Du fluor au quotidien

Publié le par Bernard Gasnot

Du fluor au quotidien
Du fluor au quotidien
Du fluor au quotidien

Brossez-vous bien les dents

Le fluor : bon, ou mauvais ? D’un côté, les gouvernements qui imposent le fluor « pour le bien général », de l’autre, des quantités astronomiques de mises en gardes et autres sonnettes d’alarme. A priori, si le gouvernement nous l’impose, ça mérite déjà que l’on se penche dessus ? (si les gouvernements occidentaux œuvraient pour le bien commun, ça se saurait).

En plus d’être l’un des éléments le plus toxique de la table périodique des éléments, il est avéré qu’il fut utilisé (et l’est très certainement encore) pour « calmer » des populations données dans le cadre du contrôle social. Des politiques communes de fluoration de l’eau et du sel ont été mises en place pour « lutter contre les caries » chez un maximum de gens.

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les autorités sanitaires déconseillent l’utilisation de produits contenant du phénoxyéthanol pour nettoyer les fesses des nourrissons. Malgré l’alerte, des fabricants, même les plus célèbres, persistent à utiliser ce produit chimique controversé »


Il serait bien sûr impossible de tout répertorier. Comprenons simplement que les trust géants du cartel pharmaco chimique sont tous puissants, plus puissants que les gouvernements.

Origine


Le fluor : un déchet industriel L’idée d’introduire du fluor dans l’eau potable est venue de la famille Mellon, aux États-Unis, qui dirige le cartel de l’aluminium ALCOA Les fluorines sont des déchets de l’industrie de l’aluminium et ce sont des agents pollueurs importants des fleuves et des rivières. Elles empoisonnent le sol, les poissons et les animaux. Comme leur traitement aurait coûté une fortune aux industriels de l’aluminium, la famille Mellon manœuvra la situation de telle sorte que ces déchets empoisonnés deviennent non seulement un moyen discret de contrôle humain – ce qui intéresse tous les gouvernements – mais aussi une énorme source de revenus, (avec une marge de profits de 20 000 %……pour ce qui n’est qu’un déchet industriel).

Il y a une trentaine d’années, certaines compagnies, dont principalement l’Aluminum Company of America (ALCOA), étaient aux prises avec un problème épineux. Un des composés naturels de l’aluminium est la cryolithe. Il s’agit d’une roche qui contient à la fois de l’aluminium, du fluor et du sodium. (Sa formule chimique est : Na3 AlF6)

La cryolite est une espèce minérale composée de fluorure double de sodium et d’aluminium, de formule Na₃AlF₆, également noté 3NaF,AlF₃

La cryolithe renferme donc dans sa molécule trois atomes de sodium, un atome d’aluminium et six atomes de fluor. Lorsqu’on veut isoler l’aluminium, on obtient un sel comme résidu, le fluorure de sodium. Il s’agit d’une substance très toxique que l’on ne rencontre pas dans la nature telle quelle. Le fluorure de sodium est donc un produit chimique artificiel. Sa très grande toxicité fait que son commerce est limité. On l’emploie dans la fabrication du poison à rats, comme agent de blanchiment, comme coagulant du caoutchouc, comme fixateur de teintures, etc.

Ces débouchés du fluorure de sodium sont largement insuffisants. Des stocks considérables de ce poison s’accumulaient, d’autant plus que les autorités gouvernementales empêchaient les compagnies de déverser ce poison dans les rivières car les poissons mouraient.

