Les Dessous de Daesh alias Etat islamique / ISIS / EI …

Publié le par Bernard Gasnot

Les Dessous de Daesh alias Etat islamique / ISIS / EI …
Les Dessous de Daesh alias Etat islamique / ISIS / EI …
Les Dessous de Daesh alias Etat islamique / ISIS / EI …

Les Dessous de Daesh alias Etat islamique / ISIS / EI …

« Daesh est une création israélo-anglo-américaine »

(Les nombreux liens renvoient vers notre revue de presse via des mots-clés, ou vers des dossiers du site et quelques sites externes) Résumé introductif :

Cette entité terroriste est une création des puissances occidentales conjointement avec le financement direct (et la provenance principale des mercenaires) de l’Arabie Saoudite et du Qatar, l’aide logistique de la Turquie et la Jordanie, parfois la France, et la complaisance de l’ensemble des pays occidentaux. Hormis la Russie.

C’est la manipulation d’hommes déséquilibrés par des ersatz de religions (wahhabisme, salafisme ou takfirisme) nourrissant déjà de profonds ressentiments envers l’impérialisme moralisateur et belliqueux occidental.

Le contrôle (direct, ou à distance) sioniste de cette entité ne fait plus aucun doute. L’agression de la Syrie et de l’Irak par les forces pseudo-jihadistes colle parfaitement avec le besoin d’israel-la-maudite de déstabiliser ses voisins antisionistes (Liban, Syrie, …), morceler leurs pays pour mieux les intégrer à ce « Grand israël » messianique, le « Eretz israël ». Toutes les preuves montrent l’implication sioniste au plus haut niveau. Et seule l’entité sioniste n’est pas inquiétée dans cette région du monde déstabilisée par sa présence. Cette entité racialiste, qui se plaint continuellement d’être « prochainement rayée de la carte » par un voisin iranien gênant, a pour visées géopolitique la disparition par leur partition d’autres pays, et s’y emploie activement. Daesh sert totalement ces visées. Et d’autres concomitantes.

D’après le Général Jean-Bernard Pinatel : « le grand bénéficiaire du chaos au moyen orient, c’est Israël »

Cela devient tellement visible, que le service public français lui-même se lance dans un « complotisme » de façade, en donnant une unique raison énergétique à cette déstabilisation régionale

« En 1971, une poche de gaz gigantesque a été découverte, dans le golfe persique, répartie à moitié moitié entre le Qatar et l’Iran. Cette poche, les qataris l’ont nommé North Dome, et les perses – ou iraniens – l’ont nommée

Cette poche de gaz représente 20% des réserves naturelles de gaz du monde. Le Qatar a commencé les forages en 1988, pour passer, à partir de 1996, en phase de production et augmenter progressivement sa capacité de production, au fil des années.

L’Iran, du fait du blocus économique qui le frappait, n’a pu commencer l’exploitation de ce champ que bien plus tard, mais rattrape depuis son retard.

De l’autre côté, schématiquement, l’Europe est un gigantesque consommateur de gaz qui ne produit pratiquement rien et doit tout acheter sur le marché international. Les trois grandes sources de gaz qui alimentent l’Europe sont l’Algérie, les champs de la mer du nord (exploités par le royaume uni et la Norvège)… et la Russie.

La Russie ayant réussi à nouer des liens proches avec l’Algérie, l’Europe vit donc dans une situation de dépendance stratégique permanente vis-à-vis d’une coupure toujours possible du gaz russe qui, si elle était également appliquée par l’Algérie, plongerait l’Europe dans une crise énergétique grave.

La conjonction de ces deux facteurs, d’un côté un Qatar et un Iran producteurs massifs d’un gaz abondant, et de l’autre d’une Europe qui voudrait diversifier ses sources d’approvisionnement énergétiques, tout cela explique le rapprochement entre la France et le Qatar (mais aussi le relâchement du blocus iranien).

