dernier document de la Révolution russe

Publié le par Bernard Gasnot

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Revenons sur la révolution russe avec un plus de détails j’en suis désole et triste que mes valeurs communistes puissent etre SALI par des gens sanguinaires (bras armé) avec des banques multinationales de droite dont l’oligarchie Rotschild, Rockefeller

On fit de Lénine de staline de Trotsky des «dictateurs» et le soviet retourna dans les coulisses. Ensuite, on accusa la foule communiste pour leurs crimes contre l’humanité a tout jamais

Lénine, déclara : On ne perdait pas de temps à passer au crible les faits ou à trier les personnes prises dans une rafle lors de ces raids nocturnes… Les prisonniers étaient généralement poussés dans le vieux poste de police à proximité du palais d’Hiver et fusillés». Le meurtre, la torture, les mutilations, les viols, l’incendie et tous les autres attentats à l’honneur et à la pudeur furent les pierres de touche sur lesquelles on fonda la République Socialiste Soviétique. Des millions de citoyens russes moururent. On estime que plus de 12.000.000 d’autres furent condamnés à servir l’État par les Travaux Forcés Seule la mort les en délivrait…

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La révolution russe (c’est-à-dire la première tentative ratée de 1905 et celle victorieuse de 1917) nous est généralement présentée, à l’image de sa grande sœur française ou celles d’Angleterre et d’Amérique, comme le soulèvement du petit peuple (russe) contre la tyrannie bourgeoise, incarnée ici par la famille du Tzar.

Si des ressentiments pouvaient exister, ne nous sont en revanche jamais rapportées les coulisses de l’Histoire, à savoir qui avait intérêt à détrôner le pouvoir en place, avec quels moyens, et pour quelles raisons cachées. C’est à la lumière des faits que l’on peut réellement juger du bien-fondé des événements et de leurs conséquences réelles à long terme sur les bienfaits ou les malheurs des peuples.

C’est en étudiant le Mouvement Révolutionnaire Mondial (M.R.M.) par l’entremise de divers auteurs que les choses s’éclairent. William Guy Carr et son « Des Pions sur l’Échiquier« , Nesta Webster et son « La révolution mondiale, Le complot contre la civilisation« , ou l’ouvrage collectif « 2000 ans de complot contre l’Eglise » ou le synthétique « Synthèse du mouvement révolutionnaire mondial » de Johan Livernette pour commencer, nous permettent de comprendre les coulisses occultées de l’Histoire. Tous ces hommes militaires ont été impliqués dans de complot ourdit par les obligardes puis ont témoignés a leurs risques et périls les extractions commises par le groupes financier Rotschild et Rockefeller et leurs banquiers

Largement financés depuis l’étranger, les révolutionnaires juifs marxites et leninistes étaient déjà massivement présents dans le mouvement de la fin du XIXe siècle qui préparèrent la voie au coup de force d’Octobre. Tout naturellement, ils jouèrent par la suite un rôle essentiel dans la révolution bolchevique de 1917 et la phase de consolidation qui suivit.

Cet ouvrage braque les projecteurs sur un certain nombre d’acteurs de la première heure de cette révolution qui fut particulièrement sanglante et inhumaine. Les hommes et les femmes ici évoqués eurent tous d’importantes responsabilités et jouèrent un rôle, souvent majeur, dans cette très macabre tragédie.

Ils méprisent d’ailleurs une notion aussi triviale que la nationalité… Sitôt que Lénine fut au pouvoir, il commença par faire signe à d’obscurs individus qui se cachaient dans leurs repaires à New-York, Glasgow, Berne ou ailleurs, et il rassembla ainsi les cerveaux dirigeants d’une formidable secte, la plus formidable secte dans le monde. »


Winston Churchill, Discours à la Chambre des Communes du 5 Novembre 1919

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Alexandre I

L’invasion de la Russie par Napoléon en 1812 ébranla profondément le peuple Russe. Le Tsar Alexandre Ier entreprit de restaurer la situation. Dans l’espoir de réaliser l’union dans tout l’Empire Russe, il desserra l’étau des restrictions imposées aux Juifs dans le Secteur de Colonisation dès 1772. Des concessions particulières furent accordées aux artisans et autres professions. On essaya avec détermination de faire travailler les Juifs dans l’agriculture et sous Alexandre Ier on les encouragea à l’assimilation selon le mode de vie Russe.

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Nicolas Ier

Nicolas Ier succéda à Alexandre Ier en 1825. Il était moins décidé à favoriser les Juifs, car il constata avec effroi leurs rapides avancées dans l’économie russe. Son gouvernement vit d’un très mauvais œil la détermination des Juifs à maintenir leur culture à part, de même que leur langue, leur façon de s’habiller… Pour essayer d’assimiler les Juifs dans la société russe, Nicolas 1er rendit obligatoire en 1804 l’école publique aux enfants Juifs. Le Tsar pensait que si l’on pouvait convaincre les jeunes Juifs qu’ils seraient bien accueillis dans la société russe, cela permettrait de dissiper un tant soit peu les malentendus. Son intention était d’effacer l’histoire des persécutions religieuses qu’on enfonçait dans l’esprit des jeunes juifs dès la prime enfance.

Le résultat de l’expérience russe ne fut pas celui que l’on escomptait. L’Instruction des enfants non-Juifs n’était pas obligatoire. Les Juifs devinrent les personnes les plus instruites en Russie . Alexandre II suivit Nicolas Ier sur le trône de Russie en 1855. Benjamin Disraeli qualifiait Alexandre I er de «Prince le plus bienveillant qui régna jamais sur la Russie». Alexandre consacra sa vie à améliorer les conditions de vie des paysans, des classes plus pauvres et des Juifs. En 1861, il affranchit 23.000.000 de serfs. On avait obligé cette classe malheureuse à travailler la terre. Ces serfs étaient quasiment des esclaves. Ils pouvaient être cédés d’un propriétaire à un autre lors des ventes (ou des baux) de propriétés terriennes. De nombreux Juifs, qui avaient tiré avantage de l’instruction obligatoire, s’inscrivirent dans les universités. Il leur était très difficile de trouver un emploi lorsqu’ils sortaient diplômés.

Tout cela est significatif et à mettre en relation avec la destination finale de la Puissance Tsariste qui se termina par le meurtre du Tsar Nicolas II et de toute famille dans la maison d’Ekaterineburg, le 17 Juillet 1918, exécutés par nommé Yorovrest. On changea par la suite le nom d’Ekaterineburg en Sverdlovsk, en honneur du Juif Yakov Sverdlov qui était le Président de la République Soviétique à l’époque des exécutions. On dessina même les symboles des Illuminati sur les murs de la cave de la mort

Afin de réparer cette injustice, Alexandre II décréta que tous les diplômés Juifs auraient la possibilité d’exercer leurs professions dans le gouvernement de la Grande Russie. En 1879, des pharmaciens, des infirmières, des sages-femmes, des dentistes, des distillateurs et des artisans qualifiés, tous juifs, eurent l’autorisation d’exercer leur profession et de résider partout en Russie. Mais les dirigeants révolutionnaires Juifs étaient décidés à poursuivre leur mouvement de Révolution Mondiale Populaire. Leurs groupes terroristes commirent provocations sur provocations, travaillèrent pour s’assurer le soutien d’intellectuels Russes aigris et pour enraciner l’idée de révolution violente dans les esprits de la population ouvrière.

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Le Tzar Alexandre II

En 1866, ils attentèrent une première fois à la vie du Tsar Alexandre II et essayèrent de l’assassiner une deuxième fois en 1879. Les deux attentats échouèrent de façon miraculeuse. Il fut alors décidé, et l’on s’y employa particulièrement, de destituer Alexandre. Son règne bienveillant bouleversait complètement leurs revendications : «on ne pouvait instituer rapidement les réformes nécessaires que par une action révolutionnaire rapide». Les conspirateurs préparèrent le complot suivant contre la vie d’Alexandre II dans la maison de la Juive Hesia Helfman, et le Tsar fut assassiné en 1881.

Pendant que les Forces Révolutionnaires de Russie essayaient de gêner le Gouvernement par tous les moyens, en commettant toutes sortes de provocations dont l’assassinat, le «Pouvoir Occulte» derrière le M.R.M. essaya une fois de plus d’entraîner la Grande-Bretagne dans une guerre contre la Russie, depuis ses Quartiers Généraux d’Angleterre, de Suisse et des États-Unis. Aucun des deux Empires n’aurait pu tirer de profits appréciables d’une telle guerre. Le résultat final aurait été l’affaiblissement des deux Empires sur le plan matériel, et aurait constitué alors une proie très facile pour une action révolutionnaire ultérieure. Dans le numéro d’octobre 1881 du «Dix-neuvième siècle», Goldwyn Smith, professeur d’Histoire Moderne à l’Université d’Oxford, écrivait : «Lorsque j’étais dernièrement en Angleterre, on était au bord de la guerre avec la Russie, ce qui attrait entraîné l’Empire tout entier. Les intérêts Juifs en Europe et leur organe principal, la Presse Juive de Vienne, faisaient leur possible pour nous y pousser»

Voilà une autre illustration qui nous montre comment un professeur d’Histoire peut tomber dans les pièges de l’antisémitisme, piège disposé par les conspirateurs. La majorité des personnes croit en général que tous les Banquiers Internationaux et les Magnats de la Finance sont Juifs. Ils encouragent en fait l’antisémitisme parce qu’ils utilisent tous les «mouvements anti» pour servir leurs intérêts .A propos de la Vienne communiste, on pourra lire « Vienne la Rouge » de l’entre-deux-guerres aux éditions ESR La description du quotidien viennois nous permet de revivre dans l’ancienne capitale d’Empire, ruinée par la Grande Révolution mondiale : c’est l’entre-deux guerres. Le baron Rothschild possède à lui seul sept fois plus de terres que toute la famille impériale: accaparement!. Par ailleurs, le bolchevisme est en plein travail contre l’humanité européenne

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Alexandre III

L’assassinat du «Petit Père» des Russes en 1881 suscita un ressentiment général qui se traduisit par une explosion spontanée de violence envers la population juive dans de nombreux endroits de Russie. Le gouvernement russe promulgua «Les Lois de Mai» qui étaient très sévères car les officiels russes défenseurs de ces lois, prétendirent «que si la politique bienveillante d’Alexandre II ne pouvait satisfaire et réconcilier les Juifs, il serait alors évident que seule la domination absolue de la Russie pourrait les satisfaire». Et de nouveau, la Race Juive tout entière fut punie pour les crimes de quelques dirigeants révolutionnaires patentés.

