ont toutes attaqué le Christianisme dans ses différents aspects, le Communisme lutte pour les éradiquer totalement de la face de la terre, sans en laisser la plus petite trace.

En montrant aux yeux du monde les plus épouvantables tableaux d’horreurs et de ruines jamais imaginés, l’expression destructrice de cette tendance satanique ne peut avoir d’autre fondement que l’essence même de la négation et du refus le plus violent et haineux de tout ce qui existe. Autrement, la méchanceté inouïe de ses tactiques criminelles et l’esprit de destruction, d’anéantissement, et la volonté de ses dirigeants de blesser, contredire et s’opposer à toute représentation de critères axiologiques, non seulement catholiques, mais religieux en général ne saurait se concevoir.

Le but du Communisme, comme on en a l’évidence en Russie et dans les autres pays où il s’est implanté, n’est rien d’autre que l’annihilation du peuple dans les domaines économique, politique, social, humain et transcendant, pour permettre à une minorité d’imposer sa domination par la force.

D’un point de vue international, son but ne peut être plus clair : il s’agit d’obtenir par la force qu’une infime minorité obtienne la domination mondiale, en anéantissant tous les autres êtres humains au moyen du matérialisme, de la terreur, et si nécessaire par la mort, même si pour cela il faut assassiner des ensembles importants de populations.

Le dynamisme homicide qui a caractérisé les dirigeants soviétiques est suffisamment connu dans le monde entier, et rares sont ceux qui n’ont pas éprouvé des frissons d’horreur en apprenant les sanglantes déprédations accomplies par les marxistes en Russie. Qu’il suffise de rappeler quelques données qui remplissent de stupeur et d’indignation les esprits civilisés.

« A ses débuts, la terreur rouge s’est vouée surtout à exterminer l’Intelligentsia russe, et, comme preuve de cette affirmation, S. P Melgounov, faisant référence aux Commissions Extraordinaires qui surgirent en Russie aux premiers temps de la révolution soviétique, constate ceci : « Les Commissions Extraordinaires ne sont pas des organes de Justice, mais d’extermination impitoyable, selon l’expression même du Comité Central Communiste, qui déclarait :

« La Commission Extraordinaire n’est pas une Commission d’enquête, ni de jugement, ni un tribunal, mais elle même détermine ses attributions. Elle est un organisme de combat, qui opère sur tout le front intérieur de la guerre civile. Elle ne juge pas l’ennemi, mais elle l’extermine; elle ne pardonne pas à celui qui est de l’autre côté de la barricade, mais elle l’anéantit. Il n’est pas difficile de se représenter comment doit s’accomplir dans la réalité cette extermination sans pitié, quand, au lieu du « code mort des lois », règne la seule expérience révolutionnaire et sa conscience. La conscience est subjective, et l’expérience fait forcément place à la volonté, qui prend des formes irritantes selon la qualité des juges ».

Le dirigeant communiste Latsis écrivait : « Nous ne faisons pas la guerre contre les personnes en particulier : nous exterminons la bourgeoisie en tant que classe. Ne cherchez pas pendant votre enquête des documents ou des preuves de ce qu’a fait l’accusé contre l’autorité soviétique. La première question que vous devez lui poser est : à quelle classe appartient-il ? de quelle origine est-il ? Quelle est son éducation, son instruction, sa profession ? »

Pendant la sanglante dictature de Lénine, la Commission d’enquête de Rohrberg, qui entra dans Kiev après la prise de la ville par les volontaires en août 1919, signalait ce qui suit :

« Tout le sol bétonné du grand garage (il s’agit du lieu d’exécution de la Tcheka provinciale de Kiev) était couvert de sang ; celui-ci ne coulait pas, mais formait une couche coagulée de plusieurs pouces d’épaisseur ; c’était un horrible mélange de sang, de sexes, de morceaux de crânes, de mèches de cheveux et d’autres restes humains. Tous les murs, troués de milliers d’impacts de balles, étaient tachés de sang, avec des morceaux de sexes et de cuir chevelu collés dessus.

« Un caniveau de 25 cm de largeur et de 25 cm de profondeur, long d’une dizaine de mètres, allait du centre du garage à un local voisin, où s’ouvrait une canalisation souterraine d’égout. Ce caniveau était complètement rempli de sang ».

« Habituellement, sitôt après le massacre, ils transportaient les corps hors de la ville dans des camions, des voitures et des fourgons, et les enterraient dans des fosses communes.

« Dans un coin de jardin, nous avons trouvé une fosse plus ancienne, qui contenait environ huit cents cadavres, et nous avons découvert là sur ces corps des signes de cruautés et de mutilations les plus invraisemblables et diverses. Là, gisaient des cadavres éventrés ; d’autres étaient amputés de divers membres ; quelques-uns étaient écartelés ; et d’autres avaient les yeux enlevés et la tête, le visage, le cou et le tronc couverts de coupures profondes. Plus loin, on a trouvé un cadavre avec une cale enfoncée dans la poitrine, et d’autres sans leur langue. Dans un coin de la fosse nous avons découvert beaucoup de bras et des jambes détachés de leurs troncs ». L’énorme quantité de cadavres qu’a accumulés et que continue d’accumuler dans des conditions épouvantable le Socialisme communiste de Marx restera peut-être à jamais inconnue mais dépasse tout ce que l’on peut imaginer.

Dans le journal d’Edimbourg « The Scotsman » du 7 novembre 1923, le professeur Sarolea donnait les chiffres suivants :

« Vingt-huit Evêques, mille deux cent dix-neuf prêtres, six mille professeurs et maîtres, neuf mille médecins, cinquante-quatre mille fonctionnaires ; deux cent soixante mille soldats, soixante-dix mille policiers; douze mille neuf cent cinquante propriétaires ; trois cent cinquante-cinq mille deux cent cinquante intellectuels ou membres des professions libérales, cent quatre-vingt-seize mille deux cent quatre-vingt-dix ouvriers, et huit cent quinze mille paysans ».

La Commission d’enquête de Denikine sur les intrigues bolcheviques durant la période 1918-1919, dans un essai sur la terreur rouge dénombre pour ces deux années seulement un million sept cent mille victimes. Kommine dans le Roul du 3 août 1923 faisait le commentaire suivant :

« Pendant l’hiver 1920, l’URSS comprenait cinquante-deux gouvernements, avec cinquante-deux Commissions Extraordinaires (Tchékas), Cinquante-deux Sections Spéciales et cinquante-deux Tribunaux révolutionnaires. En outre, il y avait d’innombrables Eret-Tchékas : des Réseaux de transport, des tribunaux des Chemins de fer, des tribunaux des troupes de Sécurité de l’Intérieur, des tribunaux mobiles pour les exécutions de masse envoyés sur les lieux concernés. A cette liste de chambres de tortures, il faut ajouter les Sections Spéciales, c’est à dire les seize tribunaux de l’Armée et de divisions. Au total, on doit compter presque mille chambres de torture, et si l’on considère qu’au cours de cette période il existait aussi des Commissions cantonales, on devrait en compter plus encore. Après, les nombreux gouvernements de l’URSS s’accrurent encore : la Sibérie, la Crimée, l’Extrême-Orient furent conquis. Le nombre des Tchékas (Commissions) augmenta en proportion géométrique.

Suivant les données soviétiques (en 1920, alors que la terreur n’avait pas diminué mais que les informations n’étaient pas censurées), il fut possible d’établir le nombre moyen d’exécutés par jour pour chaque tribunal. Le nombre des exécutions allait de une à cinquante par jour dans les grandes villes, et jusqu’à cent par jour dans les régions récemment conquises par l’Armée Rouge. Les crises de terreur étaient périodiques, puis s’arrêtaient, de sorte que, suivant une évaluation prudente, on peut fixer le nombre moyen de victimes à cinq par jour (par tribunal)… ce qui multiplié par le nombre de mille tribunaux donne cinq mille tués par jour. Et pendant une année, de presque un million huit cent mille victimes ».

