l’Archéologie Interdite

Publié le par Bernard Gasnot

Sous ce terme énigmatique se cache l’un des plus grands tabous de la science moderne; en effet, les découvertes du 20ème siècle en matière archéologique ont révélé des incohérences flagrantes entre les vestiges mis à jours et l’enseignement scolaire prodigué jusqu’alors en matière de civilisations anciennes et d’histoire de l’homme.

Civilisation avancée 10 000 ans avant JC

D’une manière communément admise par les scientifiques, la Terre à l’époque du néolithique, environ 10 000 ans avant Jésus Christ, était peuplée par des hommes primitifs dont les sociétés étaient marquées par l’utilisation d’une économie basée sur l’agriculture et l’élevage sans qu’il ne soit question de civilisation… Par civilisation et encore plus « civilisation avancée », il faut entendre une société dans laquelle les progrès tant social, matériel que culturel sont suffisamment élevés qu’il est possible de les opposer aux termes de barbarie et de sauvagerie.

Les sociétés du néolithique, même si elles pouvaient posséder des villes dues à une sédentarisation induite par la découverte de l’agriculture, ne possédaient pas de véritable organisation tant sur le plan politique que du travail, ni travaux publiques monumentaux ou de réalisations artistiques gigantesques et encore moins de connaissances scientifiques. Les premières civilisations communément reconnu comme ayant laissé suffisamment de traces pour être identifiées comme telles sont Sumer (6000 ans avant J.C.), l’Egypte antique (3000 ans avant J.C), la vallée de l’Indus (5000 ans avant J.C) et la Chine (500 ans avant J.C).

Pour être qualifiée de civilisation, celle-ci doit regrouper des caractéristiques d’organisations (présence d’une ville, travail spécialisé, concentration de surplus de production, structure de classe, organisation étatique) et des caractéristiques matériels (travaux publics monumentaux, commerce à longue distance, réalisations artistiques monumentales, comptabilité, registre, arithmétique, géométrie, astronomie …) Et pourtant, avec l’évolution des techniques modernes de datation, ce documentaire semble apporter des preuves irréfutables quand à l’existence d’une civilisation avancée antérieure à celle de Sumer, dont les Egyptiens se seraient inspirés, et qui daterait d’environ 10 000 ans avant J.C.


Civilisations Disparues (1978)


Le mythe du déluge

Des découvertes récentes laissent penser que le Grand Sphinx de Gizeh, en Egypte, daterait de plus de dix mille ans avant notre ère, soit plusieurs milliers d’années avant la plus ancienne civilisation connue de l’histoire humaine.

Mais comment a-t-on pu réaliser ce tour de force architectural à une époque aussi reculée?
En Amérique du Sud, les inscriptions laissées par la civilisation toltèque révèlent d’incroyables connaissances astronomiques et mathématiques. Comment un tel savoir est-il apparu chez un peuple qui ignorait l’usage de la roue?

Utilisées par les marins du XVe siècle, les antiques cartes de Pris Reis comportent des tracés d’une précision inconnue en ces temps. D’après quelles sources ont-elles été établies? Passant en revue de nombreux faits troublants et toujours inexpliqués par l’archéologie officielle, Colin Wilson démontre que l’humanité et la culture pourraient être bien plus anciennes qu’on ne l’imagine.


Secrets et Mystères du Monde


Sphinx Et Tour de Babel

Le sphinx est, avec les pyramides, le monument égyptien le plus connu. Plusieurs chercheurs et anthropologues ont étudié cette immense sculpture pour essayer d’en apprendre un peu plus sur les civilisations égyptiennes anciennes. Le docteur Robert Schoch, géologue, s’est penché sur l’érosion qui a abimé le sphinx et a fait des découvertes étonnantes: alors qu’il est situé en plein milieu du désert, il semblerait qu’il y ait de nombreuses traces d’érosions par l’eau. Ces traces auraient deux explications: soit elles sont le résultat du sable chargé de l’eau des crues du Nil, soit le sphinx daterait d’avant le climat désertique du Sahara. La date de construction du Sphinx est estimée, par la plupart des égyptologues, à 2500 ans avant Jésus Christ. Mais de 10 000 à 8 000 avant Jésus Christ, le désert était en fait une savane verdoyante avec de fréquentes précipitations. Est-ce que le Sphinx daterait plutôt de cette époque? Serait-il le vestige d’une civilisation ancienne disparue?