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Baron Goratsing Ossipovitch Ginzburg

Le 23 Mai 1882, une délégation Juive, conduite par le Baron Ginzberg, rendit visite au nouveau Tsar Alexandre III et protesta officiellement contre les Lois de Mai . Le Tsar promit une enquête approfondie sur la question du conflit entre les factions Juives et non-Juives dans la population de l’Empire. Le 3 Septembre il prononça le discours suivant : «Pendant un certain temps le gouvernement s’est consacré aux Juifs, à leurs problèmes et à leurs relations avec le reste de la population de l’Empire.

Il a constaté les tristes conditions de vie que la conduite des Juifs dans les questions financières avaient imposées à la population chrétienne. Au cours des vingt dernières années,les Juifs ne se sont pas seulement immiscés dans toutes les branches du commerce et des affaires. Ils ont également accaparé une grande partie de la terre par achat ou fermage. A quelques exceptions près, ils ont comme un seul homme, consacré leurs efforts non pas à enrichir ou faire bénéficier le pays, mais à frustrer le peuple russe grâce à leurs ruses.

Les pauvres ont particulièrement souffert de cette conduite qui a provoqué les protestations justifiées du peuple ainsi que des actes de violence envers les Juifs. D’un côté, le gouvernement faisait de son mieux pour supprimer ces troubles et délivrer les Juifs de l’oppression et des massacres ; d’un autre côté, il considérait qu’il était urgent et juste d’adopter des mesures radicales pour mettre fin à l’oppression des Juifs vis-à-vis des autres habitants et pour débarrasser le pays de leurs malversations qui étaient, nous le savons bien, l’origine des agitations anti-Juives.

Ginzberg était le représentant officiel de la Maison Rothschild en Russie

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Lionel Walter Rothschild, 2e baron de Rothschild

Le Gouvernement n’avait pas seulement promulgué les Lois de Mai comme acte de représailles pour l’assassinat du Tsar Alexandre II, mais également parce que les économistes russes avaient averti de façon pressante le Gouvernement que l’économie nationale était en danger de ruine si l’on ne prenait pas des mesures pour réduire les activités illégales des Juifs. Les économistes firent remarquer que les Juifs ne représentaient que 4,2% de la population globale mais s’étaient si bien incrustés dans l’économie russe que la nation se trouvait face à un désastre économique [1]. Ou peut constater la justesse de leurs vues par les actions qui furent prises après que la députation du Baron Ginzberg ait échoué dans sa tentative de faire annuler les Lois de Mai. Les Banquiers Internationaux imposèrent des sanctions économiques contre l’Empire Russe et acculèrent presque la nation à la banqueroute. Ils exercèrent un embargo sur les échanges et le commerce russe. En 1904, après qu’ils eussent entraîné l’Empire Russe dans une guerre désastreuse contre le Japon, la Maison Bancaire Anglaise des Rothschild répudia ses promesses d’aide financière et essaya d’amener l’Empire Russe à la banqueroute, pendant que la Kuhn-Loeb & Co de New-York octroyait au Japon tous les crédits qu’il demandait.

On remarquera que l’histoire ne fait, encore, que se répéter..

L’ «Encyclopedia Britannica», à la page 76 de son tome 2 (édition de 1947) déclare à propos des Lois de Mai : «Les Lois de Mai Russes furent le plus remarquable monument législatif qu’ait réalisé l’antisémitisme moderne… Leur résultat immédiat fut une dépression commerciale ruineuse ressentie par tout l’Empire et qui affecta profondément la confiance en l’économie du pays. Le ministre russe ne savait plus comment faire pour trouver de l’argent et l’on entreprit des négociations avec la Maison Rothschild pour un gros emprunt. Un projet de contrat venait d’être signé lorsqu’on déclara au ministre des Finances que si les persécutions contre les juifs ne prenaient pas fin, la grande maison bancaire se verrait obligée de se désister…

L’antisémitisme qui avait déjà si profondément influencé les politiques nationales européennes imprima ainsi sa marque sur les relations internationales, car ce furent et le besoin pressant du Trésor Russe et la conclusion du traité secret de neutralité mutuelle du Prince Bismarck, qui amenèrent l’Alliance Franco-Russe». De nombreux Juifs orthodoxes étaient navrés du terrorisme impitoyable que pratiquaient leurs compatriotes. Ils savaient qu’on instaurait une politique similaire en France, en Allemagne, en Espagne et en Italie. Les Juifs moins radicaux se tourmentaient, redoutant qu’une poursuite de ce terrorisme entraînât une vague immense d’antisémitisme qui se traduirait par l’extermination de la race Juive. Un Juif allemand, Théodore Herzl, confirma leurs plus grandes craintes en les informant de la politique antisémite de Karl Ritter, et en leur signalant qu’elle se répandait avec rapidité en Allemagne. Il proposa l’organisation d’un Mouvement Juif de retour en Israël sur la requête de Juifs Orthodoxes. Ce fut le commencement du Mouvement Sioniste

Le Mouvement Sioniste fut à son tour contrôlé par les Banquiers Internationaux et utilisé à leur profit. Lire «The Palestine Plot» (Le Complot Palestinien) de B. Jensen

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Vladimir Ilitch Oulianov

– Lenine

Après que le Tsar Alexandre III eût rendu son verdict accusant les Juifs avares d’être la cause des troubles et de la ruine économique de l’Empire, les agents révolutionnaires organisèrent le «Parti Social-Révolutionnaire». On nomma à sa tête un homme tout à fait impitoyable — Gershuni — qui fut l’organisateur des Groupes Terroristes. Un tailleur du nom de Yevno Azev eut la charge de mettre sur pied les «Sections Combattantes». Les dirigeants du Parti Social-Révolutionnaire insistèrent également sur l’importance d’enrôler des Gentils dans le mouvement. Les Gentils qui réussirent aux tests auxquels on les soumit, devinrent membres à part entière. Ce fut cette décision qui amena Alexandre Ulyanov dans le Parti. Avant d’être admis par les dirigeants révolutionnaires comme membre à part entière, on lui ordonna de prendre part au com- plot visant à assassiner le Tsar Alexandre III. L’attentat contre la vie du Tsar échoua et Alexandre Ulyanov fut arrêté, jugé et condamné à mort. Son exécution fut l’origine du dévouement de son plus jeune frère, Vladimir, à la cause révolutionnaire. Vladimir escalada les marches du pouvoir jusqu’à devenir dirigeant du Parti Bolchevik.

Il prit le nom de Lénine et devint par la suite le premier dictateur de l’U.R.S.S.

Entre 1900 et 1906, le Parti Révolutionnaire provoqua de graves troubles dans le inonde du travail et créa de profonds malentendus entre les classes de la société russe. Il exacerba aussi la bigoterie religieuse jusqu’à en faire un «bouillon de culture». On servit ce bouillon à la Russie tout en lui prescrivant de sérieux remèdes qui consistaient en meurtres et assassinats à grande échelle. Le bouillon se répandit sous la forme de la révolution de 1905. La Section Terroriste des Révolutionnaires Sociaux assassina des officiels en 1901, dont le ministre de l’Instruction, Bogolepov. On perpétra cet assassinat afin de prendre en compte le ressentiment Juif vis-à-vis de la clause sur l’instruction dans les Lois de Mai. Cette clause limitait le nombre de Juifs s’inscrivant dans les écoles et les universités subventionnées par l’État, en fonction du pourcentage que représentait la population Juive par rapport à l’ensemble de la population russe. On vota cette mesure parce que les étudiants Juifs avaient envahi les écoles financées par l’État, puis on confia à un groupe de jeunes Juifs qui avaient souffert de la clause sur l’instruction des Lois de Mai (de 1882) — lorsqu’ils étaient enfants — la tâche d’assassiner le ministre de l’Instruction. Ils devaient faire la preuve de leur courage et montrer leur capacité à accomplir leurs devoirs dans la Section Terroriste du Parti Social Révolutionnaire.

L’année suivante, en 1902, le ministre de l’Intérieur — Sipyagin — fut assassiné pour accentuer le ressentiment Juif envers les Lois de Mai qui avaient retourné la poli- tique bienveillante d’Alexandre II et interdit aux Juifs de vivre en dehors de la Zone de Colonisation. Les Juifs qui avaient été expulsés de leurs habitations dans la Grande Russie, lorsqu’ils étaient enfants sous les Lois de Mai, se virent confier cette «exécution». Ils ne commirent aucune faute. En 1903, on assassina Bogdanovitch, Gouverneur d’Ufa ; en 1904, on tua le Premier ministre russe, Vischelev von Plehve. En 1905, la première révolution russe à grande échelle éclata. Le 17 Février on assassina l’oncle du Tsar, le Grand-Duc Serge. En Décembre 1905, le Général Dubrassov élimina les révolutionnaires mais en 1906, la Section Terroriste l’assassinat.

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Après que le Tsar eut accusé les Juifs de la triste situation en Russie, le Baron Ginzberg reçut la mission d’œuvrer pour la destruction de l’Empire Russe.

Pour déclencher la guerre Russo-japonaise, les Rothschild d’Europe feraient mine d’être agréable à la Russie. Ils financeraient la guerre du côté russe pendant que les associés des Rothschild, Kuhn-Lœb & Co de New-York, financeraient secrètement le gouvernement japonais.

On rendrait la défaite russe effective lorsque les Rothschild retireraient leur aide financière au moment où elle serait nécessaire et on créerait le chaos et la confusion dans les forces armées russes en Extrême-Orient par le sabotage des voies de communication et de transport qui traversaient la Sibérie. Ceci conduisit la Marine et l’Armée russe à manquer de ravitaillement et de renforts

C’est alors qu’un officier de la marine russe parti de la Baltique et en route vers Port Arthur en Extrême-Orient, donna l’ordre à ses navires de faire feu sur une flottille de chalutiers britanniques qui péchait dans le «Dogger Bank» en Mer du Nord. Aucune raison valable ne fut apportée pour expliquer cet acte gratuit de cruauté envers une puissance supposée alliée. La réaction de la population, en Angleterre, fut telle que l’on évita la guerre de justesse. C’est à cause de cet incident que de nombreux officiers de la marine britannique et de la marine marchande offrirent leurs services au Japon.