Nous rappelons ici ces massacres inouïs, non pas seulement parce qu’ils sont les plus grands dans leur ensemble et les plus impitoyables, mais parce qu’à quarante-cinq ans de distance, nous pouvons les avoir effacés du panorama du communisme actuel. Et ceci même de la part de personnes contemporaines des faits, mais qui vivant encore aujourd’hui ont elles-mêmes oublié ces tragédies par cette facilité qu’ont les humains d’oublier, non seulement les faits désagréables qui les affectent directement, mais même aussi les faits dont ils furent victimes.

Malheureusement, avec le temps nous avons assisté à une expansion vraiment démoniaque du Communisme dans ses activités meurtrières, que nous ne détaillerons pas ici et dont nous ne présenterons pas les monstrueuses statistiques, connues de tout le monde. D’autant que certains de ces massacres féroces sont si récents qu’il nous semble encore entendre les cris de terreur des torturés, les lamentations des accusés, les râles des moribonds et l’accusation muette et définitive des cadavres.

Il suffit de rappeler les récents massacres de Hongrie, de Katyn en Pologne, d’Allemagne de l’Est, de Cuba, les précédentes purges massives de Staline, et l’anéantissement de millions de Chinois par le gouvernement communiste de Mao Tsé Tung.*

Une statistique sérieuse des victimes du Communisme a été fournie en 1957 par l’ouvrage italien « Rivelazione d’Interesse Mondiale » (Révélations d’intérêt mondial) paru aux éditions Verminjon de Rome, qui reproduisait des informations parues dans le numéro du 30 novembre 1947 du « Russkaia Mysl », périodique russe publié en France.

S’ajoutent aussi les tentatives communistes qui ne réussirent pas à s’établir de façon définitive, comme celle de Bela Kuhn, qui occupa temporairement la Hongrie au milieu de 1919, celle d’Espagne en 1936 au cours de la quelle les communistes ont occupé Madrid et une partie des provinces d’Espagne, assassinant plus de sept mille prêtres, religieux et religieuses et douze Evêques 6), et celle heureusement ratée en Allemagne, en 1918, dirigée par Hugo Haase, qui eut son pire accomplissement dans la République rouge de Bavière en 1919, qui toute furent des orgies de sang et de bestialité sans frein.

Il faut aussi se rappeler que cette tourmente apocalyptique qui forme désormais un grand fleuve de cadavres, de sang et de larmes, se développe dans le monde à une seule fin : détruire non seulement la Religion Catholique et toute civilisation chrétienne, mais aussi l’Islam, le Bouddhisme et toutes les religions, sauf une dont nous parlerons après.

Devant cette perspective, le monde se demande le cœur oppressé : qui peut donc haïr à ce point les notions chrétiennes pour entreprendre de les détruire avec une telle fureur et une telle méchanceté ?

Qui a donc pu être capable de construire cette machine sanglante d’anéantissement ? Qui peut donc, avec une telle insensibilité, ordonner et diriger ces procès criminels gigantesques ?

Et la réalité nous répond de manière indubitable que les responsables en sont les juifs, comme nous le montrerons plus loin.

Ajoutons encore à cette liste les nouveaux massacres du « Grand bond en avant » de Mao,celui du tiers de la population du Cambodge par Pol Pot et ses Khmers rouges, la terreur communiste en Indochine, en Ethiopie sous le tyran communiste Menghitsu, au Zimbawe, au Nicaragua, en Angola, au Congo, à Cuba, à Haïti, au Nicaragua et dans les autres pays d’Amérique latine ravagés par les bandes armées trotskystes, etc.

Les Secrets du Communisme

Jüri Lina est un dissident estonien (ex rép. d’URSS) exilé en Suède. La chronologie et la description des réels dessous-de-table autour des révolutions russes (bolchéviques) de 1905 et 1917. En deux heures ce documentaire présente tous les noms des personnes et organisations ayant fomenté, financé et activé ces événements historiques majeurs. Vous y découvrirez les réels acteurs et motifs de ces révolutions, exactement tout ce qui ne figure pas dans les manuels scolaires et la « version officielle » historique. Il s’agit d’une version totalement « révisée » de l’Histoire du XXe siècle qui est dans le sillage des travaux d’Eustache Mullins (« La Réserve Fédérale Américaine ») et de Anthony C. Sutton (« Wall Street et la Révolution bolchévique »).

Les révolutions de 1905 et 1907 ne sont pas l’œuvre du peuple national russe. Elles sont le fruit de complots incessants ayant démarré depuis le XIXe siècle (après Napoléon) réalisés par des sociétés secrètes (Franc-maçonnerie, Illuminati) puis modernes (B’naï B’rith) ainsi que par des diplomates occidentaux et la finance internationale (surtout juive). Les dits « révolutionnaires russes » sont en fait des agents payés, des mercenaires fanatisés et idéologisés (certains même toxicomanes: comme Felix Dzerzhinsky) et envoyés en Russie sans parler le russe issus du monde entier et ayant presque exclusivement pour caractéristique d’être juifs ou d’origine (ils parlent et communiquent en Yiddish entre eux).

Un documentaire a été réalisé à la suite de la publication du livre « Sous le Signe du Scorpion. L’Ascension et la chute de l’Union Soviétique » par le même auteur qui détaille très profondément sur plus de 400 pages les bas-fonds de ces révolutions.

Ce docu est une version pourtant « allégée » et « politiquement correcte » afin de ne pas heurter le spectateur et de l’inviter à lire le livre où toutes les complètes informations sont livrées sur les identités occultes et ethniques des principaux acteurs.

Le livre est une avalanche de stupéfactions dont les preuves fournies vaudraient à l’auteur dans certains pays des sanctions pénales tant leur nature prouve le complot judéo-maçonnique à 100%.

Le moteur secret du Communisme

Les créateurs du Système communiste

Il ne fait aucun doute que les inventeurs du Communisme sont les juifs, parce que ce sont eux qui ont forgé la doctrine, sur laquelle se base le monstrueux système qui domine dorénavant de son pouvoir absolu la majeure partie de l’Europe et de l’Asie. Un système qui révolte les nations de l’Amérique, et qui envahit progressivement tous les peuples du monde comme un cancer fatal, comme une tumeur rongeant les entrailles des nations libres, sans qu’on semble pouvoir y trouver de remède efficace. Mais les juifs sont également les inventeurs et les dirigeants de la praxis communiste, de ses tactiques efficaces de combat, de sa politique inhumaine de gouvernement, insensible et précise, et de son agressive stratégie internationale.

Que les théoriciens du Communisme aient tous été des juifs est une chose absolument prouvée. Et cela, malgré le système constamment employé, aussi bien par les théoriciens que par les révolutionnaires actifs, de prendre un surnom, un nom et un prénom cachant leur origine juive aux yeux du peuple au milieu duquel ils ont vécu.

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Karl Marx dans la posture de la main cachée franc-maçonne

Le fondateur du système fut, comme on le sait, Karl Heinrich Marx, juif allemand dont le vrai nom était Kissel Mordekkaï, né à Trêves en Prusse Rhénane, et fils d’un avocat juif.

A sa doctrine communiste il donna le nom de Socialisme scientifique, nom totalement injustifié, les faits ayant montré que beaucoup de ses affirmations fondamentales n’avaient aucune base scientifique. Avant son célèbre ouvrage « Le Capital », qui est la conception fondamentale du Communisme théorique et dont il s’est consacré à propager les idées par une activité sans limite jusqu’à sa mort en 1887, il avait écrit et publié à Londres en 1848 le « Manifeste du Parti Communiste » avec le juif Engels*, et encore auparavant, entre 1843 et 1847, il avait formulé en Angleterre, étrangement protégé par le gouvernement de l’époque, la première conception moderne du nationalisme juif, par des articles comme celui paru en 1844 dans le revue « Deutsche-Französische Jarhrbücher » (Les Annales franco-allemandes) article titré « Zur Judenfrage » (A propos de la Question juive) de tendance nationaliste.