Pour épaissir le mystère, plusieurs légendes parleraient d’une salle d’archives comprenant des textes anciens, qui pourrait être cachée par une technologie avancée, puisque personne ne l’a jamais trouvée. La réticence du gouvernement égyptien face aux chercheurs qui s’intéressent aux Sphinx laisse à croire que cette salle pourrait être cachée sous celui-ci. Des sismologues ont même détecté des cavités de grandeur notable sous ses pattes. Salle comprenant des dossiers anciens secrets ou simple fissure naturelle? La question se pose toujours.

Quant à la tour de Babel, mythe biblique, certains chercheurs se demandent si elle a réellement existé. Rappelons rapidement le mythe autour de la tour: les hommes, tous des descendants de Moïse, parlaient la même langue. Ils auraient voulu bâtir une tour qui irait jusqu’aux cieux. Dieu, pour les punir, aurait détruit la tour et donné une langue différente à chacun afin qu’ils ne puissent plus se comprendre. Est-ce que l’origine des langues proviendrait réellement de cet événement? Quoiqu’il en soit, de nombreux documents provenant des premier siècles parlent de cette tour comme un fait réel. Le roi Nabuchodonosor a essayé de la reconstruire, ainsi que Saddam Hussein, ex-président de l’Irak. Dans quel but? Nul ne le sait. Tout ce qui est sûr, c’est que la véritable tour a été détruite. Pour le reste, il n’y a que des légendes pour guider les chercheurs qui s’y intéressent.

Présence extraterrestre dans la Bible

La Bible, un texte sacré rempli de manifestations fantastiques d’une terrifiante force surnaturelle. Est-ce à tort qu’on les a attribués à Dieu ? Il s’agissait peut-être de phénomènes extra-terrestres ? Qu’en est-il de l’étincelante roue qui descend sur le prophète dans le livre d’Ezequiel ? Sodome et Gomorrhe ont-elles vraiment agonisé dans les flammes et l’odeur du souffre, comme le raconte la Genèse ? Dans l’exode, une présence céleste guide Moïse dans sa traversée du désert. Réalité ou fiction ? Faut il y voir la main de Dieu, ou au contraire, faut il y déceler la présence des ovnis dans la Bible ?

OVNI De l’Antiquité à nos jours

Les anciens détenaient-ils les clefs du futur que la science moderne n’a pas encore découvertes ? Avec l’avènement du nouveau millénaire, nombreux sont ceux qui cherchent un outil magique pour découvrir les défis qui attendent l’humanité. Une humanité qui ne renoncera jamais à son rêve d’éliminer les barrières du temps… Les vestiges égyptiens nous ont beaucoup appris, mais les mystères persistent. Pourquoi par exemple, les monuments de l’antiquité ont-ils aussi souvent été orientés pour indiquer avec précision la position de certaines étoiles ? Pourquoi dans les textes anciens, est-il si souvent question d’étranges machines volantes, plusieurs siècles avant l’invention du premier avion ? Les grandes civilisations du passé nous ont laissé des textes qui décrivent des phénomènes aériens incompréhensibles, qui semblent souvent associés à l’apparition de vaisseaux spatiaux pilotés par des êtres intelligents. Les ovnis ont-ils une réalité ? Proviennent-ils des confins de l’univers ? On a démontré que la planète Mars a probablement été habitée autrefois, mais un mystère très ancien revient nous hanter : Est-il possible que depuis des milliers d’années, des créatures de l’espace nous rendent visite régulièrement ?

Depuis des millénaires, l’humanité admire le ciel étoilé avec craintes. En observant le déplacement lent et continu des étoiles, les hommes ont découvert une corrélation entre ce mouvement et l’alternance régulière des saisons. C’est d’ailleurs cette découverte qui a rendu possible la création d’un calendrier et la mise au point de l’agriculture. En regardant le ciel, on peut aussi voir des objets totalement étrangers à l’ordre de la nature, et qui semblent la défier. La présence de ces objets volants non identifiés ou OVNI, remet en cause le savoir des Hommes et le problème est toujours d’actualité. Dès que l’Homme a été en mesure de relater sa présence, il a été question des OVNIS, même à l’époque de l’Homme des cavernes qui remonte à environs 20 000 ans. Ainsi figé dans la pierre, ces dessins étonnants posent des questions qui risquent de demeurer à jamais sans réponse. Ces formes curieuses évoquent-elles des Dieux, des esprits ancestraux, ou comme on le croit souvent des vaisseaux interplanétaires ? Les premières civilisations, comme la civilisation sumérienne qui remonte à quelques 5000 années, nous ont laissé des textes qui montrent de curieux phénomènes aériens et des personnages étranges. Certaines descriptions illustrent des appareils volants pilotés par différentes catégories d’êtres vivants.