Mon père, le Capitaine F.H. Carr, fut l’un des officiers britanniques qui servirent aux côtés des Japonais en 1904 et 1905. J’ai en ma possession une très belle sculpture en ivoire re- présentant un bûcheron Japonais appréciant une cigarette après son repas. Le gouvernement Japonais fit cadeau de cette pièce de musée à mon père en remerciement des services rendus. Mon père me donna de très précieuses informations quant aux intrigues «dans les coulisses» qui menèrent à la guerre Russo-japonaise

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Jacob Schiff. Issu d’une famille juive rabbinique de Hesse dont la lignée remonte au XIVe siècle, son père était courtier dans la banque Rothschild à Francfort

Les prêts internationaux accordés par Jacob Schiff, de New-York, financèrent le gouvernement japonais. Schiff était l’associé principal de Kuhn-Lœb & Co. Il coopéra avec Sir Ernest Cassels, d’Angleterre et avec les Warburg de Hambourg. Jacob Schiff justifia le financement des Japonais en guerre avec la Russie dans une lettre qu’il écrivit au Comte Witte, émissaire du Tsar, qui assistait aux négociations pour la paix à Portsmouth (E-U.) en 1905 : «Peut-on s’attendre à ce que l’influence du Juif américain sur l’opinion publique s’exerce en faveur du pays qui persécutait systématiquement ses frères de race ?… Si le gouvernement qui vient de se constituer ne réussissait pas à assurer la sécurité et un statut égal dans tout l’Empire vis à vis de la population Juive, alors le moment serait vraiment venu pour les Juifs de Russie de quitter leur patrie inhospitalière. Le problème auquel le monde civilisé devra faire face sera considérable, mais il sera résolu. Vous n’êtes pas seulement un homme d’État prévoyant et clairvoyant, mais aussi un grand économiste ; vous savez très bien que le destin de la Russie et son avenir seront scellés».

On peut encore mieux apprécier l’hypocrisie de Jacob Schiff lorsqu’on sait que depuis 1897 il finançait les terroristes en Russie. En 1904, il participa au financement de la révolution qui éclata en Russie en 1905. Il aida aussi à l’organisation, à l’échelle internationale, du financement de la Révolution russe qui éclata dès 1917, donnant à ses associés et à lui-même leur première occasion de mettre en pratique les théories totalitaires[

François Coty dans Le Figaro du 20 Février 1932 disait : «Les subsides accordes à cette époque aux Nihilistes (de 1905 à 1914) par Jacob Schiff n’étaient en aucun cas des actes de générosité isolée. Une véritable organisation terroriste russe a été constituée aux États-Unis à ses frais dans le but d’assassiner des ministres, des gouverneurs, des chefs de la police, etc.

Les Banquiers Internationaux fomentèrent la Guerre Russo-japonaise afin de créer les conditions souhaitées pour le succès d’un coup d’état révolutionnaire destiné à renverser le pouvoir des Tsars.

Les plans des Banquiers Internationaux furent déjoués lorsque les Mencheviks, dirigés par des Juifs, déclenchèrent de leur propre autorité une révolution en Russie, celle de 1905. Lorsque les Banquiers Internationaux accordèrent leur soutien financier, la révolution échoua au moment même où il semblait qu’elle allait réussir. Les Mencheviks, dirigés par des Juifs, avaient agi de leur propre initiative. Les Banquiers Internationaux décidèrent que Lénine dirigerait «leur» programme révolutionnaire en Russie dès ce moment-là.

Lénine naquit à Simbirsk, ville située sur les rives de la Volga. Il était le fils d’un haut fonctionnaire du Gouvernement qui portait le titre de «Conseiller d’État». Il n’avait pas hérité de ce titre, mais il lui avait été octroyé pour service éminent lorsqu’il était inspecteur scolaire. Lénine reçut une instruction universitaire et put s’occuper de questions juridiques, mais il ne se consacra jamais aux affaires. Des étudiants Juifs l’avaient persuadé qu’il était temps de renverser la puissance des classes privilégiées, les masses devant prendre la direction de leur pays. Au moment où Lénine considérait que «les réformes nécessaires ne pouvaient être mises en place rapidement que par l’action révolutionnaire», son frère fut arrêté par la police et exécuté. On reconnut très vite un intellectuel en Lénine. Il s’était associé aux dirigeants du Parti Révolutionnaire dès l’âge de vingt ans.

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Georgi Plekhanov

Nous avons déclaré précédemment que les opulents et influents prêteurs d’argent internationaux avaient participé au financement et à la direction des activités révolutionnaires dans la Zone de Colonisation. Lénine voulut savoir tout ce qui lui était possible de connaître des hommes qui dirigeaient les nombreux groupes révolutionnaires nationaux unis dans leur but commun de révolution populaire. En 1895, à l’âge de vingt-cinq ans, il s’en alla en Suisse et rejoignit Plekhanov, qui avait fui la Russie afin d’échapper au destin du frère aîné de Lénine, Alexandre. En Suisse, Lénine et Plekhanov, qui étaient des «Gentils», rejoignirent des forces qui ne comprenaient que des Juifs : Vera Zasulich, Léo Deutch, B. Axelrod et Jules Tsederbaum.

Ils constituèrent un mouvement marxiste à l’échelle mondiale qu’ils intitulèrent «Groupe pour l’Emancipation du Travail». Tsederbaum était un jeune homme comme Lénine ; il s’était acquis une réputation de terroriste impitoyable et d’agitateur accompli dans «la Zone de Colonisation». Il changea son nom en celui de Martov et devint le dirigeant des Mencheviks. Lénine dirigea les Bolcheviks en Russie. L’échec de révolution des Mencheviks, en 1905, convainquit Lénine que la seule façon de réussir une révolution, c’était d’organiser un Comité de Direction International qui étudierait d’abord et dirigerait ensuite l’effort révolutionnaire.

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Bibliothèque marxiste.
Le panneau du VIIème Congrès du Komintern avec les portraits de Karl Marx, Friedrich Engels, Lénine et Staline

Lénine mit sur pied le «Komintern», Comité Central de Direction Révolutionnaire International et les Banquiers Internationaux le choisirent comme leur agent au plus haut niveau, en Russie. Lénine avait très sérieusement étudié la Grande Révolution Française de 1789. Lorsqu’il apprit que «Le Pouvoir Occulte» qui avait provoqué la Révolution Française était encore très actif, il décida d’avoir partie liée avec lui. Son plan était de faire croire aux membres du Komintern qu’ils étaient les «Cerveaux» mais aussi d’influencer leurs pensées de façon à leur faire poursuivre les Plans à Longue Echéance des Banquiers Internationaux. Lorsqu’on ne pourrait plus contrôler les dirigeants révolutionnaires, il leur serait alors possible de les liquider. Nous produirons les preuves qui vous démontreront comment cela se fit réellement.

Ayant fixé sa politique, Lénine revint en Russie avec Martov pour organiser sa Campagne de Collecte d’argent, ramassis de chantages, de vols dans les banques, d’extorsions et de toutes sortes de pratiques illégales. Lénine prétendit qu’il était tout à fait logique de prendre l’argent du peuple et de comploter le renversement du gouvernement. Il établit un principe dans son parti : tous les jeunes gens qui aspiraient à en être membres devraient, comme son frère aîné Alexandre, révéler leur courage physique et leur vivacité mentale. Lénine insista sur le fait que chaque stade d’entraînement révolutionnaire de jeunes comprendrait le cambriolage d’une banque, la destruction d’un poste de police et l’élimination d’un traître ou d’un espion. Lénine recommanda également à tous les «dirigeants» révolutionnaires des autres pays de mettre en place une organisation souterraine («Underground»). En discutant de ce sujet et en écrivant à ce propos, Lénine déclara : «Tout ce qui est légal et illégal et qui favorise le mouvement révolutionnaire est justifié». Il avertit toutefois que «le parti légal serait toujours sous le contrôle du parti illégal. Cette pratique est en vigueur aujourd’hui, particulièrement au Canada et aux États-Unis.

Les communistes qui affichent ouvertement leur adhésion au Parti Progressiste Ouvrier prennent bien soin de ne pas être impliqués dans les activités criminelles illégales de l’organisation souterraine du Parti Communiste. Mais «l’appareil» dirige secrètement les opérations et en profite financièrement. C’est une constante que bien peu des premiers dirigeants du communisme étaient issus du prolétariat. La plupart d’entre eux étaient des intellectuels très instruits. En 1895, ils provoquèrent une série de grèves. Quelques-unes se transformèrent avec succès en émeutes. Ils instituèrent ainsi un des principes fondamentaux de la technique révolutionnaire : «transformer un trouble mineur en une émeute et amener les citoyens à lutter physiquement contre la police».

Lénine, Martov et d’autres révolutionnaires furent arrêtés et condamnés à la prison. Lénine purgea sa peine de prison en 1897. Le grand public ne sait généralement pas qu’à ce moment-là en Russie, les délinquants politiques exilés en Sibérie n’étaient pas emprisonnés si l’on n’avait pas la preuve d’un autre délit criminel. En conséquence, Lénine emmena avec lui en exil sa belle jeune femme Juive, et sa mère qui parlait le yiddish. Pendant sa peine d’exil, Lénine touchait chaque mois une allocation de «sept roubles quarante kopecks» du gouvernement russe. C’était juste assez pour payer la chambre et la table, et Lénine travaillait comme comptable afin de gagner un peu plus d’argent. Ce fut au cours de l’exil que Lénine, Martov et un complice du nom de Potresov décidèrent qu’à leur libération ils publieraient un journal dans le but de réunir les cerveaux et les énergies du mouvement révolutionnaire dans sa totalité, car il était à cette époque, divisé en de multiples factions.