2.

Frederich Engels, créateur avec Marx de la Première Internationale et son collaborateur intime, était né à Bormen en Allemagne, fils d’un juif de cette ville négociant en coton. Il mourut en 1894.

3.

Karl Kautski. De son vrai nom Kaus. Il est l’auteur du livre « Les Origines du Christianisme », dans lequel il combat principalement les fondements du Christianisme. Il fut le principal interprète de Marx, publiant en 1887 « Les Enseignements Economiques de Karl Marx pour la compréhension de tous », « Le Massacre de Chisinaw » ; en 1903 « La Question juive » et « La Lutte de Classe », livre qui fut pour Mao-Tsé-Tung en Chine l’ouvrage fondamental pour l’instruction communiste ; enfin en 1921, l’ouvrage « L’Avant-garde du Socialisme ». Il fut aussi l’auteur du « Programme Socialiste d’Ehrfurt », en Allemagne. Ce juif était né à Prague en 1854, et il mourut en Hollande à La Haye en 1938.Par suite de l’un de ces désaccords de famille fréquents parmi les dirigeants juifs, il s’opposa durement à Lénine.

4

. Ferdinand Lasalle, juif né à Breslau en 1825. Après s’être mêlé à la révolution démocratique de 1848, il publia en 1863 son ouvrage « Réponses Ouvertes », où il traçait un plan révolutionnaire pour les ouvriers allemands. A partir de ce moment, il travailla sans cesse à une intense campagne socialiste,visant à provoquer la révolte des ouvriers. A cet effet il publia un autre ouvrage sous le titre « Kapital und Arbeit » (Le Capital et le Travail). Son socialisme, bien que sous certains aspects différent de celui de Marx, coïncidait avec lui dans ses résultats finaux, consistant à supprimer la propriété privée et à transférer celle-ci aux mains de l’Etat, contrôlé naturellement par le Judaïsme.

. 5

Edouard Bernstein, juif né à Berlin en 1850. Ses œuvres principales sont : « Suppositions sur le Socialisme », « En Avant le Socialisme », « Documents sur le Socialisme », « Histoire et Théorie du Socialisme », « Social-démocratie d’aujourd’hui en théorie et en pratique », « Les Devoirs de la Social-démocratie » et « Révolution allemande ». Toutes décrivent la doctrine communiste et reposent sur les conceptions de Marx. En 1918, il fut nommé Ministre de l’Industrie de l’Etat socialiste allemand, lequel heureusement ne parvint pas à survivre plus de quelques mois.

.Jacob Lastrow, Max Hirsch, Edgar Loeeing Wirschauer, Babel, Schatz, David Ricardo et beaucoup d’autres écrivains théoriciens du Communisme furent juifs. Et dans toutes les nations, ce sont presque exclusivement des écrivains juifs qui prêchent le Communisme aux masses, bien que très souvent dans leurs écrits ils se montrent très prudents, les maquillant toujours d’humanité et de fraternité, dont nous avons déjà vu la signification dans la pratique. Tous les juifs susnommés, tout en étant souvent d’importants théoriciens, ne se sont pas contentés de poser les fondements doctrinaux du Socialisme marxiste ou Communisme, mais chacun d’eux a également été un révolutionnaire actif, qui, dans la nation où il était, s’est consacré à préparer, diriger ou aider la subversion. Comme chefs et membres éminents d’associations révolutionnaires, ils ont toujours pris eux-mêmes une part active dans le développement du Marxisme

.

Mais, laissant de côté ces juifs connus principalement comme les théoriciens, nous trouvons en outre que quasiment tous les dirigeants de la pratique active et du développement des tactiques communistes sont aussi de la même race et accomplissent leur tâche avec la plus grande efficacité.

En bref, dans les nations où la conjuration judéo-communiste avorta alors qu’elle était sur le point d’éclater, comme dans celles où le Marxisme fut expulsé après avoir pris le pouvoir, les données aujourd’hui connues dans toute leur vérité démontrent la pleine et entière responsabilité des juifs.

Comme exemples incontestables, on peut signaler deux mouvements de ce type : le cas de l’Allemagne en 1918 et celui de la Hongrie en 1919.

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Rosa Luxembourg

L’ALLEMAGNE en 1918

L’Allemagne en 1918 fut le théâtre d’une révolution communiste dirigée par les juifs. La République des Conseils de Munich était juive, comme le montrent ses chefs : Liebnecht, Rosa Luxembourg, Kurt Eisner et bien d’autres. A la chute de l’Empire Allemand, les juifs s’emparèrent de la nation et le gouvernement allemand resta dominé par les juifs Haase, Ministre d’Etat, et Lendeberg, entourés de Kautski, Kohn et Herzfeld. Le ministre de l’Industrie, juif également, avait comme adjoint le juif Bernstein. Prenso, le ministre de l’Intérieur, juif aussi, prit comme collaborateur son frère de race le Dr Freund, qui l’aida dans sa tâche.

Kurt Eisner, le Président de la République Bavaroise des Conseils, était le chef de la révolution bolchevique de Munich ».Onze petits hommes ont fait la révolution » déclara Kurt Eisner dans l’euphorie de son triomphe à son collègue le ministre Bauer.

Il est donc juste de conserver le souvenir impérissable de ces petits hommes, qui étaient les juifs suivants

Max Loewenberg, le Dr Kurt Rosenfeld, Gaspar Wollhein, Max Rotschild, Carlos Arnold, Kranold, Rosenhek, Birnbaum, Reis et Keisser. Ces dix-là, avec Kurt Eisner von Israelovitch étaient à la tête du Tribunal révolutionnaire. Ces mêmes onze étaient franc-maçons, membres de la loge secrète N°11 qui avait son siège à Munich, Briennerstrasse n° 51. 5)

Le premier Cabinet révolutionnaire d’Allemagne en 1918 était composé de juifs, à savoir:

1. Preuss, Ministre de Gouvernement ;

2. Freund, Ministre de Gouvernement ;

3. Landeberg à l’Industrie ;

4. Karl Kautski, Industrie ;

5. Schiffer, Industrie;

6. Eduard Bernstein, Secrétaire au Trésor ;

7. Fritz Max Cohen, Chef du Service officiel de Renseignements (ce juif était auparavant journaliste et correspondant du quotidien juif Frankfurter Zeitung).

Le deuxième gouvernement « socialiste » allemand de 1918 comprenait les juifs suivants :

Hirsch, Ministre de Gouvernement ;

Rosenfeld, Ministre de la Justice ;

Futran, à l’Enseignement ;

Arndt, à l’Enseignement ;

Simon, Secrétaire à l’Industrie ;

Kastenberg, Directeur des Affaires Culturelles, des Lettres et des Arts ;

Statghen, Ministre du Développement ;

Meyer-Gerhart, Directeur des Affaires Coloniales ;

Wurm, Secrétaire d’Etat à l’Alimentation ;

En outre, Merz, Weil Katzenstein, Stern Leewenberg Frankel, Schlesinger, Israelowitz, Selingsohn, Laubenheim, etc., occupaient de hautes charges dans les ministères.

Parmi les autres juifs qui contrôlaient de secteurs vitaux de l’Etat Allemand anéanti par l’intervention américaine dans la guerre, on trouvait en 1918 et postérieurement :

Kohen, Président du Comité des Soldats et Ouvriers Allemands (calqué sur le Comité Soviétique des Soldats et des Ouvriers de Moscou, de la même année) ;

Ernst, Président de la Police de Berlin ;

Sinzheimer, Président de la Police de Francfort ;

Lewy, Président de la Police de Hesse ;

Kurt Eisner, Président de l’Etat de Bavière ;

Jaffe, Ministre de l’Industrie de Bavière ;

Brentano, Ministre de l’Industrie, du Commerce et des Transports ;

Teilheimmer, Ministre de l’Etat du Wurtemberg ;

Heiman, autre Ministre de l’Etat du Wurtemberg ;

Fulda, du Gouvernement de Hesse ;

Theodor Wolf, Rédacteur en chef du journal « Berliner Tageblatt » ;

Gwinner, Directeur de la Deutsche Bank.