L’un des premiers récits décrivant une rencontre avec un OVNI a été rédigée en Égypte il y a plus de 3500 ans. Un pharaon aurait vu le ciel embrasé par des cercles de feu. Au début, il n’y avait qu’un seul cercle et quelques jours plus tard ils étaient si nombreux qu’il en aurait été très impressionné. Le récit de cet événement, considéré comme capital, a été conservé sur papyrus. Cette histoire n’est pas unique, car onze siècles plus tard, Alexandre le Grand (célèbre empereur Grec) aurait vu des OVNIS pendant sa campagne d’Asie. Leur récit explique qu’Alexandre et ses hommes traversaient une rivière, quand soudain des engins volants semblables à des boucliers d’argent ont envahis le ciel. Puis ces engins auraient plongé sur les soldats. Affolés, les hommes et les chevaux se seraient dispersés dans tous les sens. Sept ans plus tard, alors qu’il assiège une ville, Alexandre rencontre à nouveau des OVNIS. D’après les témoignages de personnes des deux camps, l’un de ses objets aurait projeté un rayon lumineux sur le mur d’enceinte de la ville pour le réduire en poussière. Quelques siècles plus tard, il est toujours impossible de déterminer si ces événements ont réellement eu lieu ou s’ils sont purement imaginaires. Les visiteurs de l’espace ont-ils une réalité ? L’existence d’une autre humanité est-elle concevable ? Sommes-nous vraiment les seuls dépositaires d’une civilisation ou existe-t-il quelque part une autre forme de vie intelligente qui nous surveille et nous dépasse ? Un sujet bien mystérieux qui nous laisse avec des questions sans réponses depuis des années et qui n’a pas fini de nous faire travailler.

Projet ISIS

Les archives secrètes du KGB, est un documentaire (1h12) qui s’intéresse au projet Isis initié par l’URSS dans les années 1960 afin de découvrir dans la Grande Pyramide de Khéops en Égypte la mythique Chambre des Connaissances à des fins militaires. Le KGB aurait alors découvert un tombeau qui contenait les restes d’une créature extraterrestre morte 10.000 ans avant Jésus-Christ, et des artefacts.

Une légende égyptienne raconte qu’une chambre nommée « Magbarat Alzoar », signifiant la tombe du visiteur, détiendrait la Sagesse du Dieu venu des étoiles. Dans la mythologie égyptienne, Osiris fut le premier pharaon, mort et ressuscité, dont l’épouse était Isis. Osiris était un personnage qui aurait été, en effet, un alien qui conduisit l’humanité à la civilisation. Après sa mort, il a été momifié et enterré dans un lieu tenu secret.
Depuis l’an 820 après J.-C, des explorateurs rêvent de trouver la mythique Chambre des Connaissances. Le cheikh Abdullah al-Mamoun a été le premier à pénétrer dans la Grande Pyramide. Il était attiré par la légende selon laquelle des dossiers sur le passé et l’avenir de l’humanité étaient cachés dans la pyramide. En inventant des histoires d’or et de trésors, le cheikh amena ses hommes terrifiés à marcher dans les couloirs. Lorsque les explorateurs pénétrèrent dans la chambre du roi, ils n’y découvrirent qu’un sarcophage vide.

Certains pensent que s’il existe une chambre de l’ancienne sagesse, elle doit se trouver sous la Grande Pyramide. Pendant des années, des personnes ont spéculé à propos de l’existence de passages souterrains qui relieraient la Grande Pyramide au Sphinx. Les scientifiques russes de l’époque auraient alors prit ce mythe très au sérieux.
De récentes recherches sismiques sous-entendent l’existence d’une caverne mystérieuse qui ressemblerait à une chambre et se trouverait sous le Sphinx, comme l’expose également le Nexus n° 33. Cette hypothèse a relancé le débat sur la Chambre des Connaissances. Pour l’expert des anciennes pyramides Josh Casin, il semblerait qu’un entrepôt des connaissances aurait été laissé par d’anciens visiteurs…