Donc, à partir de 2007, un Qatar ayant des quantités immenses de gaz à fourguer a commencé à draguer l’État français, s’offrant des clubs de foot, des coupes du monde pour devenir populaire et… en substance, monter un projet de gazoduc direct, allant du Qatar, passant par l’Arabie Saoudite, rejoignant la Turquie, puis rentrant en Europe par les Balkans.

Le seul problème… c’est qu’entre l’Arabie Saoudite et la Turquie, il n’y a que deux pays, le premier étant l’Irak et le second…la Syrie.

L’Irak étant en guerre et jugé totalement inadéquat pour y construire un gazoduc, les qataris et les saoudiens ont proposé, en 2009, à Bachar El Assad de construire ce gazoduc sur son territoire.

Bachar El Assad étant allié de la Russie, la Russie lui fit refuser ce transit, puisque ce gaz qatari allait la priver de son arme stratégique contre l’Europe. Assad refusa donc, en conséquence de quoi, en 2011 le Qatar et l’Arabie Saoudite consacrèrent quelques milliards d’euros à la création de milices en Syrie pour entamer un conflit contre Assad, dans l’espoir de le destituer, étant entendu que l’État qui prendrait sa place pourrait être islamiste ou n’importe quoi d’autre, la seule obligation qui lui incomberait, dès sa prise de pouvoir, se résumant à la construction de ce gazoduc.

Le Qatar et l’Arabie Saoudite financèrent ainsi Al Nosra, branche d’Al Qaïda en Syrie, avec la bénédiction d’Israël qui voyait d’un bon oeil la chute d’El Assad, qui ainsi arrêterait de financer le Hezbollah qui du coup n’aurait plus eu de financement pour continuer de tirer des roquettes sur Israël.

Et la guerre civile en Syrie éclata, et … la guerre s’enlisa, pendant des mois, des années…

En septembre 2013, excédés par le temps que prenait cette petite guerre coloniale, les USA, la France et le Royaume uni se décidèrent à envoyer une flotte de guerre pour appuyer les rebelles syriens et faire chuter Bachar et son régime.

La Russie, qui ne l’entendait pas de cette oreille, envoya plusieurs navires de guerre s’interposer entre la côte syrienne et la coalition qui allait passer à l’attaque.

Il faut ici comprendre que la façon de faire la guerre des USA est très monolithique, codifiée… lorsqu’ils passent à l’attaque, ils le font :

1) avec des missiles tomahawk, qui permettent de détruire les radars à interférométrie et les radars passifs (ceux qui voient les avions furtifs),
2) ce qui permet ensuite d’envoyer l’aviation furtive détruire les défenses anti aériennes et les PC de commandement,
3) ce qui permet ensuite d’envoyer la vague de bombardiers classiques pour inonder les troupes terrestres ennemies de bombes.

Donc, toute la stratégie américaine est basée sur l’attaque première des tomahawk. En septembre 2013, la flotte américaine, avant de lancer le gros de ses tomahawks en a lancé deux, de « reconnaissance »… et ils ont eu la très désagréable surprise de les voir tomber dans l’eau, leurs missiles ayant été brouillés par les contre mesures électroniques de la flottille russe.

Donc, alors que la télé nous bombardait avec les explications sur l’attaque qui allait avoir lieu, que Hollande l’avait annoncée publiquement… eh bien l’occident a du replier ses billes et rentrer penaud à la maison, puisque l’attaque ne pouvait pas avoir lieu. Et cette guerre annoncée fut oubliée du jour au lendemain par nos médias.

La vengeance de l’occident eu lieu quelques mois plus tard, en Ukraine. Une révolution fut organisée par les services secrets européens. Des barbouzes [des services secrets] engagèrent quelques centaines de mercenaires pour organiser un coup d’État, qui eut bien lieu, le but premier étant de punir la Russie qui avait eu l’outrecuidance de croire qu’elle pouvait agir en tant que superpuissance.