Le peuple des Etats-Unis fut trompé par son président le franc-maçon Wilson, car jamais il n’aurait imaginé que son intervention dans la première guerre mondiale dut avoir pour résultat de livrer l’Allemagne à la domination juive.

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Bela Kuhn

La Hongrie en 1919

Le 20 mars 1919, le juif Bela Kuhn, (Cohn) s’empara de la Hongrie et proclama la République Soviétique Hongroise, plongeant la Hongrie dans un horrible bain de sang.

« Avec lui, vingt-six commissaires composaient le nouveau gouvernement, et parmi ceux-ci, dix-huit étaient juifs : une proportion jamais vue, si l’on tient compte qu’en Hongrie il y avait un million et demi de juifs pour vingt-deux millions d’habitants. Les dix-huit commissaires juifs tenaient dans leurs mains la direction effective du pouvoir, et les huit autres commissaires d’origine chrétienne ne pouvaient rien faire »

« Plus de 90 % des membres du gouvernement et des hommes de confiance de Bela Kuhn étaient aussi des juifs ».

Certains membres de ce gouvernement qui demeura quelques temps à la tête de la Hongrie se distinguèrent par leurs crimes et leurs déprédations innombrables, en plus de Bela Kuhnn lui-même, qui parcourait le pays dans une voiture de luxe accompagné de sa très efficace secrétaire juive R. S. Salkind, alias Semliachkay, avec une fourche installée sur le véhicule comme signe distinctif. Ce fut notamment le cas du juif Szamuelly le chef de la Tchéka hongroise, qui se déplaçait à travers la Hongrie en train particulier, en semant la terreur et la mort, comme le décrit un témoin de l’époque.

« Ce train de la mort traversait en rugissant l’obscurité des nuits hongroises : là où il faisait arrêt, l’on retrouvait des hommes pendus aux arbres et du sang s’écoulant sur le sol. Au long des rues, on voyait des cadavres nus et mutilés. Szamuelly dictait ses sentences dans le train, et celui qui s’était trouvé forcé d’y monter ne pouvait jamais raconter ce qu’il y avait vu…

« Szamuelly vivait constamment dans ce train. Une trentaine de terroristes choisis y veillaient à sa sécurité. Des serviteurs sélectionnés les accompagnent ; le train est composé de deux voitures-salons, deux voitures de première classe occupées par les terroristes et deux voitures de troisième classe pour les victimes. C’est dans ces dernières que sont perpétrées les exécutions. Le sol de ces voitures est maculé de sang ; les cadavres sont jetés par les fenêtres, pendant que Szamuelly confortablement installé à son bureau dans sa voiture-salon tapissée de damas rose décoré de lunes biseautées, décide de la vie et de la mort d’un geste de la main ».

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Le périodique italien « La Divina Parola » (la Divine Parole) du 25 avril 1920 écrivit qu’en Hongrie, « pendant la réaction anti-bolcheviques contre le juif Bela Kuhn, on découvrit dans des souterrains des cadavres de religieux entassés n’importe comment. Des diplomates étrangers appelés par le peuple à constater le fait de leurs yeux ont témoigné avoir vu de nombreux cadavres de religieux et de religieuses, dont les croix pectorales qu’ils portaient normalement sur la poitrine leur avaient été enfoncées dans le cœur ».

Marx était le descendant d’une lignée de 7 rabbins, selon certains, de 11 rabbins selon d’autres… et certains croient qu’un rabbin est un prêtre, et comme prêtre, plein de bonté !

Ce « Manifeste du Parti communiste« , réexposition modernisée et hégélianisée par Marx de la pensée du rabbin communiste Moïse Hess, fut financé par deux commanditaires juifs : un certain Clinton Roosevelt américain, et un certain Jean Laffite, juif français né aux Antilles, petit fils par sa mère d’un alchimiste juif espagnol mort dans les geôles de l’Inquisition, Laffite qui fut avec deux de ses frères négrier, flibustier dans le golfe du Mexique et receleur chef d’une base de flibustiers, avant de s’installer comme négociant à Saint Louis (Mi) et discret représentant aux USA de la Ligue des Justes (Illuminés de Bavière), participant au 1er Congrès constitutif de la Ligue des Communistes à Londres en juin 1847 et qui s’efforça d’y attirer Abraham Lincoln.

On doit noter ici que les Allemands qui suivront Hitler avaient eu sous les yeux les débauches, l’enrichissement honteux, la cruauté de ces gouvernement judéo-communistes ; et ce, dans une période où près de 30% de la population était au chômage. Nous suivons Pie XI et Pie XII en bons catholiques dans leur condamnation du nazisme, doctrine raciale ; mais nous voulons parler ici du peuple allemand lui-même qui se leva pour combattre les communistes. Mieux encore, le peuple allemand avait connaissance des effroyables massacres en Hongrie ; l’ouvrage les décrit infra.

La création occulte du Communisme

Il ne fait donc pas le moindre doute que la théorie marxiste (communiste) est une œuvre juive, tout comme l’est aussi toute l’action entreprise pour la mise en pratique de cette doctrine ainsi que les millions d’assassinats commis à cet effet.

Les dirigeants et les organisateurs de tout le mouvement communiste antérieur à l’établissement définitif du Bolchevisme en Russie furent juifs dans leur quasi-totalité, comme aussi la grande majorité des dirigeants effectifs des révolutions qu’ils provoquèrent.
Mais en Russie, dans le premier pays où triompha définitivement le Bolchevisme et qui a été et demeure actuellement le centre moteur de sa propagation mondiale, la paternité juive du système, de l’organisation et de la praxis soviétique ne fait non plus aucun doute. Selon des données certaines, pleinement démontrées et acceptées par tous les écrivains qui ont traité de cette question avec impartialité, l’action communiste des juifs dans le pays des tsars est si patente qu’il serait bien vain d’essayer de leur dénier l’exclusivité de cet abominable triomphe.
Qu’il suffise de rappeler les noms de ceux qui formèrent les gouvernements et les principaux organismes directeurs de l’Union Soviétique pour savoir à quoi s’en tenir, avant même la claire et éclatante démonstration des faits.

Les bourreaux volontaires du Bolchevisme

Les financiers du Communisme

La juiverie internationale est liée au Socialisme communiste de Marx actuellement réalisé par eux dans l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques et dans tous les pays satellites de celle-ci, parce que le Communisme est le but immédiat de leurs intentions de domination mondiale et d’imperium total sur l’ensemble des peuples de la terre. Ils ont toujours manifesté tous deux ce caractère, et depuis le début ont tendu ensemble à cet objectif. Le Communisme comme objectif final est conçu par tous les juifs avec une unanimité absolue comme leur objectif propre, même si beaucoup de non-juifs mal informés ou délibérément trompés pensent que le grand nombre de multimillionnaires juifs qui existent dans le monde et qui même dominent les finances mondiales doivent être opposés à cette tendance, visant à leur prendre leurs fortunes.

A première vue, rien n’est plus logique de considérer comme un ennemi naturel et déterminé du Communisme un puissant financier, un riche commerçant ou un important industriel ; mais si les industriels, les commerçants et les financiers sont juifs, il ne fait pas le moindre doute qu’ils seront néanmoins communistes, puisque le Socialisme communiste de Marx a été créé et réalisé par eux, non pas pour perdre les biens qu’ils possèdent, mais pour s’emparer de tous les autres qui ne leur appartiennent pas, et pour mettre la main sur toute la richesse mondiale que, d’après eux, ceux qui ne sont pas de race juive détiennent indûment.