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L’«Iskra» – «L’Etincelle»

En février 1900, Lénine avait purgé sa peine d’exil. On lui donna la permission de retourner en Suisse pour effectuer une visite et il rejoignit les autres dirigeants révolutionnaires ainsi que les agents du «Pouvoir Occulte». Ils approuvèrent son idée et on fit paraître l’«Iskra» – «L’Etincelle» -. Le conseil éditorial comprenait parmi les vieux dirigeants révolutionnaires Plekhanov, Zasulich et Axelrod, avec Lénine, Potresov et Martov qui représentaient les jeunes membres. La femme de Lénine était secrétaire du conseil. Trotsky, lui, rejoignit l’équipe éditoriale deux ans plus tard. Pendant un moment, le journal fut imprimé en fait à Munich et le conseil éditorial se rencontrait à Londres L’influence que les Rothschild exerçaient sur les directeurs de la Banque d’Angleterre était considérable. Ces directeurs contrôlaient la politique du gouvernement britannique, ce qui explique que les révolutionnaires ont toujours pu trouver asile en Angleterre lorsqu’ils étaient exclus d’un autre pays. Karl Marx et Engels en sont des exemples

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Rosa Luxembourg

En 1903, on installa le journal à Genève. Les exemplaires étaient passés en contrebande en Russie et dans d’autres pays grâce à «l’organisation souterraine» mise en place par les Francs-Maçons du Grand Orient. Le journal portant le titre d’Iskra», les révolutionnaires qui adhérèrent à la Ligne du Parti définie par le conseil éditorial furent connus sous le nom d’Iskristes». Le journal réclamait la convocation d’un Congrès d’Unification à Bruxelles pour 1903, dans le but de réunir les différents groupes marxistes. Les sociaux-démocrates russes, les sociaux-démocrates polonais de Rosa Luxemburg, le Groupe pour l’Emancipation du Travail et le Groupe Maximaliste y furent représentés.

Dès le mois d’août, la police belge agissait et les délégués partirent pour Londres «en masse». Ce Congrès fut d’une importance historique capitale, car au cours de son déroulement un fossé idéologique se creusa parmi les Iskristes. Lénine devint le dirigeant des Bolcheviks (ou groupe majoritaire) tandis que Martov devenait celui des Mencheviks (ou groupe minoritaire).

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Leon Trotsky

Lorsque les Mencheviks encaissèrent la révolution avortée de 1905 (en Russie), Trotsky fit montre de ses capacités de dirigeant. Il est difficile pour le non-initié de comprendre ce qui brisa la tentative car les révolutionnaires eurent le contrôle de St Petersburg de Janvier à Décembre 1905, et instaurèrent le Soviet de Petersburg. Lénine et de nombreux dirigeants révolutionnaires de haut vol restèrent à l’écart et laissèrent le Parti Menchevik s’occuper de cette révolution.

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Les soldats tirant sur la foule lors du Dimanche rouge (scène fictive tirée d’un film soviétique de 1925)

Lénine était allé à Genève consulter le «Pouvoir Occulte» lorsque la révolution éclata, suite à la tragédie du Dimanche Sanglant de St Petersburg en Janvier 1905. Il ne revint pas en Russie jusqu’en Octobre. On accusa le Tsar d’intolérance pour la tragédie du Dimanche Sanglant, mais ceux qui scrutèrent les événements, trouvèrent de nombreuses preuves qui les convainquirent de la provocation.

L’incident du Dimanche Sanglant avait été concocté par le groupe terroriste dans le dessein d’exacerber la colère et la haine dans le cœur des ouvriers non-Juifs vis-à-vis du Tsar

. L’incident permit aux dirigeants du Mouvement Révolutionnaire de s’assurer le soutien de milliers d’hommes et de femmes non-Juifs qui, jusqu’à ce triste jour, étaient restés fidèles au Tsar et parlaient de lui comme le «Petit Père».

Le Dimanche Sanglant a une grande importance historique. En Janvier 1905, la Russie était en guerre avec le Japon. Les transports par voie ferrée passant au travers des grandes étendues russes d’Ouest en Est avaient été sabotés. Les renforts et les ravitaillements n’avaient pu rejoindre le front de l’Est pour cause de sabotage. Le 2 Janvier, le peuple russe fut stupéfait d’apprendre par les journaux que Port Arthur était tombé aux mains des Japonais. Ils avaient perdu la guerre contre ce qu’ils appelaient une puissance de deuxième ordre.

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Guerre russo-japonaise : la reddition de Port Arthur

Le Gouvernement impérial, dans sa tentative de se concilier les faveurs de la population ouvrière, avait adopté une politique d’encouragement dans la constitution de syndicats légaux. Les révolutionnaires connus devaient en être exclus. Un prêtre orthodoxe russe, le Père Gapon, fut un des dirigeants les plus actifs dans la constitution de Syndicats Légaux. Les réformes libérales qu’avaient obtenues des citoyens non-radicaux ne plurent pas aux dirigeants du parti révolutionnaire qui proclamaient «qu’on ne pouvait obtenir des réformes nécessaires que par la révolution et rapidement».

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Gueorgui Apollonovitch Gapone

Le Père Gapon s’était acquis une telle respectabilité que le Tsar et ses ministres le reçurent chaque fois qu’il souhaitait les entretenir d’un grave problème lié aux conditions de travail.

Le 2 janvier, lorsque les mauvaises nouvelles de la guerre se répandirent dans tout l’Empire, des émeutes ouvrières organisées éclatèrent dans les énormes usines Putilov à St Petersburg. On appela à la grève mais du fait de la situation générale, le Père Gapon déclara qu’il réglerait ces questions conflictuelles en en appelant directement au Tsar. La proposition toucha la majorité des ouvriers, mais les «radicaux» s’y opposèrent. Toutefois, le dimanche après-midi du 22 Janvier 1905, des milliers d’ouvriers, leurs femmes et leurs enfants, formèrent un cortège pour accompagner le Père Gapon aux portes du Palais. Selon des rapports authentiques, le cortège était tout à fait en bon ordre. Des pétitionnaires portaient des bannières faites à la hâte exprimant leur fidélité au «Petit Père». Aux portes du Palais, sans le moindre avertissement, une décharge foudroyante de fusils et de mitrailleuses dispersa le cortège dans la plus grande confusion. Des centaines d’ouvriers et leurs familles furent massacrées. La place qui faisait face au Palais se transforma en une place de chaos et d’agonie. Le 22 Janvier 1905 est connu depuis cet événement sous le nom de «Dimanche Sanglant». Nicolas II était-il responsable ? C’est un fait établi qu’il n’était pas au Palais ou dans la ville à ce moment-là. On sait également qu’un officier de la garde ordonna aux troupes de faire feu. Il est tout à fait possible qu’il fut une «Cellule» véhiculant la politique terroriste de ses supérieurs. Cet acte fut l’«étincelle» qui mit le feu à l’amadou» fourni par les dirigeants révolutionnaires. La «flamme» d’une révolution à grande échelle suivit.

Sans prendre en considération le fait de savoir qui était responsable de cet acte, nous devons constater que des dizaines de milliers d’ouvriers de l’industrie autrefois fidèles, rejoignirent le Parti Révolutionnaire Socialiste et le mouvement s’étendit aux autres villes. Le Tsar essaya de refouler cette vague de rébellion. Dès Février il ordonna de procéder à une enquête sur les événements de St Petersburg, qu’il confia à la Commission Chidlovsky. En Août, il annonça qu’on avait pris des dispositions pour l’établissement d’un Corps Législatif représentatif démocratique qui devint la Douma. Il amnistia tous les délinquants politiques et ce fut au cours de cette amnistie que Lénine et ses dirigeants Bolcheviks revinrent de Suisse au mois d’Octobre, ainsi que d’autres pays étrangers. Mais rien de ce que fit le Tsar ne put entraver la marée révolutionnaire.

Le 20 Octobre 1905, l’Union des Chemins de Fer Russes tenue par les Mencheviks se mit en grève. Le 25 Octobre, des grèves générales efficaces eurent lieu à Moscou, Smolensk, Koursk ainsi que dans d’autres villes. Le 26 Octobre, le Soviet Révolutionnaire de Petersburg fut constitué et assuma les fonctions de gouvernement national. Le gouvernement soviétique était dominé par la faction Menchevik du Parti Travailliste Social-Démocratique Russe bien que le Parti Social-Révolutionnaire y eut une représentation. Le premier Président fut le Menchevik Zborovisk qui fut rapidement rem- placé par Georgi Nosar. A son tour, il fut supplanté par Lev Trotsky qui en devint Président le 9 Décembre 1905. Le 16 Décembre, un groupe de militaires arrêta Trotsky et trois cents membres du Gouvernement soviétique. Il n’y eut pas un seul Bolchevik «important» parmi les personnes arrêtées, ce qui prouve que Lénine avait pris ses dispositions, grâce à la protection des Puissances Secrètes qui agissaient derrière le Gouvernement.

La révolution n’était pas tout à fait terminée. Le 20 Décembre, un Juif du nom de Parvus assuma la direction du nouvel exécutif soviétique. Il appela à la grève générale à St Petersburg et 90.000 ouvriers y répondirent. Le jour suivant 150.000 ouvriers firent grève à Moscou. Des insurrections éclatèrent à Chita, Kansk et Rostov. Le 30 Décembre, les troupes et des personnalités du gouvernement qui étaient restées fidèles au Tsar reprirent le contrôle d’une façon quasi «miraculeuse» et mirent fin à la révolution

Si Lénine et les Banquiers Internationaux étaient intervenus en faveur des Mencheviks à ce moment-là, rien n’aurait pu entraver les actions révolutionnaires. Il n’y a aucune explication an fait qu’ils permirent aux forces gouvernementales de reprendre le contrôle à moins qu’ils n’aient eu des plans secrets qu’ils ne pouvaient mettre à exécution à ce moment-là. La seule conclusion qui semble être logique, c’est qu’ils se préparaient à la Première Guerre mondiale et souhaitaient que la Russie restât une monarchie jusqu’à ce que la guerre éclate. Les événements qui se produisirent indiquèrent que c’était la leur plan

Le Tsar Nicolas II tint ses promesses. La Douma fut constituée et un parlement fut élu. En 1907, le Cinquième Congrès du Parti Ouvrier Social-Démocratique Russe eut lieu à Londres. Lénine représentait le Parti Bolchevik avec 91 délégués ; les Mencheviks dirigés par Martov avaient 89 délégués ; Rosa Luxemburg dirigeait ses Démocrates-Sociaux Polonais et amenait 44 délégués ; le «Bund» Juif dirigé par Rafaël Abramovitch en avait 55 ; les Démocrates Sociaux Lettons dirigés par le camarade Herman (Danishevsky) complétaient la panoplie. Il y avait en tout 312 délégués dont 116 étaient ou avaient été ouvriers On avait convoqué ce Congrès pour tirer toutes les leçons de l’échec de 1905. Lénine imputa l’échec du coup d’état révolutionnaire au manque de coopération entre les Mencheviks et les dirigeants des autres groupes. Il déclara aux 312 délégués que les Mencheviks en avaient assumé toute la direction et que toutes les occasions avaient généralement tourné au gâchis. Il en appela à une unité de politique et d’action Mais il déclara que l’on devrait préparer l’action révolutionnaire bien à l’avance et qu’il fallait jouer, en en tirant tous les avantages, sur l’élément de surprise.