L’Ukraine tomba aux mains d’une junte pro-occidentale. La Russie réagit en récupérant la Crimée et en réussissant à utiliser le sentiment pro-russe d’une bonne moitié de l’Ukraine pour entamer là-bas une guerre civile.

Les USA réussirent à faire détruire, par l’état ukrainien, un avion de ligne tiré au sort qui permet à l’Europe d’inventer des sanctions économiques contre la Russie, ce qui permit de mettre à mal l’économie russe et de diminuer la valeur du rouble par deux face à l’Euro tout comme au dollar.

Mais la Russie survécut sans trop de problèmes au choc économique.

Pendant ce temps, la guerre continuait en Syrie… Al Nosra avait accouché d’un monstre, l’Etat Islamique, la guerre de tranchées était de plus en plus défavorable au régime d’El Assad…

L’Iran, considérant – à juste titre – que l’Arabie Saoudite finançait l’EI aussi bien en Syrie qu’en Irak, l’Iran soutenant les pouvoirs centraux syrien et irakien et étant en conflit officieux avec l’Arabie Saoudite sur deux fronts déjà, décida d’appuyer une révolte armée au Yemen contre l’Arabie Saoudite. Ce conflit débuta en mars 2015.

Ainsi donc, l’Iran et l’Arabie Saoudite sont en conflit désormais sur trois fronts, en Syrie, en Irak et au Yemen… l’exploitation de la poche de gaz étant évidemment le nœud du problème.

C’est ainsi que la Russie décida d’intervenir directement en Syrie, il y a un ou deux mois, pour assister le pouvoir central, en faisant travailler essentiellement son aviation, sans troupes au sol.

L’espoir changea de camp, le combat changea d’âme, comme disait tonton Victor… Les troupes d’el Assad reprenant le dessus, la construction qataro-arabo-turco-atlantiste tombait à l’eau. Qui plus est, l’Etat Islamique et Al Nosra ayant poussé le bouchon un peu plus loin que ce qui était attendu… il devenait de plus en plus difficile pour les « démocraties » occidentales de faire croire qu’elles étaient du côté du « bien »… et l’on ne peut que constater l’habileté avec laquelle Poutine a réussi à remporter la guerre médiatique en occident.

Pour punir la Russie de son intervention en Syrie, la partie étant perdue, les américains décidèrent de dégommer un avion rempli de citoyens russes, attentat camouflé en acte perpétré par l’EI (et évidemment pour essayer de faire peser l’opinion publique russe contre l’entrée en guerre en Syrie). »

De tous temps le terrorisme d’état a été fomenté et attribué à d’autres (voir Les Dessous DES terrorismes). Ici, ce terrorisme est attribué à l’ensemble des musulmans, autre besoin impérieux de la stratégie sioniste (alors que que ces terroristes n’ont rien de « musulmans »; voir par exemple Les Dessous de l’islamisme : le wahhabisme et Le « wahabo-takfirisme » ; la grande arnaque pour abrutir et dominer). Pour rappel, cet exemple de preuve de l’utilisation /création du terrorisme par manipulation :

Le FBI fabrique de faux complots terroristes. un ancien agent du FBI dénonce les pratiques de l’agence qui stimule, arme et laisse opérer des « terroristes »

Mercenaires non-musulmans terroristes au service de l’occident


Aucun des 50 leaders du Daesh n’est Musulman


Hassan Nasrallah (Hezbollah, résistance libanaise) :
l’Etat Islamique est avant tout Wahhabite,
chaque musulman doit le combattre

Discours du Secrétaire Général du Hezbollah, Sayed Hasan Nasrallah, le 25 octobre 2014, à l’occasion de la commémoration de ‘Ashura, le martyre de l’Imam Hussein. Discours consacré à l’Etat Islamique – VOSTFR

Daech, armée terroriste de l’Occident

« La Syrie de 2011 était un pays financièrement indépendant (pas de dette) – un scandale en soi pour notre oligarchie -, officiellement en état de guerre avec Israël et hostile aux projets gaziers du Qatar sur son territoire.