« Le principal caractère de la religion juive consiste en ce que c’est une religion qui n’a rien à voir avec l’au-delà, une religion, peut-on dire, uniquement et essentiellement terrestre.

« L’homme ne peut faire l’expérience du bien ou du mal qu’en ce monde ; si Dieu veut le châtier ou le récompenser, Il ne peut le faire que durant la vie de l’homme. C’est pourquoi, c’est ici-bas que doit prospérer le juste et que doit souffrir l’impie ».

« Il est inutile d’insister sur les différences qui se déduisent de cette opposition entre les deux manières de voir touchant aux attitudes respectives du juif pieux et du chrétien pieux au sujet de l’acquisition des richesses. Alors que le chrétien pieux qui s’était rendu coupable d’usure était tourmenté sur son lit de mort par les affres du repentir, et était prêt à renoncer à ce qu’il possédait consumé par l’idée du bien mal acquis, le juif pieux arrivé au terme de sa vie regardait avec complaisance ses coffres pleins à craquer, où il avait entassé les sequins prélevés au cours de sa longue vie sur les pauvres chrétiens et aussi sur les pauvres musulmans ; un spectacle dans lequel son pieux cœur pouvait se réjouir, parce que chaque fruit d’intérêt enfermé-là était comme un sacrifice offert à son Dieu ».

En même temps, l’argent juif est l’instrument le plus puissant qui lui a permis de financer largement les mouvements révolutionnaires, instrument sans l’appui duquel ils n’auraient jamais pu triompher, et il est le moyen avec lequel corrompre de toutes les manières possibles la civilisation chrétienne, soit en rendant l’individu matérialiste en lui faisant préférer la richesse aux valeurs transcendantes, soit encore par les moyens directs dont ils savent si efficacement user, comme la subornation, le péculat, la concussion, et d’une manière générale l’achat des consciences.

L’idée juive d’accaparer toute les richesses du monde au moyen du Communisme apparaît en toute clarté chez beaucoup d’écrivains juifs célèbres, comme Edmond Fleg, H. Barbusse, André Spire, et bien d’autres, mais principalement dans la lettre bien connue adressée par le célèbre néo-messianiste Baruch Levy à Karl Marx, lettre découverte en 1888 et publiée pour la première fois cette même année, dont voici le texte :

« Le peuple juif pris collectivement sera lui-même son Messie. Son règne sur l’univers s’obtiendra par l’unification des autres races humaines, par la suppression des frontières et des monarchies qui sont les remparts du particularisme, et par l’établissement d’une République universelle qui reconnaîtra partout aux juifs les droits de citoyenneté. Dans cette nouvelle organisation de l’humanité, les fils d’Israël disséminés actuellement sur toute la surface du globe, tous de même race et de même formation traditionnelle, sans former cependant une nation distincte, parviendront à être l’élément dirigeant sous tous rapports, surtout s’ils parviennent à imposer aux masses ouvrières la direction stable de quelques-uns d’entre eux. En formant la République universelle, les gouvernements des nations passeront tous sans effort aux mains des israélites à la faveur de la victoire du prolétariat ; la propriété individuelle pourra alors être supprimée par les gouvernants de race juive qui administreront sous tous rapports la fortune publique. Ainsi se réalisera la promesse du Talmud, suivant laquelle, lorsque les temps messianiques seront arrivés, les Juifs tiendront sous clefs les biens de tous les peuples du monde

Suivant cette tactique d’accaparement économique, il est parfaitement naturel de voir les plus riches financiers et les banquiers les plus importants du monde financer les révolutions communistes, et, compte tenu de ce que nous avons cité, il n’est pas difficile d’expliquer la situation à première vue paradoxale et absurde de voir les juifs les plus fortunés du monde toujours unis aux dirigeants israélites des mouvements communistes.

Si les explications des juifs les plus célèbres suffisent à montrer très clairement cette étroite relation, les faits sont encore plus illustratifs et sont si notoires qu’ils nous permettent de lever toute ombre d’incertitude.

Après la défaite française de 1870 et la chute de l’Empire de Napoléon III, les marxistes dirigés de Londres par Karl Marx se rendirent maîtres de Paris le 18 mars 1871 pendant plus de deux mois, avec l’appui de la Garde Nationale qui s’était constituée en un organisme armé, sous la totale dépendance de l’Internationale marxiste.

A cette occasion apparut manifeste la complicité des banquiers juifs français avec les communistes, lorsque l’on constate, comme le signale Salluste dans son livre « Les Origines secrètes du Communisme », que Rothschild, d’une part faisait pression à Versailles auprès de Thiers pour que soit évitée toute action décisive de l’armée contre les communistes marxistes, parlant de possibilités d’entente et d’accommodements avec le Comité Central des Fédérés (marxistes), et que d’autre part, il jouissait d’une totale impunité aussi bien de sa personne que de ses biens à Paris, ville alors soumise à un épouvantable et sanglant chaos.

A cet égard, dit Salluste dans l’ouvrage cité page 137 :

« Mr de Rothschild, c’est certain, avait de bonnes raisons de croire la conciliation possible ; son hôtel de la rue Saint Florentin était protégé jour et nuit par un piquet de Fédérés (marxistes) chargés d’éviter toute déprédation, piquet qui fut renouvelé tous les jours pendant deux mois, jusqu’au moment où la grande barricade qui s’élevait à deux pas de là fut enlevée par la troupe des Versaillais.

Autre exemple, celui-là survenu au XXème siècle :

« En 1916, le lieutenant général de l’Armée Impériale Russe A. Nechvolodov, transmit une information secrète de l’un des agents de l’Etat-Major, datée du 15 février, qui avait été reçue à l’Etat-Major du généralissime russe en ces termes :

« Le parti révolutionnaire russe en Amérique du Nord a résolu de passer aux actes. En conséquence, s’attendre à des révoltes d’un moment à l’autre ».

« La première réunion secrète qui évoqua le déclenchement des actes de violence eut lieu le lundi 14 février au soir dans l’Est-End de New-York. Devaient se réunir là soixante-deux délégués, dont cinquante étaient des vétérans de la révolution de 1905, et les autres de nouveaux membres. La majeure partie des assistants étaient juifs, et parmi eux la plupart étaient des gens instruits, comme des docteurs, des publicistes, etc. Y figuraient aussi quelques révolutionnaires de profession…

« Le début de cette première réunion fut entièrement consacré à l’examen des moyens et des possibilités de faire en Russie une grande révolution. Le moment était des plus favorables.

« L’on y dit que le parti venait de recevoir de Russie des informations secrètes suivant lesquelles la situation était tout à fait propice, ce pourquoi l’on avait déjà conclu tous les accords préliminaires pour un soulèvement immédiat. Le seul obstacle sérieux était la question d’argent ; mais à peine eut-on fait cette observation que certains membres la contestèrent immédiatement, disant qu’il ne devait faire aucun doute qu’au moment même où l’argent serait nécessaire, des personnes qui sympathisaient avec le mouvement de libération du peuple russe donneraient des sommes considérables. Et à ce sujet l’on prononça plusieurs fois le nom du richissime banquier juif Jacob Schiff.

Aux débuts de 1916, les Services Secrets des Etats-Unis d’Amérique remirent au haut délégué de la République française dans ce pays un mémorandum qui signalait catégoriquement la participation des principaux banquiers dans la préparation de la révolution communiste russe : En février 1916, on sut donc pour la première fois qu’il se fomentait une révolution en Russie. On découvrit qu’étaient complices de cette œuvre de destruction les personnes et les firmes bancaires

Aux débuts de 1917, le puissant banquier juif Jacob Schiff commença de protéger Trotsky, juif et franc-maçon, dont le nom véritable était Bronstein : la mission qui lui était confiée était de diriger en Russie la révolution sociale. Le journal Forward de New-York, quotidien juif et bolcheviste, le soutint également. Les grandes banques l’aidaient aussi financièrement : la Maison juive Max Warburg de Stockholm, le Syndicat bancaire Wesphalo-Rhénan, le juif Olef Ashberg de la Nye Banken de Stockholm, et Jivotovsky, un juif dont la fille avait épousé Trotsky, et c’est ainsi que s’établirent les relations entre les multimillionnaires juifs et les juifs prolétariens.

