Massacre d’Oradour sur Glane en 1944 la version officielle n’a pas tout dit

Publié le par Bernard Gasnot

Le massacre d’Oradour-sur-Glane en 1944 fait sans doute partie de ces histoires sacrées qu’on ne doit en aucun cas remettre en cause ou en contester les faits sous peine de se voir accuser de négationnisme voir d’antisémitisme.Tout le monde en France ou presque a eu connaissance de cette tragédie survenue peu de temps après le débarquement allié en Normandie.

Officiellement un commando SS en retraite a exterminé la population d’un petit village sur sa route en incendiant en partie l’église du village où ont été amené femmes et enfants.

Mais des éléments indiquent que l’histoire s’est passée un peu autrement. Beaucoup de personne réagissent dans ce genre de cas uniquement dans l’émotionnelle (« Ces personnes sont mortes horriblement par la faute de soldats nazis, c’est tout. ») comme il l’était et l’est encore pour le 11 septembre et Charlie d’Hebdo pour les plus connus. Les nouvelles arrivants (ou les Charlies) sur des sites de ré-information Ainsi lorsque ces soldats sont arrivés dans ce village, des résistants maquisards y étaient réfugié. Les femmes/enfants ont bien été séparé des hommes mais une fusillade éclata.

Une boîte de munition appartenant à la Résistance, livrée par les Anglais et cachée dans l’église explosa, provoquant l’incendie désastreux.si cette histoire comme tout autre est entachée de mensonges officielles, ce n’est pas pour rien, cela a été voulu délibérément par les Vainqueurs ( mais je dirais simplement par la Cabale).

Il y’a beaucoup de cas équivalents de la seconde guerre mondiale où officiellement on dit encore que c’est dû à des exécutions systématiques alors qu’en réalité il y’a des concours de circonstances (Faîtes vos propres recherches !)

Si vous préférez de la lecture :

Le grand public reste persuadé qu’à Oradour-sur-Glane les SS ont massacré plusieurs centaines de femmes et d’enfants. Il s’imagine que ceux-ci ont été brûlés vifs dans une église volontairement incendiée.

Pourtant, la simple étude des ruines du sanctuaire suscite de nombreux doutes. Comment se fait-il que, là où des dizaines de corps ont été réduits en cendres, des draperies et des objets en bois léger aient pu être préservés ? Comment se fait-il que des corps aient été déchiquetés, coupés en morceaux, comme à la suite d’un bombardement aérien ?

Certains répondront que, face à une tragédie humaine aussi impressionnante, de telles interrogations purement techniques sont insupportables. Suivre

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