Conformément au droit d’ingérence planétaire des armées du bien, le petit État rebelle est donc passé dans le viseur du Pentagone car il est notoire que le complexe militaro-industriel, clef de voûte de l’économie américaine, ne vit que de guerres sans fin et de carnages récurrents.

Terrorisme et chaos sont des alternatives low cost au contrôle direct et ils fleurissent là où les interventions occidentales ont détruit les structures étatiques : Afghanistan, Somalie et, pour ce qui nous intéresse aujourd’hui, Libye, Irak et la majeure partie de la Syrie.

La providence veut en outre que le terrorisme produise de toute pièce un remodelage du Proche-Orient conforme aux vœux de Washington de créer un abcès salafiste entre l’Iran et ses alliés arabes.

Les hordes mises en scène de façon hollywoodienne dans le désert syrien ne sortent pas du néant et leurs conquêtes militaires coïncidentes avec les intérêts de l’État profond américain. Daech est la franchise irakienne d’Al-Qaïda, qui fut l’armée arabe de la CIA des années de guerre froide. Al-Nosra qui, Fabius dixit, « fait du bon boulot en Syrie », en est la franchise syrienne.

L’ex-Marine américain Ken O’keeffe expose les dessous du terrorisme actuel à l’occasion des attentats de Paris

Document déclassifié :

Les USA misaient sur l’Etat islamique dès 2012 pour déstabiliser la Syrie Defense Intelligence Agency : « Établir une principauté salafiste en Syrie », et faciliter la naissance d’un État islamique « pour isoler le régime syrien ». Analyse d’un document déclassifié de la DIA

Le lundi 18 mai 2015, le groupe conservateur de surveillance du gouvernement, Judicial Watch, a publié une sélection de documents déclassifiés obtenus après procès contre le Département américain de la Défense et le Département d’État américains. Pendant que les médias grand public se focalisaient sur la gestion par la Maison-Blanche de l’attaque contre le consulat américain à Benghazi, un document circulant à la DIA en 2012 admettait l’existence d’un plan bien plus large (big picture), à savoir qu’un « État islamique » était le bienvenu dans l’est de la Syrie, afin d’influencer les politiques occidentales dans la région.

Voici ce que contient ce document stupéfiant :

« Pour les pays occidentaux, ceux du Golfe, et la Turquie [qui] tous soutiennent l’opposition [syrienne]… la possibilité existe d’établir de façon officielle ou pas une principauté salafiste dans l’est de la Syrie (Hasaka et Der Zor) , et c’est exactement ce que veulent les pouvoirs qui appuient l’opposition, de façon à isoler le régime syrien… »

Le rapport de la DIA, précédemment classifié « SECRET//NOFORN » et daté du 12 août 2012, était bien connu parmi les services de renseignement, dont le Centcom, la CIA, le FBI, la DHA, la NGA, le Département d’État, et bien d’autres encore. (…)


Ben Swann – Reality Check – Le rapport du Pentagone
qui prouve le soutien US aux islamistes

Le 19 novembre 2015, Ben Swann, présentateur de l’émission Reality Check sur la chaîne américaine CBS 46, revient sur la publication en 2012 d’un rapport du Pentagone selon lequel les États-Unis et leurs alliés ont soutenu volontairement les islamistes radicaux pour renverser l’État syrien.

Le Général Desportes au Sénat :
“Daech a été créé par les États-Unis” [2014]

Le général Desportes est un des très grands stratèges militaires français. Attaché militaire près de l’ambassade de France aux États-Unis d’Amérique, puis conseiller défense du Secrétaire général de la défense nationale (SGDN), il fut ensuite directeur du Centre de doctrine et d’emploi des forces (CDEF) jusqu’en juillet 2008. Le général Vincent Desportes prend la tête du Collège interarmées de défense (CID), de 2008 jusqu’à l’été 2010.

