Maman Merkel" : le cri d’amour des syriens en Allemagne (propagande médias)

Publié le par Bernard Gasnot

En ce qui concerne les migrants – pardon les réfugiés Syriens et autres Irakiens –, Merkel et ses acolytes nous montrent l’exemple Ces jours-ci notre grosse Bertha embouche les trompettes de la renommée et se fait prendre en photo avec les petits bonshommes gris-verts qui ont fui leur lointaine patrie. Pensez donc, l’Allemand a l’expérience de ces choses nous disait un commentateur averti à Arrêt sur Images la semaine dernière : ils ont recueilli chez eux 11 millions de réfugiés des pays Baltes, et de Pologne après 1945, n’était-ce pas la preuve irréfutable de leur humanisme kantien ? Certes renchérissait son compère interviewé avec lui, d’ailleurs les Allemands sont avant tout chrétiens, la religion tient une grande place dans leur société qui n’est pas comme chez nous laïque !

C’est pourquoi leur projet d’accueillir chaque année 800 000 Moyen-Orientaux est encore un exemple de leur respect des droits de l’homme alors qu’ils sont confrontés à un surplus commercial dévastateur, à des dettes élevées et au racisme des ex-citoyens d’une République démocratique allemande infectée d’un nazisme.

Dans un premier temps, comme Hollande, Cameron, Erdogan, Merkel arme les djihadistes contre le régime syrien et méprise Assad, fait copain-copain avec les criminels du Kuwait, du Qatar et de l’Arabie Saoudite qui a pris une place importante au sein de l’ONU. Dans un second, elle s’émeut de voir les Syriens quitter leurs villes et villages, migrer à l’intérieur du pays, puis dans les pays limitrophes. Enfin, dans un esprit profondément christlich-Demokrat elle leur ouvre grand les portes de l’Europe. Cette Europe si généreuse qui est pour une large part responsable de leur malheur. Le coup de génie de Frau Merkel n’aurait-il pas été de sucer le sang d’un pays en inventant la déportation-importation du bétail humain tout en se faisant passer pour une altruiste ?

L’ECIPS, European Centre for Information Policy & Security, organisme on ne peut plus officiel de l’institution européenne, en la personne de son directeur Ricardo Baretzky, affirme officiellement dès avril 2015 que l’immigration massive actuelle est un cheval de Troie permettant l’entrée en Europe, parmi les migrants “ordinaires”, de combattants fanatiques de l’État prétendument islamique ». On ne peut alors éviter de se poser la question de l’étrange sollicitude des dirigeants allemands et nord européens qui veulent accueillir à bras ouverts des masses considérables de migrants et qui, le moment venu, verseront des larmes de crocodile sur la mort de tel ou tel innocent tués dans un attentat “à la Charlie”. Voici la traduction du message du 22.04.15 de Baretzky proposée par l’animateur du site :

« L’ECIPS lance l’alerte “Exodus”

« Le Président du Centre Européen pour la Politique de l’Information et de la Sécurité (ECIPS), M. Ricardo Baretzky, a appelé à une action internationale sur la migration et a prévenu que les politiques migratoires actuelles de l’Union Européenne nécessitent un renforcement urgent. Il a affirmé que les problèmes migratoires actuels posaient un problème majeur à la sécurité européenne et à sa stabilité.
Selon le Président Baretzky, le Parlement Européen devrait prendre des mesures précises et concrètes contre le trafic d’êtres humains et ses mafias qui soutiennent l’immigration illégal
e.

» Il a annoncé qu’un des plus grands risques était que des organisations terroristes comme ISIS et Al-Qaïda utilisent les migrations massives comme un de leurs outils sociaux aux conséquences indésirables. Selon lui, la montée en puissance d’une immigration de masse incontrôlée débouchera sur une augmentation du terrorisme et les « Valeurs Européennes » pourraient être mises en danger dans leur ensemble si aucune action décisive n’est prise aujourd’hui ; il a mis en garde sur la nécessité de percevoir clairement les risques pour la sécurité associés à l’immigration de masse.

» Il a rappelé que 42% de toute l’aide internationale va à l’Afrique et que les leaders africains devraient être tenus responsables de leurs actes. Il a remarqué que les violences xénophobes actuelles en Afrique du Sud sont seulement le début des problèmes internationaux à venir, et a insisté sur le fait qu’en 2013, lors des précédentes violences xénophobes en Afrique du Sud, l’ECIPS avait mis en garde sur les risques migratoires futurs en provenance de l’Afrique. Le Président Baretzky a dit qu’aucune attention n’était portée à ces problèmes croissants, et qu’aujourd’hui ils ont atteint le niveau d’un possible « EXODUS » futur, un point de non-retour. Il a constaté que l’approche diplomatique et politique avait échoué avec les leaders africains, comme l’expérience passée l’avait prouvé, et a insisté sur le fait que le trafic d’êtres humains est seulement l’un des facteurs en cause qui demande une attention urgente. Il a affirmé que des contrôles aux frontières plus stricts sont nécessaires et qu’un financement plus important est demandé pour combattre ces problèmes.

» L’instabilité grandissante en Afrique et au Moyen-Orient est le facteur principal avec la radicalisation, et son centre névralgique concentré en un État Islamique est la clé de la plupart de ces problèmes. Le Président Baretzky a dit que la pauvreté et la guerre ont une origine et que l’aide financière n’est pas une solution mais pourrait aider à résoudre les problèmes en cours.

» Il a exhorté la totalité des 28 États membres de l’Union Européenne à œuvrer ensemble et a demandé la formation en urgence d’un Conseil International de Sécurité afin de protéger l’histoire culturelle et les valeurs de l’Europe, dans l’esprit de la déclaration universelle des droits de l’homme qui la fonde, pour trouver des solutions à l’oppression des migrations de masse qui est en train d’émerger ».

« La solution à cette migration éperdue se trouve sur le terrain en Syrie. Seuls les dieux peuvent combattre du haut du ciel. Les combats pour la liberté ne se gagnent pas en se contentant de jouer à la guerre comme dans un jeu vidéo. La vraie tâche de l’Europe : pacifier la Syrie, sur le terrain, avec ou sans l’ONU. La raison d’être de l’accueil des Syriens qui fuient l’oppression : en faire les artisans d’un renouveau sous le double auspice de la tolérance et de la liberté et non pas de bons employés chez Daimler ».

« C’est vrai qu’on peut reprocher beaucoup de choses aux Allemands, mais il faut leur reconnaître au moins une qualité : à chaque fois qu’ils nous ont envahi, eux ne se sont jamais fait passer pour des victimes » !

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