De cette histoire est né le projet Isis, qui fut l’une des missions secrètes lancées par le KGB dans les années 1960, le but prioritaire étant de découvrir des connaissances avancées à des fins militaires. Discrètement, des études furent menées sur les OVNIs afin de comprendre leur système de propulsion, car trouver de la technologie extraterrestre permettrait d’en équiper les avions soviétiques

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Viktor Ivanovich Belenko, astrophysicien et neurologue russe travaillant en tant que conseiller du Kremlin, aurait eu accès à des dossiers du KGB du Projet Isis. Il aurait raconté son expérience dans un livre nommé « Projet Isis: Le KGB découvre la tombe du Visiteur ».
L’équipe chargée de la mission aurait été composée d’égyptologues de l’Académie des Sciences Soviétique, dont un certain Herman Alexeyev, présenté comme un égyptologue d’un institut dépendant du musée de l’Ermitage, et d’experts militaires spécialisés en radioactivité et guerre chimique, ainsi que d’astronomes, dont Yuri Vladimir, qui serait également archéologue. Sami Sharaf, secrétaire de Gamal Abdel Nasser et ministre des affaires présidentielles par la suite, aurait été recruté pour le projet et aurait fait part d’écoutes téléphoniques pratiquées par ses services à propos de la découverte par deux bédouins de « Magbarat Alzoar », une tombe très ancienne, celle du visiteur.
Boris Timoyev, biologiste moléculaire, aurait procédé à une datation par le carbone 14 des prélèvements de la tombe découverte et l’aurait datée de 10.000 ans avant notre ère, soit durant la période prédynastique égyptienne.

Si les propos du docteur Ivanovich sont exacts, en 1961, un groupe de chercheurs aurait bien trouvé le cadavre d’un extraterrestre mort en Égypte aux environ de 10.000 ans avant J.-C. De plus, une pièce placée sous le tombeau aurait été qualifiée par certains archéologues comme étant la fameuse Chambre secrète des Connaissances. Les Soviétiques auraient découvert et ouvert le tombeau, mais un grand nombre d’entre-eux seraient morts de causes inconnues. Les autres auraient récupéré le corps d’un extraterrestre momifié, et un certain nombre d’artefacts placés à côté de l’alien.
Mystérieusement, le Kremlin décida d’arrêter les fouilles et de sceller la tombe. Tous les documents ayant un lien avec cette affaire furent détruits et rien ne fut révélé. Le projet Isis prit fin en 1981.

Le 28 novembre 2010, le chef du Département Archéologique de l’Université du Caire, le Dr. Ala Shaheen, a déclaré lors d’une conférence qu’il pourrait y avoir une théorie selon laquelle les extraterrestres ont aidé les anciens égyptiens à construire les plus anciennes pyramides d’Égypte, comme celle de Gizeh, et que les pyramides contiennent de la technologie extraterrestre…
Marek Novak, un délégué de la Pologne, lui a demandé si la pyramide pourrait contenir de la technologie extraterrestre, ou même un OVNI. Le Dr. Shaheen, restant vague a répondu : « Je ne peux pas confirmer ou nier, mais il y a quelque chose à l’intérieur de la pyramide qui n’est pas de ce monde ».
Les délégués à la conférence sur l’architecture égyptienne antique ont été choqués, mais le Dr. Shaheen a refusé de commenter ou d’apporter des précisions sur l’affaire.

Archéologie interdite : entretien

À l’occasion des Premières Rencontres du Mystère et de l’Inexpliqué, organisée par Bob Vous Dit Toute La Vérité, la chercheuse-historienne Bleuette Diot donnait une conférence sur le thème de l’Archéologie Interdite. Mme Diot vient de publier aux éditions Dorval un essai intitulé « Histoires Secrètes des Civilisations, de Göbekli Tepe à Sumer ». Nous l’avons donc interrogé à propos de l’Archéologie Interdite en générale, et du site archéologique de Göbekli Tepe, vieux d’au moins 12 000 ans. Voici un extrait de son livre :

« La science respecte-t-elle ses propres principes, à savoir : étudier les faits et rien que les faits, même s’ils contredisent les théories établies ? et bien, ma réponse est non.