Sanctionné en 2010 pour son franc-parler, il quitte l’armée. Il est aujourd’hui professeur associé à Sciences Po et enseigne la stratégie à HEC. Vincent Desportes est aussi codirecteur avec Jean-François Phelizon de la collection « Stratégies & doctrines » aux éditions Economica.

ISRAËL & DAESH

Daesh s’attaque aux ennemis d’Israël, ceci est factuel. Quelle aubaine, pour les sionistes ! Coïncidence ? Certainement pas. Bachar en Syrie est connu pour être antisioniste. La résistance libanaise à l’envahisseur sioniste, le groupe Hezbollah, est classé (par les terroristes sionistes isréliens) sur la liste des « organisations terroristes » classées comme telles par les occidentaux impérialistes…

Daesh s’en prend aux palestiniens, au Hezbollah, aux syriens, mais pas aux sionistes.

Les problèmes au Liban sont survenus depuis la création d’israël

Révélations inédites de l’ancien président du Liban

Lors d’une interview, l’ancien président du Liban, Emile Lahoud, explique l’origine des maux du Liban. Les premiers troubles sont apparus avec la création de l’entité sioniste d’Israël : envers les Palestiniens qu’elle empêche de retourner chez eux et envers la classe politique libanaise qu’elle s’applique à soudoyer. Alors qu’il était président du Liban, Emile Lahoud a mis sur pied une armée nationale, où toutes les confessions sont représentées. C’est d’ailleurs la seule institution libanaise qui, aujourd’hui, fonctionne. Il appelle à constituer, d’urgence, un Parlement libanais sur le modèle de l’armée, c’est-à-dire un Parlement national, dont les membres seront élus à la proportionnelle pour représenter les Libanais de toutes confessions, et surtout pour contrer le plan diabolique d’Israël.


Un général israélien capturé en Irak avoue la collaboration entre l’EI et israel le général Shahak a été capturé par la milice chiite et est toujours détenu en Irak. Ses ravisseurs gardent DESI informés, une organisation européenne de sécurité avec des liens étroits avec Veterans Today. L’article ci-dessus est basé sur les questions que nous avons soumises à ses ravisseurs ce matin. Nous avons également demandé des informations sur les conditions dans lesquelles il est détenu. GD] Dr Haissam Bou a exclusivement confirmé à VT que le général israélien Yussi Elon Shahak, capturé par l’armée populaire irakienne, a avoué pendant l’enquête ceci :

« Il y a une forte coopération entre le Mossad et les hauts commandants militaires de l’EI … les conseillers israéliens aident l’Organisation en élaborant des plans stratégiques et militaires, et en les dirigeant dans le champ de bataille ». » (…)

La capture d’un général a été confirmée par Dr Haissam Bou-Said. Le prisonnier israélien est général de brigade et son matricule militaire est 34356578765Az231434


israel, armée de l’air d’Al-Qaïda

«A chaque fois que l’armée syrienne avance, les chasseurs israéliens procèdent à des attaques, pour affaiblir l’armée», a insisté le président syrien, lors d’une interview avec la revue Foreign Affairs, précisant : «Le régime sioniste protège les terroristes, et il joue, en pratique, le rôle de la force aérienne d’Al-Qaïda».


Israël et al-Qaïda perdent un avion en Syrie

Le 21 août 2015, l’Armée de l’air israélienne a tenté d’ouvrir le passage au sol des troupes d’al-Qaïda et de leurs alliés de l’Armée de l’islam et de l’Armée de la conquête pour prendre la base militaire de Khan Al-Sheih (province de Damas) et celle de Quneitra.

Au cours des combats à Quneitra, la coalition Israël/al-Qaïda a perdu un avion qui a été descendu par l’Armée arabe syrienne.