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« Andrew William Mellon était un banquier américain, industriel, philanthrope et collectionneur d’art, qui fut secrétaire du Trésor des États-Unis »

Ne pouvant en vendre suffisamment et ne pouvant s’en débarrasser facilement, il fallait donc trouver un autre débouché pour le fluorure de sodium. Le problème fut soumis, comme c’est la coutume dans l’industrie, à un organisme spécialisé dans la recherche de solutions. On confia donc à la «Mellon Institute» de Pittsburgh le soin de trouver une solution au problème du fluorure de sodium. La «Mellon Institute», fondée en 1911 par Andrew et Richard Mellon est un laboratoire de science appliquée, ouvert à tous les hommes d’affaires américains. Lorsqu’un industriel ou un manufacturier a des problèmes, il s’adresse à l’Institut et emploie un scientiste pour un an. Le travail de ce dernier consiste à améliorer le produit ou encore à y trouver un nouveau débouché

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David rockefeller

Or , à cette époque, le trust de l’aluminium appartenait secrètement à la «Maison Rockefeller»; 25 ans plus tôt il avait appartenu à Andrew Mellon de Pittsburgh; à sa mort, la Maison Rockefeller s’en empara discrètement, niant officiellement toute connexion avec l’Alcoa par l’entreprise de son agent de presse; cependant le «Manual of Industrials» et le rapport annuel du Rockefeller’s Council of Foreign Relations rapportent que le gendre de Andrew Mellon, qui fait partie de la «Maison Rockefeller» possède avec sa femme la plus grosse part des fonds de l’Aluminum Company.

Pour accroître le contrôle de Rockefeller aux assemblées du conseil d’administration de l’Alcoa, Donald K. David, un homme de paille du Rockefeller Institute, avait été nommé un des directeurs.

Les ingénieurs des ventes de Rockefeller découvrirent rapidement que si le fluorure de sodium pouvait être vendu seulement à 1,5 cent la livre, il s’ensuivrait un profit de $15, 000,000 par année pour la compagnie. Aussi l’annonce de Cox fut elle accueillie avec enthousiasme! Aussitôt les grosses têtes du Rockefeller Center se mirent au travail pour préparer une immense campagne de fluoration de l’eau potable des 16,750 municipalités américaines.

Toxicité aigüe et chronique par ingestion :

< 0,05 mg/kg/jour : bénéfique pour les dents (prévention de la carie dentaire) ;

2 mg/jour : risque de fluorose dentaire ;

10 à 40 mg/jour : fluorose du squelette ;

20 à 80 mg/jour : fluorose ankylosante ;

100 mg/jour : retard de croissance ;

125 mg/jour : altération rénale ;

200 à 500 mg/jour : dose létale.

Ceux-là même qui recommandent depuis des décennies le fluor pour la santé dentaire vont être verts. Eh oui, ils se sont encore plantés. N’oubliez pas également l’opération fluor. Des fois, les arguments les plus simples sont les meilleurs. A noter que la revue médicale The Lancet est l’une des plus prestigieuse au monde, il s’agit donc d’une étude sérieuse. Guy Fawkes

Effets neurocomportementaux de la toxicité développementale

Handicaps du développement neurologique, y compris l’autisme, trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité, dyslexie et autres troubles cognitifs affectent des millions d’enfants à travers le monde et certains diagnostics semblent augmenter en fréquence. Les produits chimiques industriels qui endommagent le cerveau en développement sont parmi les causes connues de cette augmentation de la prévalence. En 2006, nous avons fait un examen systématique et identifié cinq produits chimiques industriels neurotoxiques : le plomb, le méthylmercure, les polychlorobiphényles, l’arsenic et le toluène.

Depuis 2006, des études épidémiologiques ont mis en évidence six neurotoxiques supplémentaires: le manganèse, le fluor, le chlorpyrifos, le dichlorodiphényltrichloroéthane (DDT), le tétrachloroéthylène, et les polybromodiphényléthers. Nous postulons que, d’autres neurotoxiques restent à découvrir. Pour contrôler la pandémie de neurotoxicité développementale, nous proposons une stratégie globale de prévention.

Les produits chimiques non testés ne doivent pas être présumés sans danger pour le développement du cerveau et les produits chimiques d’utilisation actuels tous les nouveaux produits chimiques doivent donc être testés pour la neurotoxicité développementale. Pour coordonner ces efforts et accélérer le transfert de la science en matière de prévention, nous proposons la formation urgente d’un nouveau centre d’échange international.

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