Martov accusa Lénine de ne pas avoir accordé à l’effort révolutionnaire Menchevik tout le soutien qu’il aurait dû lui donner. Il l’accusa particulièrement d’avoir cessé toute aide financière. Martov et les autres groupes Juifs dirigés par Rosa Luxemburg et Abramovich étaient irrités par le fait que Lénine avait pu financer la présence du plus grand nombre de délégués. Ils l’accusèrent de financer son Parti Bolchevik grâce aux enlèvements, aux contrefaçons, aux vols et ils le réprimandèrent pour avoir refusé de contribuer dans une proportion équitable, grâce à ses ressources mal acquises, au financement de l’organisation centrale fédérative. Un long rire secoua l’assistance lorsqu’un des Mencheviks accusa Lénine d’avoir marié un de ses agents les plus élevés à une riche veuve pour alimenter la trésorerie de son parti. On allègue que Lénine aurait reconnu avoir agi de la sorte pour le bien de la cause. Il soutint que le camarade qu’il avait marié à une veuve était «un représentant sain et fort de l’humanité». Il pensait que la veuve avait acquis une bonne valeur pour son argent. Ce fut à ce Congrès qu’un personnage de moindre importance, à cette époque — Staline — se lia avec Lénine.

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Staline en exile en 1915

Le Congrès décida finalement que les dirigeants des différents groupes révolutionnaires devraient coopérer plus étroitement et choisit le groupe qui éditerait leurs journaux révolutionnaires. Ils mirent fortement l’accent sur la propagande et décidèrent à ce congrès de réorganiser complètement leur machine de propagande : les publications devraient adopter la même politique éditoriale, celle de la «Ligne du Parti». En 1908, les Bolcheviks entamèrent la publication du «Proletarie». Lénine, Dubrovinsky, Zinoviev et Kamenev en étaient les rédacteurs en chef. Les Mencheviks publièrent «Golos Sotsial-Demokrata». Plekhanov, Axelrod, Martov, Dan et Martynov (Pikel) en étaient les rédacteurs-en-chef. Tous les rédacteurs-en-chef étaient Juifs sauf Lénine et Plekhanov. Trotsky fit sortir une publication semi-indépendante : « Vienna Pravda». En 1909, Lénine obtint le soutien inconditionnel de deux dirigeants Juifs, Zinoviev et Kamenev. Ils constituèrent «La Troïka» et cette amitié dura jusqu’à la mort de Lénine en 1924. Après le Cinquième Congrès du Parti Ouvrier des Sociaux-Démocrates Russes qui se tint à Londres en 1907, Lénine voulut savoir si son nouveau disciple nommé Staline était courageux et digne de confiance. Il souhaitait également convaincre les dirigeants des autres groupes révolutionnaires qu’il était financièrement indépendant.

Afin de mener à bon terme son double dessein, il instruisit Staline en vue du Cambriolage de la Banque de Tiflis. Staline s’adjoignit pour complice l’Arménien Pretroyan qui changea par la suite son nom en celui de Kemp. Ils apprirent que la Banque allait transférer une importante somme d’argent par transport en commun. Ils attirèrent le véhicule dans une embuscade et Petroyan lança une bombe. Le véhicule et les passagers furent pulvérisés sauf la solide cassette qui contenait l’argent liquide : 250.000 roubles. Une trentaine de personnes y perdirent la vie et le butin revint à Lénine. Staline avait prouvé qu’il était un dirigeant potentiel. Les Bolcheviks rencontrèrent des difficultés pour utiliser les roubles volés au profit du Parti, car une bonne part de l’argent consistait en billets de .500 roubles. Lénine conçut alors l’idée de distribuer les billets de 500 roubles aux Bolcheviks dignes de confiance présents dans différents pays étrangers. On leur donna pour instruction de se débarrasser d’autant d’argent qu’ils le pourraient à une date fixée. Cette instruction fut exécutée mais deux des agents de Lénine rencontrèrent la police au cours de la transaction. L’un d’entre eux était Olga Arvich qui épousa par la suite Zinoviev,

le grand ami de Lénine. L’autre était Meyer Wallach dont le véritable nom était Finkelstein qui changea de nouveau son nom par la suite en celui de Maxime Litvinov et fut connu dans le monde entier en tant que Commissaire des Affaires Etrangères de Staline de 1930 à 1939 [1].

Ce «gangster» joua un rôle important dans les affaires internationales en Angleterre et en Allemagne, à la Société des Nations et aux Nations Unies, jusqu’à sa mort

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Piotr Arkadievitch Stolypine

La Révolution de 1905 terminée, le Tsar Nicolas II entreprit de faire des. Réformes nombreuses et radicales, entre autres de transformer la monarchie absolue Russe en Monarchie Constitutionnelle à l’image de la monarchie britannique. Dès que la Douma commença à fonctionner, le Premier ministre Peter Arkadyevich Stolypine s’avéra grand réformiste. Il domina la politique russe et fit le Projet de «Constitution Stolypine» qui garantissait les droits civils aux paysans qui représentaient alors dans les 85% de la population Russe. Ses réformes agraires accordaient une aide financière aux paysans de façon à ce qu’ils pussent acheter leurs propres fermes. Son idée était que la solution logique pour contrecarrer ceux qui recommandaient un mode de vie collectif, devait encourager la propriété individuelle. Mais les dirigeants révolutionnaires voulaient usurper le pouvoir politique et économique. Ils ne furent pas du tout satisfaits des réformes.

En 1906, le Groupe Terroriste essaya d’assassiner Stolypine en détruisant sa maison au moyen d’une bombe. On fomenta de nombreux complots afin de supprimer le Premier ministre le plus progressiste que les Russes pouvaient espérer. Par une sombre nuit de Septembre 1911, le Grand Emancipateur fut mortellement blessé d’un coup de feu alors qu’il assistait à une représentation de gala au théâtre de Kiev. L’assassin était un homme de loi Juif, un certain Mordecai Bogrov.

En 1907, les Banquiers Internationaux organisèrent la panique de Wall Street pour se rembourser de l’argent dépensé lors des guerres et des révolutions russes. Ils étaient également en train de financer les stades préliminaires de la révolution chinoise qui éclata en 1911. De nombreuses réformes parmi celles qui furent proposées par Stolypine furent poursuivies après sa mort.

En 1912, une loi sur les assurances dans l’industrie donna aux ouvriers de ce secteur des indemnités en cas de maladie et d’accident, les remboursant aux deux tiers pour la maladie et aux trois quarts pour les accidents. On donna pour la première fois depuis qu’on les imprimait un statut légal aux journaux des partis révolutionnaires, et on développa les écoles publiques. On révisa les lois sur les élections afin d’assurer un gouvernement plus représentatif.

Et en 1913, le gouvernement du Tsar accorda une amnistie générale à tous les prisonniers politiques. Dès qu’ils furent sortis de prison, ils recommencèrent à comploter avec une énergie décuplée le renversement du gouvernement russe. Les terroristes recommandèrent l’élimination de la famille impériale. Mais les réformes avaient séduit la grande majorité du peuple russe. La Révolution ressemblait, à ce moment-là, à une voie sans issue.

Les dirigeants du Mouvement Révolutionnaire décidèrent qu’ils accorderaient provisoirement un sursis à la Russie. Ils concentrèrent leurs efforts sur les autres pays ; le Portugal et l’Espagne se signalèrent à leur attention.

A la suite du Brouillard Rouge créé par la Propagande Communiste et d’une campagne d’«Infamies» organisée et menée en Russie comme cela l’avait été en France et en Angleterre avant les révolutions dont elles furent le théâtre, il était difficile de ne pas croire que les Tsars et les Nobles russes n’étaient rien d’autre que de grands monstres barbus dont l’activité principale consistait à réduire les paysans en esclavage, à violer leurs jeunes femmes et à embrocher les jeunes enfants à la pointe de leurs épées en galopant à travers les villages… Afin de prouver que le dernier des Tsars était un réformiste, nous citerons Bertram Wolfe, anti-tsariste et pré-révolutionnaire notoire. Wolfe déclare à la page 360 de son livre : «Three who made a Révolution» (Trois qui firent une Révolution) : «Entre 1907 et 1914, au moment des lois de réforme agraire de Stolypine, 2.000.000 de paysans et leurs familles s’en allèrent des villages «MIR» et devinrent propriétaires individuels.

Tout au long de la guerre (1914-1917) le mouvement s’étendit, si bien qu’au 1er Janvier 1916, 6.200.000 familles de paysans sur environ 16.000.000, qui étaient devenues éligibles, sollicitèrent une séparation. Lénine comprit qu’il s’agissait d’une course contre la montre entre les réformes de Stolypine et le prochain soulèvement révolutionnaire. Si le soulèvement devait être remis à plus tard, pour une vingtaine d’années, les nouvelles mesures agraires transformeraient la campagne qui ne pourrait devenir une force révolutionnaire. Lénine cerna de près le problème comme en fait foi la révélation suivante : en 1917 lorsqu’il demanda aux paysans de prendre la terre, ils en possédaient déjà plus des trois-quarts».