Hélas, le filtrage des connaissances est communément pratiqué à partir du moment où les trouvailles archéologiques ne cadrent pas avec ce qui est officiellement admis, interdisant par là même à la science de progresser ! Une sorte d’autocensure s’opère spontanément dès que les faits ne cadrent pas avec ce que nous pensons détenir comme acquis. Si un certain nombre de chercheurs dissidents dénoncent aujourd’hui cette forme d’occultisme, d’autres experts en revanche, s’imaginant peut-être détenir le monopole de la Vérité, n’hésitent pas à traiter de pseudo-scientifiques tous ceux qui refusent d’entrer dans le moule académique. DÉJÀ l’inverse, il est souvent reproché aux historiens et archéologues conservateurs d’avoir trop souvent tendance à privilégier leurs propres théories au détriment des faits eux-mêmes, voire de les ignorer quand ceux-ci ne cadrent pas avec les théories admises. »

L’empreinte des dieux

Du fond des âges, d’immenses empreintes sur terre, d’impressionnants vestiges archéologiques, des traces de bouleversements et de cataclysmes à l’échelle planétaire, de mystérieux signes et écrits de toutes origines, tentent de nous délivrer un très pressant message… Graham Hancock, avec brio et maîtrise, assemble, pièce après pièce, un gigantesque puzzle regroupant les grands mystères du monde : les immenses dessins au sol de Nazca, les ruines mégalithiques de Tiahuanaco, les énigmatiques cartes médiévales de l’Antarctique libre des glaces, les pyramides d’Égypte et d’Amérique centrale et leurs corrélations mathématiques, les dieux blancs des Aztèques et des Incas, les troublantes et nombreuses versions du mythe du Déluge, l’âge multimillénaire du Sphinx pour n’en citer que quelques-uns. Mais dans ce livre duquel on ne peut s’arracher, Hancock ne se limite pas à cette captivante démonstration. Il propose, ni plus ni moins, une nouvelle et très convaincante approche de l’histoire des hommes depuis les commencements. D’après les historiens et les archéologues, la civilisation aurait émergé au Proche-Orient, il y a cinq mille ans… Battant en brèche ce dogme, Hancock se lance sur la trace des » Dieux « , rescapés d’une civilisation originelle dont l’Antiquité, dans l’Ancien comme dans le Nouveau Monde, serait l’héritière ; une civilisation primordiale d’un niveau scientifique et culturel très élevé, anéantie des milliers d’années avant la construction des pyramides d’Égypte dans une catastrophe apocalyptique appelée, si l’on en croit la périodicité fixe des cycles cosmiques, à se reproduire le 23 décembre 2012…

L’Histoire Secrete de l’Espèce Humaine

Beaucoup de découvertes étonnantes ont été faites ces deux derniers siècles remettant totalement en cause la crédibilité des thèses dites officielles sur l’origine de l’Homme. Ces découvertes sont dérangeantes pour beaucoup de chercheurs et d’institutions lorsqu’elles prouvent que d’anciennes civilisations étaient bien plus avancées que ce que nous avons appris… Des civilisations parfois âgées de plusieurs centaines de millions d’années. Dans cet ouvrage, Michael Cremo et Richard Thompson mettent leur connaissance de la paléontologie ainsi que leur honnêteté intellectuelle en commun afin de nous faire découvrir l’Histoire de l’Homme de manière, certes peu académique, mais très pertinente. Ce livre n’est nullement le fruit de thèses farfelues et ubuesques, mais il s’agit d’une étude et d’un constat uniquement basé sur des faits et des découvertes sérieuses. Fossiles portant de curieuses incisions, pierres taillées anormalement anciennes, objets attestant d’une culture avancée en des temps reculés prouvant parfois la maîtrise de l’écriture… Les preuves sont multiples mais pourtant anormalement ignorées. Le chercheur moderne ne cesse de pratiquer le filtrage des connaissances, devenant aveuglement le défenseur de la thèse conventionnelle et oubliant le véritable but de la science. Cette pratique de l’Histoire constitue une tromperie scientifique d’autant plus grande lorsqu’elle est pratiquée volontairement. Le chercheur François de Sarre, qui se situe dans le domaine de l’étude de la Bipédie initiale pour finalement arriver aux mêmes conclusions que Michael Cremo et Richard Thompson, nous offre également son analyse dans une préface pour cette nouvelle édition. Après la lecture de ce livre magnifiquement illustré, votre conception de ce que vous considériez encore hier comme l’Histoire de notre civilisation sera alors entièrement bouleversée.

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E
Article très intéressant, c'est fou comme les gens préfèrent se limiter à ce qui est imposé par la société !
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T
merci