Depuis 1967 (guerre des Six Jours), le plateau syrien du Golan est illégalement occupé par Israël. La population syrienne a été expulsée à l’exception de 7 500 druzes. Cette occupation est condamnée par le Conseil de sécurité des Nations unies (résolution 242). En 1973, la Syrie tente vainement de le libérer (guerre d’Octobre, dite « guerre du Kippour » dans l’historiographie occidentale). Le Conseil de sécurité instaure alors une zone tampon démilitarisée et une « Force chargée d’observer le désengagement de l’armée israélienne » (résolution 350). En 1981, Tel-Aviv annexe illégalement le Golan. Cette annexion a été condamnée par les Nations unies (résolution 497). Durant la guerre contre la Syrie, Israël fournit une assistance aux jihadistes, les autorisant à se replier dans le Golan et leur accordant un soutien aérien. Le 15 septembre 2014, la Force des Nations unies est contrainte de se retirer et est remplacée par al-Qaïda (Front al-Nosra).

L’Iran et le Hezbollah perçus comme des menaces plus graves que les djihadistes sunnites, selon A. Yadlin.

Israël ouvre ses frontières à des djihadistes d’Al-Qaïda et du Front Al-Nosra engagés dans la guerre civile en Syrie afin de les soigner, a assuré le Wall Street Journal cette semaine.

Le journal américain a indiqué que le Front Al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaïda qui combat actuellement le régime de Bashar el-Assad et le Hezbollah, « n’a pas causé de torts à Israël » depuis que l’organisation terroriste « a pris le contrôle de la zone frontalière » sur le plateau du Golan.

Bien que l’État hébreu considère Al-Qaïda et ses alliés comme des ennemis, ses principales préoccupations sont actuellement dirigées vers l’Iran et ses soutiens comme le Hezbollah, perçus comme des menaces plus significatives dans l’immédiat. Selon le Wall Street Journal, l’attitude d’Israël aurait provoqué des tensions avec les États-Unis, dont l’armée a ciblé à plusieurs reprises des membres d’Al-Qaïda et d’Al-Nosra en Syrie.

Amos Yadlin, ancien chef du Renseignement militaire israélien ayant rejoint l’Union sioniste pour devenir le prochain ministre de la Défense lors des élections du 17 mars prochain, a déclaré que l’Iran et le Hezbollah sont « des menaces bien plus graves que les islamistes radicaux sunnites », rappelant néanmoins qu’ils étaient également des ennemis.

Ban Ki-moon passe aux aveux: «Israël» coopère avec Al-Qaïda

[Reportage] Syrie: L’armée israélienne soigne des blessés civils ou djihadistes syriens. Des images que les TV françaises ne montrent jamais


Qui sont ces « amis » des USA et créateur de Daesh,
dont fait référence le Général Wesley Clark
?

Bassam Tahan évoque bien les dictatures pétromonarchique mais occulte complètement l’implication sioniste.

Le 11 février 2015, Wesley Clark, ancien général des Forces armées des États-Unis annonça sur CNN que Daesh était une création des alliés américains. Mais qui sont ces « amis et alliés » dont fait référence le Général ?


Le Hezbollah détruit une base de Daech en Syrie

« Les combattants du mouvement de résistance libanais Hezbollah ont détruit une base de Daech dans la région montagneuse de Qalamoun, dans l’ouest de la Syrie. Un membre du Hezbollah a confié au journal The Daily Star que les combattants du Hezbollah ont envoyé trois missiles sur la base de Khachaat, qui se trouve à 60 kilomètres au nord-est de la capitale syrienne, Damas.