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Raspoutine

Il est malheureusement vrai que Raspoutine exerça une influence maléfique sur certains hommes et sur certaines femmes à la Cour Impériale de Russie. Je sais, grâce à des dames attachées à la Cour, à cette époque, que Raspoutine exerçait une influence terrible sur l’Impératrice, car son jeune fils souffrait d’hémophilie et il était la seule personne qui pouvait arrêter les saignements. Or, Raspoutine avait certainement des pouvoirs mesmériques (c’est à dire hypnotiques) qui ne sont pas rares chez certains sujets russes. Il avait la faculté d’amener l’Impératrice sous son influence, non pas à la manière d’un amant, mais dans le but d’obliger le Tsar à accomplir ce qu’il voulait qu’il fit. Il n’est pas exagéré de dire que Raspoutine, grâce au pouvoir qu’il exerçait sur le Tsar par le biais de l’Impératrice, dirigeait en fait la Russie à la consternation du peuple russe. Il est également vrai que Raspoutine introduisit dans les Cercles de la Cour, des hommes et des femmes qui pratiquaient les rites païens dont on usait secrètement au Palais Royal avant qu’éclata la Révolution Française en 1789. Ces orgies rituelles reposaient sur la prétention ridicule que le peuple ne pouvait être sauvé tant qu’ils n’auraient pas sondé les bas-fonds de la dégradation dans le péché.

Il introduisit des subversifs jusque dans la maison du Tsar et ces hommes obtinrent des renseignements qui permirent à leurs maîtres de faire chanter de nombreuses personnes influentes et de leur imposer leur volonté. Raspoutine faisait sans aucun doute partie des Illuminati et de la Synagogue de Satan.

En janvier 1910, dix-neuf dirigeants du Mouvement Révolutionnaire Mondial se rencontrèrent à Londres. Cette réunion est connue sous le nom de «Plénum de Janvier du Comité Central». On y discuta des différents moyens d’arriver à une plus grande unité. De nouveau on insista auprès de Lénine pour qu’il abandonne sa politique d’indépendance financière. Il répondit en brûlant les derniers billets de banque de cinq cents roubles qui provenaient du cambriolage de la banque de Tiflis. Lénine était convaincu qu’il était presque impossible d’encaisser les billets sans se faire prendre par la police. Le Plénum décida de faire du journal «Sotsial Demokrata» la publication officielle du Parti et les Bolcheviks nommèrent Lénine, Zinoviev et les Mencheviks Martov et Dan rédacteurs-en-chef. Kamenev se vit assigner la tâche d’assister Trotsky dans l’édition de la «Vienna Pravda». Le Plénum discuta également de la tactique que devait adopter le mouvement révolutionnaire mondial.

Les délégués considérèrent les répercussions possibles qui pourraient résulter de certains assassinats politiques que l’on projetait. La politique du Parti était mise en place et on donna l’ordre au Comité Central de préparer les Temples et les Loges du Grand Orient pour l’action. Les membres devaient faire un actif prosélytisme pour leur idéologie révolutionnaire et athée. La ligne du Parti était d’unifier tous les groupuscules révolutionnaires dans le dessein de provoquer une guerre entre tous les grands pays capitalistes : les terrifiantes pertes endurées, les impositions énormes et les malheurs subis par les populations feraient que la majorité de la classe ouvrière réagirait favorablement à l’éventualité d’une révolution qui mettrait fin aux guerres. Une fois que tous les pays seraient Soviétisés, les Puissances Secrètes seraient en mesure de constituer une Dictature Totalitaire et n’auraient plus besoin de cacher leur identité

il est possible que Lénine ait connu les visées secrètes et les ambitions des Illuminati qui modelaient l’action révolutionnaire pour qu’elle s’adapte à leurs desseins.

Ce n’est pas une surprise si, aujourd’hui, tous les pays démocratiques sont dirigés par des gouvernements socialistes. Seuls, en effet, des gouvernements dits «de gauche» pouvaient, avec la complicité bienveillante des forces dites «de droite», appliquer une politique ultra-libérale en vue d’aboutir, in fine, à l’instauration du mondialisme qui n’est rien d’autre que le totalitarisme/communisme. Cette politique ultra-libérale, appliquée par des gouvernements «de gauche», et le plan qui en est à l’origine, font l’objet d’une explication détaillée dans l’ouvrage Maitreya

Les dirigeants révolutionnaires devaient organiser leurs réseaux souterrains dans tous les pays de façon à être prêts à accaparer le système politique et l’économie de leur nation. Les Banquiers Internationaux devaient étendre les ramifications de leurs réseaux d’influence dans le monde entier. Nous avons montré que Lénine était devenu actif dans les cercles révolutionnaires en 1894 et qu’il avait décidé d’avoir partie liée avec les Banquiers Internationaux car il doutait de la capacité des hommes qui dirigeaient les partis révolutionnaires nationaux — à dominance Juive — à consolider les victoires acquises. Avec ces déclarations en mémoire, il est nécessaire de passer en revue les événements révolutionnaires qui se sont déroulés de 1895 à 1917.

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Élisabeth Amélie Eugénie de Wittelsbach, par son mariage, impératrice d’Autriche et reine de Hongrie, née en 1837 à Munich, morte assassinée le 10 septembre 1898 à Genève.
Universellement connue sous son surnom « Sissi », grâce aux films d’Ernst Marischka.

On assassina l’Impératrice d’Autriche en 1898 (Sissi) ; le Roi Humbert d’Italie en 1900 ; le Président McKinley en 1901 ; le Grand-Duc Serge de Russie en 1905 ; le Roi et le Prince de la Couronne de Portugal en 1908. Afin de prouver que les Illuminati, qui agissaient par le biais des Francs-Maçons du Grand Orient, étaient responsables de ces assassinats politiques, nous livrons les faits suivants : Les dirigeants du Mouvement Révolutionnaire Mondial qui se rencontrèrent à Genève en Suisse, pensèrent qu’il était utile de renverser le Roi Carlos de Portugal de façon à ce qu’ils établissent une République dans ce pays et en 1907, ils donnèrent l’ordre de l’assassiner.

En Décembre de cette année-la, Magalhaes Lima, Grand Maître du Grand Orient du Portugal vint à Paris pour faire des conférences dans les Loges Maçonniques. Son sujet était «Portugal: le renversement de la Monarchie et la nécessité d’une forme républicaine de gouvernement». Quelques semaines plus tard, le Roi Carlos et son fils, le Prince de la Couronne, étaient assassinés. Les Francs-Maçons du continent se vantèrent de ce succès. Furnemont, Grand Orateur du Grand Orient de Belgique déclara le 12 Février 1911 :

« Vous rappelez-vous du profond sentiment de fierté que nous ressentîmes tous lors de la brève annonce de la Révolution Portugaise ? En quelques heures le trône avait été abattu, le peuple triomphait, et la république était proclamée. Pour le non-initié, ce fut un éclair dans un ciel limpide… mais nous, mes frères; nous avons compris. Nous savions la merveilleuse organisation de nos frères Portugais, leur zèle et leur travail incessants. Nous possédions le secret de ce glorieux événement».

Les dirigeants du Mouvement Révolutionnaire Mondial et les Hauts Gradés de la Franc-Maçonnerie continentale se rencontrèrent en Suisse en 1912. Ce fut au cours de cette réunion qu’ils prirent la décision d’assassiner l’Archiduc François-Ferdinand afin de provoquer la Première Guerre Mondiale.

La date réelle à laquelle on devait commettre le crime fut laissée en suspens parce que les conspirateurs, qui opéraient de sang-froid, considérèrent que le moment opportun pour ce meurtre n’était pas encore venu, et ne fournirait pas le maximum de répercussions politiques. Le 5 Septembre 1912, la «Revue Internationale des Sociétés Secrètes», éditée par Mgr Jouin, publia les passages suivants aux pages 787-788 : «Peut-être la lumière se fera-t-elle un jour sur cette parole d’un haut franc-maçon suisse au sujet de l’héritier du trône d’Autriche : «L’Archiduc est un homme remarquable. C’est dommage qu’il soit condamné. Il mourra sur les marches du trône».»

La lumière sur ces mots, on la fit au procès des assassins qui tuèrent l’héritier du trône d’Autriche et sa femme, le 28 Juin 1914. Cet acte de violence commis à Sarajevo fut l’étincelle qui mit le feu à la Première Guerre Mondiale. Les notes sténographiques de Pharos, prises au Procès Militaire sont un document des plus éclairants. Elles fournissent des preuves précises établissant que

les Banquiers Internationaux avaient manipulé les Loges du Grand Orient afin de provoquer la Première Guerre Mondiale comme ils les avaient manipulés en 1787-1789, afin de provoquer la Révolution Française.

Le 12 Octobre 1914, le président de la cour militaire interrogea Cabrinovic, le terroriste qui avait lancé la première bombe dans la voiture de l’Archiduc. Le président : «Dites-m’en plus au sujet des motifs. Avez-vous su avant l’attentat, que Tankovic et Ciganovic étaient Francs-Maçons ? Le fait que vous et eux étiez Francs-Maçons a-t-il eu une influence sur votre décision ?» Cabrinovic : «Oui». Le président : «Avez-vous reçu d’eux la mission d’exécuter l’Archiduc ?» Cabrinovic : «Je n’ai reçu de personne la mission de perpétrer l’assassinat. La Franc-Maçonnerie a à y voir parce qu’elle a renforcé mon intention. En Franc-Maçonnerie, il est permis de tuer. Ciganovic m’a dit que les Francs-Maçons avaient condamné l’Archiduc François-Ferdinand à mort plus d’une année auparavant».