Dans le bulletin de S. de Baamonde, on en apprend davantage sur la banque Kuhn & Co.

Jacob Schiff était un israélite d’origine allemande. Son père, qui vécut à Francfort, fut dans cette ville un modeste courtier de la Maison Rotschild. Le fils émigra aux Etats-Unis et y fit rapidement une brillante carrière qui en fit en peu de temps le chef de la grande firme Kuhn, Lœb et Cy, la principale banque israélite des Etats-Unis.

Dans le monde bancaire juif, Jacob Schiff se signala non seulement par sa science des affaires et par la hardiesse de ses conceptions, mais il apporta aussi des projets et des idées très arrêtées bien que nouvelles sur l’action politique dirigeante que devait exercer sa banque sur les destins du monde : The Spiritual Direction of Human Affairs.

Une autre des constantes préoccupations de ce ploutocrate était d’intervenir à tout prix dans les affaires politiques de la Russie pour provoquer dans ce pays un changement de régime. La conquête politique de la Russie, qui jusqu’alors avait échappé à l’influence de la Maçonnerie grâce à un régime national, devait être le meilleur moyen d’assurer le pouvoir d’Israël dans l’univers entier. Au printemps 1917, Jacob Schiff, commença à commanditer Trotsky (juif) pour qu’il fît la révolution sociale en Russie. Le journal judéo-bolchevique de New-York Forward se cotisa également pour le même objet.

Depuis Stockholm, le banquier juif, Max Warburg pourvoyait également Trotsky et Cie, et en faisaient de même le Syndicat Westphalo-Rhénan, l’important associé juif de la Nye Bank de Stockholm Olef Ashberg, et Jivotovsky, un juif dont la fille s’était mariée avec Trotsky En même temps, un juif, Paul Warburg s’avérait avoir des relations si étroites avec les personnalités bolcheviques qu’il ne fut pas réélu au Federal Reserve Board.

Le Times de Londres du 9 février 1918, et le New-York Times, dans deux articles de Samuel Gompers publiés respectivement dans les numéros du 1er mai 1922 et du 31 décembre 1923, signalaient ce qui suit :

« Si nous prenons en compte le fait que la firme bancaire juive Kuhn Lœb & Co était en relations avec le syndicat Westphalo-Rhénan, banque juive d’Allemagne, avec Lazard Frères, banque juive de Paris, et aussi avec la maison bancaire Gunzburg, firme juive de Petrograd, Tokyo et Paris, et si l’on note en outre que les affaires citées maintenaient des relations étroites avec la maison juive Speyer & Co de Londres, New-York et Francfort / Main, de même qu’avec la Nye Bank, maison juive bolchevique de Stockholm, nous aurons la preuve que le mouvement bolcheviste est en soi un mouvement général juif, et que les banques juives indiquées étaient intéressées à l’organisation de ce mouvement «

Le Général Nechvolodov indique aussi dans son ouvrage l’important financement juif de la révolution communiste de Russie :

« Durant les années qui précédèrent la révolution, douze millions de dollars avaient été remis par Jacob Schiff aux révolutionnaires russes. D’autre part, selon M Bakmetieff l’Ambassadeur du Gouvernement impérial russe aux Etats-Unis décédé à Paris il y a quelque temps, les bolcheviques victorieux avaient remis, entre 1918 et 1922, 600 millions de roubles or à la firme Kuhn, Lœb & Co »

Après des preuves aussi concluantes, je ne crois pas que personne puisse encore arriver à la conclusion optimiste qu’il y a de mauvais juifs (les communistes) et de bons juifs (les capitalistes), et qu’alors que les uns tendraient à s’emparer des biens des particuliers et à faire disparaître la propriété privée, les autres seraient prêts à défendre l’une et l’autre pour ne pas perdre leurs énormes fortunes. Malheureusement pour notre civilisation, le complot juif présente un caractère d’absolue unité, et le Judaïsme constitue une force monolithique tendant à accaparer, au moyen du Socialisme communiste de Marx, toutes les richesses du monde sans exception.

Le fait que, comme dans toutes les institutions humaines, il survienne parfois dans le Judaïsme des rivalités et des luttes internes ne change rien à cette situation, car ces querelles de famille surviennent en général pour des raisons d’ambitions de commandement, bien qu’elles se masquent sous des raisons religieuses ou de stratégie à suivre, mais les parties en lutte s’accordent cependant toujours sur l’intention de dominer le monde dans les domaines politique, économique et religieux, et sur le fait que le meilleur moyen d’arriver à cette domination totale est par la dictature socialiste ou communiste qui permettra aux juifs de s’emparer des biens de tous les peuples de la terre.

Aujourd’hui dans notre monde civilisé, on considère le racisme comme le plus grand péché que puissent commettre les humains, une faute qui laisse un stigmate éternel et scandaleux de sauvagerie et de brutalité… toutes les fois que ce n’est pas le peuple juif qui le pratique.

Grâce à la propagande accaparée quasi totalement dans le monde par les israélites (par le cinéma, la radio, la télévision, la presse, les maisons d’éditions, etc.), l’antisémitisme est la manifestation la plus abominable de toutes, parce que les juifs en ont fait une véritable arme de destruction à même de leur servir à neutraliser l’action des innombrables personnes et organisations qui, ayant clairement compris quelle est la véritable tête du Communisme malgré les masques et stratagèmes utilisés par cette race pour cacher ses véritables activités, ont entrepris de pousser un cri d’alarme, horrifiées devant un si épouvantable danger, sans cesse plus proche.

Mais cette œuvre de mensonge a été si efficace que la majorité des anti-communistes qui cherchent à abattre le monstre du Marxisme lancent leurs attaques courageuses et déterminées contre les tentacules du poulpe, ignorant l’existence de la terrible tête, laquelle régénère les membres détruits, dirige les mouvements et harmonise les activités de toutes les parties de son système.

L’unique possibilité de détruire le Socialisme communiste de Marx est de s’en prendre à sa tête, qui est actuellement le Judaïsme, comme le montrent les faits les plus indiscutables et les témoignages les plus irrécusables des juifs eux-mêmes.

Pendant que les pays chrétiens sont naturellement antiracistes, parce qu’ils en fondent l’idée sur la notion du prochain, les juifs ont toujours été et sont toujours actuellement les racistes les plus avérés, eux qui basent leur racisme sur les idées du Talmud, partant du principe que le non-juif n’est pas même un être humain.

Mais cet antiracisme chrétien est exploité habilement par les juifs, et sous son ombre, ils couvrent leurs infernales machinations contre l’Eglise Catholique et contre tout ordre chrétien, en structurant le système communiste, où il n’y a ni Dieu, ni Eglise, ni aucun principe transcendant que ce soit. Et quand ils sont attaqués, ils se répandent en lamentations bruyantes, se présentant comme les victimes du racisme inhumain, dans le but de paralyser toute défense s’opposant à leurs propres attaques destructrices.

Cependant, la véritable défense contre le Communisme*, qui forcément doit s’orienter contre les juifs (c’est à dire contre la tête du monstre), ne peut en aucune façon être considérée comme une manifestation peccamineuse d’un sentiment d’aversion contre une race déterminée, car le critère de discrimination raciale est totalement étranger à notre culture et à nos principes chrétiens ; mais on ne peut écarter un problème d’une telle gravité et transcendance par le seul fait de craindre la qualification d’antisémite, qui indubitablement tombera sur quiconque aura compris la situation mondiale actuelle.

Il ne s’agit pas d’ailleurs de lutter contre une race pour des considérations d’ordre racial.