Les militants takfiristes de Daech et le front al-Nosra avaient attaqué la ville d’Arsal, dans l’est du Liban, en août dernier. Ils avaient notamment tué ou capturé des dizaines de soldats libanais. Trois d’entre eux ont été exécutés depuis. »


Récapitulons : les occidentaux arment, entrainent des groupes affiliés aux terroristes (en Syrie, pour l’endroit le plus connu, ne parlons pas ici de l’Égypte, du Liban, …), ils leurs fournissent « par mégarde » des munitions, ils bombardent les positions syriennes ou irakiennes, au lieu de bombarder l’EI. Et à côté, nous avons la résistance libanaise, le Hezbollah, (considéré par israël comme groupement « terroriste ») qui détruit, lui, les positions terroristes de Daesh. C’est ce qu’on appelle inverser les choses, c’est le Kali yuga. Tout le monde aura cerné que l’ »axe du bien » si cher à Bush, n’est pas celui qu’on pense ?

Bachar Al-Assad remercie le Hezbollah pour leur intervention militaire en Syrie


La Russie

Tout le monde sera d’accord pour dire qu’aujourd’hui la Russie joue un rôle majeur sur la scène internationale (sinon, voir revue de presse #Russie), on peut même dire qu’elle mène (au moins de manière visible) le jeu, aujourd’hui en Syrie, hier en arrière-plan des évènements ukrainiens de 2014.

Et bien je suis tombé sur le passage suivant, tiré d’une prophétie énoncée en 1984, un an après Tchernobyl, lors d’une apparition de la Vierge en Ukraine :

« (…) L’Ukraine est cruciale pour la conversion de la Russie.
L’Ukraine est la clé pour la paix du monde.
Et c’est la Russie qui convertira l’Ouest.
L’étincelle de tout cela viendra de l’Ukraine ».

Cette seule citation devrait à elle-seule susciter la curiosité du lecteur. Nul doute que Jovanovic, s’il rééditait son livre aujourd’hui, ne pourrait pas faire l’impasse sur la concordance actuelle avec les évènements de 2014-2015 autour de la Russie de Poutine, et sa résistance à l’axe du mal américano-sioniste et des pétromonarchies du Golfe

Pour les plus sceptiques, admettons (mais alors admettez aussi) par exemple que cette prophétie n’a jamais été prononcée. Ce texte a tout de même été écrit bien avant la déstabilisation de l’Ukraine initié par le milliardaire mondialiste Soros, avec sa première révolution orange ratée. Et ce texte colle pourtant assez bien à la configuration actuelle.

Il existe d’âpres discussions et théories qui s’affrontent sur internet au sujet de l’implication de Poutine dans le mondialisme actuel (est-il ou non partie prenante du projet mondialiste, ou est-il un grain de sable dans les rouages du « nouvel ordre mondial » ?).

Quoiqu’il en soit, à l’heure actuelle, et peu importe qui il a pu être plus jeune, aujourd’hui il est garant d’un équilibre salutaire face à la catastrophe terroriste générée et entretenue par les euro-atlantistes sionistes. La Russie permet à sa façon de faire prendre conscience à de plus en plus de gens que le soi-disant « axe du bien » est en réalité partie prenante du cataclysme violent existant au Proche-Orient et importé en Europe.

Jean-Loup Izambert est un journaliste d’investigation indépendant et essayiste français.

Qui soutient et finance Daesh en secret
et pourquoi?

« Opposition modérée » :
« J’ai de bonnes relations avec mes frères de Daesh »

« »On n’a pas assez agi contre Daesh en Syrie », nous dit-on. Mais que faut-il entendre par là quand on entend ce que déclare l’une des figures de la tant louée ASL (« Armée Syrienne Libre » selon l’expression en vigueur), popularisée par les médias occidentaux: le colonel Al-Okaïdi.

La prison américaine où est née l’Etat islamique

Les commandants de la prison, les analystes et les soldats, tous étaient d’accord pour dire que Camp Bucca, un centre de détention US en Irak, est l’endroit où l’Etat islamique est né. Les ex-Baassistes ont enseigné aux djihadistes la discipline militaire et l’organisation, les djihadistes ont donné aux ex-baassistes un but supérieur à atteindre. Neuf personnes, aujourd’hui en haut de la hiérarchie de l’EIIL, sont passées par Camp Bucca.

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