Ajoutons à cette évidence, le témoignage du Comte Czerin, ami intime de l’Archiduc qui écrit dans son livre «Guerre Mondiale» que «L’Archiduc savait très bien que le risque d’un attentat à sa vie était imminent. Une année avant la guerre il m’avait informé que les Francs-Maçons l’avaient condamné à mort. Après avoir réussi à provoquer une Guerre Mondiale, les dirigeants du Mouvement Révolutionnaire Mondial agitèrent le fait même pour convaincre les ouvriers de l’industrie et les soldats que la guerre était une guerre capitaliste. Ils ne cessèrent de faire de l’agitation et critiquèrent tout ce qu’il était possible de critiquer. Ils accusèrent les différents gouvernements de tout ce qui tournait mal. Les «Capitalistes» Internationaux étaient manipulés par les Illuminati qui restaient discrètement à l’arrière-plan, à l’abri de toute suspicion et de tout risque

La Russie, venant à peine d’émerger de sa guerre désastreuse contre le Japon, quelques années auparavant, il fut relativement simple aux agitateurs patentés qu’étaient les Mencheviks de créer une atmosphère de doute, de suspicion et d’inquiétude dans les esprits des ouvriers russes et finalement des troupes, en 1914-1916. En Janvier 1917, les Armées Impériales Russes avaient perdu pratiquement 3.000.000 d’hommes ; le meilleur de la Russie avait disparu. Lénine et Martov étaient en Suisse, terrain neutre sur lequel tous les complots internationaux sont ourdis. Trotsky était en train d’aguerrir les centaines de révolutionnaires ex-Russes qui avaient trouvé refuge aux États-Unis. Il était particulièrement actif dans l’«East Side» de New-York

Tankovic et Ciganovic étaient des Francs-Maçons de plus haut grade que Cabrinovic. Il a été antérieurement déclaré au procès que Ciganovic avait dit à Cabrinovic que les Francs- Maçons ne pourraient trouver des hommes pour exécuter l’Archiduc

C’était certainement une guerre capitaliste mais les ouvriers ne réalisèrent pas qui était derrière. Ce fut par la propagande mise en œuvre par la presse que les Banquiers Internationaux contrôlaient chaque pays du monde.

Des membres importants de la police et des débats au Congrès ont montré que ces entrées illégales ont lieu même aujourd’hui dans des proportions toujours plus importantes. Les nervis de l’«Underground» trouvèrent également des facilités d’accès au Canada. Le danger réside dans le fait que l’«Underworld» et l’«Underground» révolutionnaire sont reliés entre eux. L’un n’aurait jamais pu survivre sans l’autre et les hommes qui sont la «Puissance Secrète» manipulent les deux. Les Seigneurs de la Guerre Aryens ont utilisé la Mafia, les Magnats de la Finance Internationale et les terroristes Juifs. Ceci explique les guerres de «gangs»

Les dirigeants Mencheviks amenèrent leur politique subversive en Russie et leur premier objectif fut de renverser le pouvoir des Tsars. L’occasion arriva en Janvier 1917. Des sabotages savamment exécutés dans les systèmes de communication, au Ministère des Transports et au Ministère du Ravitaillement, provoquèrent une sérieuse pénurie de vivres à St Petersburg. Ces exactions eurent lieu à un moment où la population s’était accrue démesurément du fait de l’affluence dans la ville d’ouvriers de l’industrie dont on avait besoin pour l’effort de guerre. Février 1917 fut un mauvais mois : on introduisit le rationnement de la nourriture. Le 5 Mars, le malaise général était évident. Les queues devant les boulangeries grossissaient. Le 6 Mars, les rues se remplirent de chômeurs et des troupes Cosaques arrivèrent dans la ville. Le Tsar visitait encore les troupes au front

Le 7 Mars, les dirigeants Juifs du Parti Menchevik rassemblèrent les femmes pour qu’elles manifestent dans la rue et protestent contre le manque de pain Le 8 Mars, les femmes organisèrent une manifestation. Les dirigeants révolutionnaires les prirent alors en main. Des groupes choisis conduisirent des manifestations de diversion. Des bandes apparurent ici et la, chantant des chants révolutionnaires et hissant des drapeaux rouges. A l’angle de la perspective Nevsky et du Canal Ste Catherine, la Police Montée et les Cosaques dispersèrent les foules sans infliger de pertes. Les foules qui s’étaient réunies autour de ceux qui hissaient les drapeaux rouges et en appelaient à la Révolution ne reçurent pas un seul coup de feu. Il semblait qu’on avait donné des ordres précis pour éviter à tout prix une répétition du Dimanche Sanglant de 1905

Les troupes avaient un fusil pour six hommes en Février 1917 ; et pour un jour de munitions

On avait usé de la même tactique sous la Révolution : des hommes déguisés en femmes avaient marché sur les Tuileries

Un des meilleurs ouvrages traitant des événements qui menèrent à la Révolution Russe est celui de Frank Britton : «Behind Communism» — «Derrière le Communisme»

Le 9 Mars, la perspective Nevsky, du Canal Ste Catherine à la Gare Nicolas, fut investie par des foules d’ouvrières qui devenaient plus hardies sous la pression des agitateurs. La Cavalerie Cosaque éclaircit la rue. Quelques personnes furent piétinées mais les troupes employaient seulement le plat de leurs sabres. A aucun moment les armes à feu ne furent utilisées. Cette patience exaspéra les dirigeants révolutionnaires et les agitateurs durent concentrer leurs efforts pour obliger le peuple à entrer en conflit physique avec la police et les troupes. Au cours de la nuit, les dirigeants révolutionnaires déployèrent des mitrailleuses en des endroits discrets, dans toute la ville.

Le 10 Mars, un incident malheureux fournit la minuscule étincelle nécessaire pour la mise à feu de l’explosif révolutionnaire. Le feu se répandit alors à la vitesse de l’éclair. Une foule énorme s’était rassemblée près de la Gare Nicolas. Vers quatorze heures, un homme lourdement habillé de fourrures, afin de se protéger du froid, s’en allait vers la place juché sur son traîneau. Il était impatient et donna l’ordre à son conducteur de se frayer un passage dans la foule mais il se trompa sur l’humeur des manifestants. On extirpa l’homme du traîneau et on le battit. Il s’enfuit à pied et trouva refuge dans une voiture à chevaux. Une partie de la foule le suivit et un révolutionnaire lui fracassa la tête avec une petite barre de fer. Ce pur acte de violence excita la foule qui recouvrit et descendit la Perspective Nevsky, détruisant des fenêtres. Des rires éclatèrent. Le désordre devint peu à peu général. Les dirigeants révolutionnaires, en vertu d’un accord préalable, tirèrent sur la foule de leurs positions cachées. La foule attaqua la police et l’accusa d’avoir tiré sur elle, puis elle massacra chaque policier jusqu’au dernier Les détenus des prisons furent alors relâchés pour exciter la foule.

Les conditions nécessaires au Règne de la Terreur étaient mises en place. Le 11 Mars, les pillages commis par les criminels qui venaient d’être relâchés conduisirent à une émeute générale. La Douma tenta encore d’arrêter la marée mon- tante de révolte. Elle envoya un message urgent au Tsar lui disant que la situation était sérieuse. Le télégramme, d’une longueur considérable, expliquait l’état d’anarchie qui régnait. Les «Cellules» Terroristes — Communistes — infiltrées dans les moyens de communication envoyèrent un autre message. Le Tsar, à la lecture du télégramme qu’il reçut, exigea la dissolution de la Douma. Il se priva ainsi du soutien de la majorité des membres qui lui étaient fidèles. Le 12 Mars, le Président de la Douma qui venait d’être dissoute envoya un dernier message, désespéré, au Tsar. Il concluait en ces mots : «La dernière heure a sonné. Le destin de la patrie et de la dynastie est en train de se décider». On rapporte que le Tsar ne reçut jamais ce dernier message. Ce contrôle des moyens de communication par les «Cellules» infiltrées en des positions-clés fut largement développé au cours des mois suivants [2].

Le 12 Mars, plusieurs régiments se révoltèrent et tuèrent les officiers. C’est alors qu’à l’improviste, la garnison de la forteresse St Pierre et St Paul se rendit et la plupart des soldats rejoignirent les forces de la révolution. Immédiatement après la reddition de la garnison, un Comité de la Douma se constitua, qui comprenait 12 membres. Ce gouvernement provisoire survécut jusqu’à ce qu’il soit renversé par les Bolcheviks de Lénine en Novembre 1917. Les dirigeants révolutionnaires qui étaient pour la plupart des Mencheviks, constituèrent le Soviet de Petersburg. Ils furent d’accord pour autoriser le Gouvernement Provisoire à fonctionner avec un semblant d’autorité légale. St Petersburg n’était qu’une simple ville dans un Empire considérable. Il n’y avait aucun moyen de savoir exactement comment les citoyens des autres villes se comporteraient.

J’ai en ma possession des preuves précises et indiscutables de personnes qui étaient à St Petersburg, bien placées pour savoir que les mitrailleuses utilisées ne furent en aucune manière mises en place ou servies par la police car elle avait reçu des ordres précis de lie pas recourir à la violence,

Afin de démoraliser les troupes qui combattaient les Allemands sur le front, en Novembre 1917, Lénine fit envoyer de faux messages aux officiers supérieurs, censés venir du Haut Commandement russe. Un général reçut des ordres pour avancer sur l’ennemi alors que deux autres qui étaient placés sur chaque flanc de la première armée reçurent l’ordre de se retirer. Il n’est pas étonnant que les troupes s’en soient prises à leurs propres officiers,

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Aleksandr Fiodorovitch Kerenski

Kerensky, un Socialiste, était un homme très dur. On l’appelait le «Napoléon de la Russie». Par l’entremise des bons auspices des Banquiers Internationaux, M.M. Warburg et Fils, Lénine fut mis en relation avec les dirigeants militaires allemands. Il leur expliqua que la politique du Gouvernement Provisoire de Kérensky et celle du Soviet Révolutionnaire Menchevik était de maintenir la Russie en guerre contre l’Allemagne Lénine entreprit de réduire le pouvoir des dirigeants révolutionnaires Juifs en Russie. Il promit de retirer les armées Russes de la guerre contre l’Allemagne à condition que le gouvernement allemand l’aide à renverser le Gouvernement Provisoire russe et à obtenir le contrôle économique et politique du pays. Ce marché fut accepté et Lénine, Martov, Radek, ainsi qu’un détachement de trente et quelques Bolcheviks furent transportés secrètement à travers l’Allemagne en direction de la Russie dans un wagon plombé. Ils arrivèrent à St Petersburg le 3 Avril.