Si le problème nous est posé actuellement en ces termes, la faute en revient exclusivement aux juifs, qui ne nous laissent pas d’autre choix, avec leur racisme à outrance, leur absolu mépris pour tous ceux qui ne sont pas de leur race et leur avidité de domination mondiale. Pour les catholiques en particulier, et pour le monde civilisé en général qui croit toujours aux principes axiologiques et aux valeurs transcendantes, la question ne peut être plus simple, s’agissant d’un problème de légitime défense, parfaitement licite dans l’ordre moral et juridique, devant le dilemme que nous pose le Judaïsme et qui est : la domination juive communiste, ou l’extermination !

Plus encore que notre vie, il s’agit de défendre le Catholicisme, nos libertés et celles de nos descendants ! Trente ans après la première édition de ce livre, la propagande juive nous fait croire aujourd’hui le Communisme désormais disparu : mais l’épouvantable et imminente menace du totalitarisme mondial juif se manifeste de jour en jour, totalitarisme qui, quel que soit le nom qu’il prendra demain : Socialiste, Communiste, humaniste, écologiste, Onuesque, du Nouvel Ordre Mondial etc., interdira sous peine de prison d’abord l’éducation catholique, puis l’exercice de la vraie Religion Catholique, éliminera impitoyablement les Catholiques, et mènera la totalité des non-juifs à un terrible esclavage dont se profilent déjà les conditions économiques avant même les conditions politiques, avec exclusion des non-maçons des postes de responsabilités dans la fonction publique, dans les entreprises… et peut être du monde du travail en général!

Winston Churchill expose le danger
du communisme juif
,

Malgré leur hermétisme accoutumé et aussi malgré leurs tactiques de tromperie et d’hypocrisie qui leur ont permis de rester en général dans l’ombre pour ne pas révéler leur plan de conquête communiste mondiale, les mêmes juifs ont cependant eu quelques moments de faiblesse, emportés qu’ils étaient par l’optimisme ou par une joie excessive devant la contemplation de leurs succès, faiblesses qui ont provoqué en quelques occasions certaines déclarations indiscrètes, extrêmement révélatrices.

« En ce qui concerne les juifs, leur rôle dans le Socialisme mondial est si important qu’il ne peut être passé sous silence. Ne suffit-il pas de rappeler les noms des grands révolutionnaires juifs des XIXèmeet XXème siècles, les Karl Marx, Lasalle, Kurt Eisner, Bela Kun, Trotzky et Léon Blum pour qu’apparaissent ainsi les noms des théoriciens du socialisme moderne ? « Quelle brillante confirmation nous fournissent les tendances des juifs dans le Communisme, outre leur collaboration matérielle en organisations de partis, et dans l’aversion profonde qu’un grand juif et un grand poète, Henri Heine, ressentait pour le droit romain ! Et dans les causes subjectives, les causes passionnelles de la rébellion de rabbi Aqipa et de Bar Kochba, de l’an 70 et de l’an 132 après Jésus-Christ contre la Paix Romaine et le Droit Romain, comprises et ressenties subjectivement et passionnément par un juif du XIXeme siècle, qui apparemment n’avait conservé aucun lien avec sa race.

« Et les révolutionnaires juifs et les communistes juifs qui attaquent le principe de la propriété privée, dont le monument le plus solide est le Code de Droit Civil de Justinien, d’Ulpien etc., ne font rien d’autre que ce que firent leurs ancêtres qui résistèrent à Vespasien et à Titus. En réalité ce sont les Morts qui parlent » ».

« Le Socialisme et le Mosaïsme ne s’opposent en aucune manière. Bien au contraire, entre les idées fondamentales des deux doctrines, il y a une identité surprenante. Le nationalisme juif ne doit pas plus s’écarter du Socialisme comme d’un péril qui menacerait son idéal, que le Socialisme juif du Mosaïsme, car les deux idéaux parallèles doivent se réaliser par la même voie. »

« De l’examen des faits, il résulte de manière irréfutable que personne d’autre n’a autant coopéré de manière décisive à la création du socialisme que les juifs modernes; leurs propres pères étaient déjà les fondateurs du Mosaïsme. La semence du Mosaïsme œuvre à travers les siècles en tant que doctrine et que loi, d’une manière consciente pour les uns, inconsciente pour les autres. Le mouvement socialiste moderne est en majeure partie l’œuvre de juifs ; les juifs furent ceux qui imprimèrent en lui la marque de leur cerveau ; ce furent également des juifs qui prirent une part prépondérante dans la direction des premières républiques socialistes… » « Le socialisme mondial actuel forme le premier stade d’accomplissement du Mosaïsme, le principe de la réalisation de l’état futur du monde annoncé par les prophètes. »

« Si les peuples désirent véritablement progresser, ils doivent se débarrasser de la crainte médiévale des juifs et des préjugés réactionnaires qu’ils ont contre eux ; ils doivent reconnaître le fait qu’ils sont en réalité les précurseurs les plus sincères du progrès de l’humanité. Aujourd’hui, le salut du Judaïsme exige que nous reconnaissions ouvertement à la face du monde le programme du socialisme. Et le salut de l’humanité dans les siècles à venir dépend de la victoire de ce programme. »

La raison de cette attitude révolutionnaire juive est clairement expliquée par l’écrivain juif bien connu E. Eberlin, dans la citation suivante :

« Plus la révolution est radicale, plus il en résulte de liberté et d’égalité pour les juifs. Tout courant de progrès ne cesse de consolider la position des juifs. De la même manière, tout pas en arrière et toute réaction les affecte en premier lieu. Il suffit d’une simple orientation à droite pour exposer les juifs au boycott… Sous cet aspect, le juif est le manomètre de la chaudière sociale.

« Comme entité, la nation juive ne peut se placer aux cotés de la réaction, parce que la réaction, c’est à dire le retour au passé, signifie pour les juifs la continuation de conditions anormales d’existence ».

L’éditorialiste juif bien connu Jacob de Haas, dans The Macchabean, écrivit clairement que : »La Révolution russe que nous vivons actuellement est une révolution du Judaïsme. Elle signifie un changement dans l’histoire du peuple juif, parce que les juifs sont les révolutionnaires les plus actifs de Russie ».

« La révolution russe que nous sommes en train de vivre sera exclusivement l’œuvre de nos mains ».

« On peut affirmer sans exagération que la grande révolution sociale de Russie a été accomplie par les juifs… Il y a certes dans les rangs de l’Armée rouge des soldats qui ne sont pas juifs, en ce qui concerne les simples soldats, mais dans les Comités et dans l’organisation des Soviets, comme parmi les Commissaires, les juifs mènent avec courage les masses prolétaires russes à la victoire.

« A la tête des révolutionnaires russes marchaient les élèves de l’école rabbinique de Lidia ».

« Le Judaïsme triompha de l’épée et du feu avec notre frère Marx, qui est celui qui fut chargé d’accomplir ce qu’ont ordonné nos prophètes, en élaborant le plan adéquat au moyen des revendications du prolétariat ».

« Le Monde Juif » du 10 janvier 1929 exprimait cette opinion blasphématoire : « Le fait même du bolchevisme, et que tant de juifs sont bolcheviques et que l’idéal du bolchevisme est sur beaucoup de points en accord avec le plus sublime idéal du Judaïsme, dont une partie forma la base des meilleurs enseignements du fondateur du Christianisme, tout cela a une grande signification qu’examinera avec attention tout juif sensé ».

« Jehu (Jésus) le Nazaréen, qui a séparé le monde de la foi du Saint, béni soit-il, sera jugé éternellement dans le sperme bouillant ; son corps est reconstitué tous les vendredis soirs, et à l’aube du sabbat, il est arrosé de sperme bouillant. L’enfer se consumera, mais son châtiment et ses tourments ne cesseront jamais : Jehu et Mahomet sont ces ossements impurs de charogne dont l’écriture dit : « vous les jetterez aux chiens ». Ils sont la saleté de chien qui tache, et pour avoir séduit les hommes, ils ont été jetés en enfer d’où ils ne sortiront jamais ».

Kadmi Cohen : « Nomades, Essai sur l’âme juive

Communisme et occultisme

Holodomor: près de 10 millions de chrétiens
exterminés par les “juifs de Stalin
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80ème anniversaire du début du génocide des chrétiens ukrainiens par les juifs soviétiques. Lesquels viennent donner des leçons de morale chaque jour aux Européens…

« L’Holodomor (littéralement « tuer par la famine ») fut mis en place par deux juifs communistes : Joseph Staline et Lazare Kaganovitch. Les listes officielles publiées en 2009 montrent que presque tous les communistes qui ont causé l’Holodomor étaient juifs. (tout communites souhaitent occulter ce fait et biens d’autres encore.)

Shimon Peres, le président de l’État d’Israël conseillera plus tard aux Ukrainiens « d’oublier l’histoire » » (source et suite: Un documentaire révèle l’astuce de «l’antisémitisme»)

Nous reproduisons un article du journaliste politique Sever Plocker, qui fit couler beaucoup d’encre lors de sa récente publication, car Plocker, qui travaille pour le journal hébreu Yediot Ahronot, déchaîna à la suite de ce texte un torrent de commentaires injurieux à son encontre, déclenchant, bien que juif lui-même, un tombereau d’insultes diverses et variées. On le félicitera cependant d’avoir courageusement brisé le silence…

8

« Les Juifs de Staline »

Quelques-uns des pires meurtriers des temps modernes étaient Juifs

Le mot Holodomor (« extermination par la famine ») est employé pour la Grande Famine d’Ukraine, des années 1930, qui reste une des plus terribles périodes du stalinisme, avec un bilan qui se compte en millions de morts : 10 millions de victimes.

Un article du journaliste politique Sever Plocker, paru fin décembre 2006 sur le site http://www.ynetnews.coma fait couler beaucoup d’encre. Il figure ci-après, en traduction.
Sever Plocker, qui travaille pour le journal hébreu Yediot Ahronot, a déchaîné à la suite de son article un torrent de commentaires qui valent le détour. A 95%, environ, il se fait couvrir, bien que juif lui-même, d’un tombereau d’insultes diverses et variées, qui s’étendent également au site, menacé de représailles, allant jusqu’au retrait de toute publicité! Pour les 5 % restants, environ, il est félicité d’avoir courageusement brisé le silence.

Les tabous de l’Histoire

Dans l’esprit conditionné des gens, lorsqu’on parle de communisme apparaissent deux types d’images qui ni l’une ni l’autre ne sont complètes et qui empêchent de discerner le communisme tel qu’il agit aujourd’hui.

La première est celle des syndicalistes, des grévistes, de tous ces « gens du peuple » qui descendent dans la rue pour réclamer leurs droits. Pourtant si Marx a choisi, au XIXe siècle, de s’appuyer sur les revendications ouvrières, c’est, de son aveu, uniquement parce que ce milieu comportait un ferment révolutionnaire exploitable.
On sait que, par la suite, pour conquérir l’Occident, les marxistes ont plutôt compté sur les étudiants et les marginaux. Toutes sortes de théories ont été développées par les freudiens-marxistes de l’École de Francfort pour encourager la « Révolte » dans ces milieux, qui sont devenus la « contre-culture » des années 60.

La deuxième image est celle de l’URSS et en particulier celle du stalinisme, léviathan caricatural qui ne pouvait que s’effondrer. Mais c’est oublier que Lénine a depuis les débuts construit son empire sur deux niveaux. D’un côté, le communisme officiel, propagandiste, avec des messages simples pour les masses. De l’autre, la structure cachée, illégale, naturellement beaucoup plus élitiste, ambitieuse et centralisée. C’est passer à côté de tout ce qu’est le communisme que de négliger cette partie-là, noyau de toutes les subversions. Ce n’est pas par paranoïa que les États-Unis ont enclenché une puissante lutte anticommuniste au sein même de leur pays : ils étaient vraiment en train d’être envahis de l’intérieur…

Il est difficile d’estimer quelle fut la taille de cette « Internationale communiste » souterraine qui fit si peur à McCarthy. Mais il est clair, pour l’observateur attentif, que la fin de « l’expérience russe » n’y a pas mis fin. Sans doute cette structure invisible avait alors acquis suffisamment de force pour ne plus avoir besoin d’un soutien logistique visible et établi.
Il se peut bien que l’accession de la marionnette Jimmy Carter au poste de président des États-Unis, en 1976, ait déclenché le signal de mise à mort du vieil animal soviétique, achevé quelques années plus tard par un autre mondialiste : Gorbatchev.

À moins de se laisser hypnotiser par le grand événement médiatique que fut la chute du Mur de Berlin en 1989, il est de toute façon exagéré de parler d’effondrement du communisme. Le monde a plutôt assisté à une déconstruction lente de l’appareil soviétique par lui-même. On ne peut expliquer autrement sa « conversion » au capitalisme, faite sans aucune forme de rupture réelle avec l’ancien régime qui s’était pourtant avant tout défini par son anti-capitaliste primaire (notons, sans entrer dans les implications géopolitiques, que la Chine suit actuellement la même voie).

Les pays communistes visibles ont sans doute aussi servi d’épouvantail pendant que se répandaient à travers le monde les marxistes véritables. Lorsque cette opération fut achevée, le Mur de Berlin pouvait bien tomber. Lénine a déclaré dès le début qu’il lui faudra avoir « des hommes partout, dans toutes les couches sociales, sur toutes les positions permettant de connaître les ressorts du mécanisme de l’État. » Certes le prolétaire est considéré comme l’élément de base de la structure léniniste, mais c’est uniquement parce qu’il est « sans pouvoir » (définition étymologique de prolétaire) et donc facilement exploitable. En ce sens, même une personne socialement importante peut se révéler un « parfait prolétaire » et la subversion marxiste n’hésita jamais à placer ses éléments des deux côtés de l’échiquier politique pour faire avancer son Plan. Tout cela a été annoncé clairement par Lénine et ses successeurs.

Ce qui est certain, c’est que malgré le nivellement social dû à l’avènement de l’industrialisation, les marxistes n’ont pas trouvé en Occident autant de « prolétaires » qu’ils espéraient. Ils se sont heurtés, en Europe, à une barrière invisible. Les dirigeants soviétiques qui se sont penchés sur cette question – en particulier un certain Georg Lukacs, ministre de la culture dans le gouvernement éphémère de la Hongrie – se rendirent compte que les Occidentaux avait un sens profond de « l’individuation » qui les rendaient imperméables aux appels envoûtants de la subversion.

Lukacs eut cette remarque révélatrice que, pour réussir en Occident, le communisme devrait « être capable de devenir démoniaque, de remplir complètement l’âme à la manière du christianisme primitif ». Et c’est ainsi que l’École de Francfort, fondée par Lukacs dans les années 30, prépara l’opération « Sexe, drogue et rock’n’roll » (et télévision), opération qui, on l’aura compris, eut pour but de créer partout des « sans pouvoirs » – des êtres facilement « possédés » par le marxisme sous toutes ses formes.

Alors, qu’est-ce que le communisme ou sont ses valeurs ? Il faudra peut-être attendre sa résurgence en plein jour pour espérer l’affronter mais, avant cela, il y a beaucoup à apprendre et à comprendre pour se protéger de son poison insidieux

Pour prendre une représentation imagée, on pourrait dire que c’est une hydre qui s’est largement abreuvée du sang russe avant de plonger sous terre. Son armature de fer (son organisation) et ses multiples têtes (idéologies variées s’appuyant sur une dialectique unique) l’ont rendue très résistante et il est à douter qu’elle se soit décomposée puisque presque personne n’a réellement pu l’identifier.

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