J’ai des preuves qui établissent formellement que le frère de Paul Warburg de New-York était un officier des Services de Renseignements de l’Armée Allemande. Il négocia avec Lénine pour le compte du Haut Commandement Allemand et se chargea du sauf-conduit pour passer d’Allemagne en Russie

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Paul Warburg

Les Warburg d’Allemagne et les Banquiers Internationaux de Genève avaient procuré les fonds nécessaires. Le Gouvernement Provisoire russe signa sa propre condamnation à mort en 1917 lorsqu’immédiatement après sa constitution, il promulgua un décret accordant une amnistie inconditionnelle à tous les prisonniers politiques. L’amnistie comprenait ceux qui avaient été exilés en Sibérie et ceux qui avaient trouvé refuge dans les pays étrangers. Ce décret permit à plus de 90.000 révolutionnaires, pour la plupart extrémistes sangunaires, de revenir en Russie. Beaucoup d’entre eux étaient des dirigeants capables. Lénine et Trotsky enrôlèrent cette gigantesque affluence de révolutionnaires dans leur Parti Bolchevik. Dès qu’il fut en Russie, Lénine employa la propagande pour attaquer le Gouvernement Provisoire qui lui avait accordé le pardon, à lui ainsi qu’à ses adeptes. Au début du mois d’Avril, le Soviet de Petersburg (cela signifie «Conseil des Ouvriers») était dominé par les Mencheviks. Les «Essars» (Sociaux-Révolutionnaires) arrivaient en seconde position et les Bolcheviks pour une fois étaient minoritaires.

La politique du Gouvernement Provisoire visait à poursuivre l’effort de guerre car la majorité des Russes considérait que les ambitions totalitaires des Seigneurs de la Guerre «Nazis Noirs» allemands constituaient une menace directe pour la souveraineté russe. Tcheidze qui soutint avec vigueur cette politique assumait la présidence du Soviet de Petersburg en l’absence de Martov. Le Vice-Président du Soviet, Skobelev, qui était également membre du Gouvernement Provisoire soutint aussi l’effort de guerre. Il pensait que si les révolutionnaires pouvaient provoquer la défaite des forces armées allemandes, il leur serait possible d’aider les groupes révolutionnaires Allemands et Polonais à renverser le gouvernement allemand au moment de la défaite. L’unique objectif de Lénine à ce moment-la, était d’accaparer la direction. Il attaqua la politique du Gouvernement Provisoire et accusa ses membres d’être des instruments de la bourgeoisie. Il recommanda ouvertement son renversement immédiat par des moyens violents mais ne voulut pas s’opposer aux Mencheviks du Soviet de Petersburg.

Lénine donna des instructions à ses agitateurs Bolcheviks et leur fit prêcher la destruction du Gouvernement Provisoire aux ouvriers des usines et aux garnisons militaires. Ils utilisèrent le slogan « Tout le pouvoir aux Soviets», ce qui signifiait : tout le pouvoir aux conseils des ouvriers. Parmi les milliers de révolutionnaires qui revinrent en Russie, suite à l’amnistie générale, il y avait bien sûr Trotsky. Il amenait avec lui, du Canada et des États-Unis, plusieurs centaines de révolutionnaires qui avaient fui la Russie bien avant. La grande majorité était constituée de Juifs de la mafia parlant le yiddish, originaires de l’«East End»de New-York

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Ces révolutionnaires aidèrent Lénine à accéder au pouvoir. Une fois qu’ils eurent servi à ce dessein, la plupart d’entre eux furent condamné à l’exil ou à la mort. Il se passa alors un temps très court entre ce moment et la mort, l’exil ou la mise en prison des premiers membres de la Première Internationale. L’histoire des dictatures de Lénine et de Staline devrait convaincre toute personne dénuée de tout préjugé qu’on a utilisé les populations du monde, sans considération de couleur ou de croyance, comme des «Pions sur un jeu d’échecs international» dont les joueurs étaient les Banquiers Internationaux «Rouges» et les Seigneurs de la Guerre Nazis Aryens «Noirs», le tout manipulé par les Illuminati.

Une autre preuve que les Banquiers Internationaux étaient responsables de l’action de Lénine dans la Révolution Russe, nous est donnée par «Le Livre Blanc», publié sur ordre du Roi d’Angleterre en Avril 1919 Mais les Banquiers Internationaux, par truchement des directeurs de la Banque d’Angleterre, «persuadèrent» le gouvernement britannique de retirer le document original et de lui en substituer un autre dans lequel toutes les références aux Juifs Internationaux étaient supprimées Les Juifs et le libéralisme

Les Juifs et le libéralisme

« The Sentinel ou Le Livre Blanc »

Un intéressant document britannique concernant les Juifs

En avril 1919 à Londres, fut imprimé par ordre de Sa Majesté, un Livre blanc, intitulé « Russia N°1 » publié en 1919, « A Collection of Reports on Bolshevism in Russia ». (Ensemble de rapports sur le Bolchevisme en Russie). Ce document officiel fut soumis à la Chambre des Communes. Ce document, à la page 6, contenait un rapport de Son Excellence M. Oudendyk, ministre des Pays Bas à Pétrograde, qui agissait en même temps à titre officiel comme protecteur des sujets et intérêts britanniques, à la place de représentant anglais, le capitaine Cromie, assassiné par les Bolcheviques.

Extrait de ce rapport officiel, daté du 6 septembre 1918, et reçu par Balfour le 18 septembre 1918 :

« A Moscou j’ai eu des entrevues répétées avec Chicherine et Karachan. Tout le gouvernement soviétique est tombé au niveau d’une organisation criminelle. Les Bolcheviques se sont lancés dans une véritable folie criminelle. Le danger est maintenant si grand que je crois de mon devoir d’attirer l’attention du gouvernement britannique et de tous les autres gouvernements sur le fait que la civilisation mondiale dans sa totalité est grandement menacée si le Bolchevisme russe n’est pas immédiatement éradiqué. Je considère que la suppression immédiate du Bolchevisme est le plus grand problème qui se pose maintenant au monde, sans en excepter la guerre qui fait rage actuellement. A moins que le Bolchevisme ne soit étouffé dans l’œuf sans tarder, il se répandra sous une forme ou une autre en Europe et dans le monde entier car il est organisé et bâti par des Juifs sans nationalité dont le seul but est de détruire pour leur fin particulière l’ordre existant des choses. La seule façon d’écarter ce danger serait une action collective de toutes les puissances. »

Constatations incontournables

Le général communiste chinois Chen se nommait Cohen.

L’organisateur du communisme en Chine se nommait Crusenberg, alias Borodine. Le chef des marxistes en Italie était le Juif Claudio Trèves.

En Russie, Lénine, Trotsky, Kerensky, Zinoviev, Radomilisky, Konstantinovitch, Abramovici, Rosenblum, Litvinov, Lindé, Ravitch et des milliers d’autres dirigeants soviétiques étaient Juifs.

En Hongrie, le mouvement révolutionnaire de 1919 était dirigé par les Juifs Bela Kuhn, Kunsi, Agoston, Peter Grunbaum, Weinstein, etc.

En Bavière, la révolution de 1918 avait des Juifs pour chefs : Kurt Eisner, Loewenberg, Rosenfeld, Koenigberg, Birbaum, Kaiser, Hoch

A Berlin, en 1918, ce furent les Juifs Lundsberg, Riesenfeld, Lewisohn, Moses, Rosa Luxembourg, Cohen, Reuss, Hodenberg.

A Munich, en avril 1919 les meneurs étaient Levine, Levien, Axelrod.

A Hamburg, en 1923, le juif Sobelsohn (Karl Radek).

Au Brésil, en 1936 une insurrection marxiste éclata. Les meneurs étaient les Juifs Rosenberg, Gardelsran, Gutnik, Képlanski, Goldberg, Sternberg, Jacob Gria, Weiss, Friedmann.

En Espagne, en 1936, on voit réapparaître les Bela Kuhn, Neumann, Ginsburg, Julius Deutch, la Juive Nelken, Rosenberg, ambassadeur d’URSS, le Juif Del Vayo, délégué de la SDN.

Toute une foule de Juifs présidaient aux massacres et aux atrocités.

Exactement comme en Russie… Le fait est que toutes ces révolutions communistes, déclenchées en faveur du prolétariat, se traduisent dans les faits par des massacres de paysans et d’ouvriers sacrifiés à la cause juive.

Un grand banquier juif fait de sensationnels aveux

A la fin de 1936, le comte de Saint-Aulaire, ambassadeur de France, publiait un livre « Genève contre la Paix » (Edition Plon). Il y rapportait les déclarations faites devant lui par un grand banquier juif de New York dans un café de Budapest, capitale de la Hongrie, que le Juif Bela Kuhn venait d’ensanglanter par une affreuse révolution communiste. La banque dont il est question ici est la Banque Kuhn, Loeb & Cie de New York, dont les directeurs étaient Jacob H. Shiff, Otto H. Kahn, les frères Paul et Félix Warburg.

Voilà ce qu’on peut lire page 85 et suivantes dans ce livre :

« Cette situation explique comment les alliés masqués de Bela Kuhn étaient demeurés à Budapest après sa déroute et comment on pouvait les rencontrer à la table des missions interalliées dont certains d’ailleurs étaient membres, ce qui leur était très commode pour l’accomplissement de leur autre mission. Ils sablaient aussi joyeusement le Tokay chez les Alliés que chez Bela Kuhn et quand ils avaient bu plus que de petits enfants ne buvaient de lait, leurs langues se déliaient. Nombre de révolutionnaires Juifs expulsés de Hongrie y étaient revenus après l’armistice, sous l’uniforme américain, et ce sont leurs rapports à Wilson qui inspiraient la politique du Conseil Suprême en Europe centrale.

J’ai retenu les propos d’un de ces augures dont je fus le voisin de table à un de ces dîners internationaux qui sont la meilleure école et le plus dangereux écueil de la diplomatie. Il était devenu un des directeurs d’une grande banque de New York, une de celles qui finançaient la révolution bolchevique. Mais ce n’était pas un de ces banquiers scellés au sol comme un coffre-fort, selon de mot de Louis Philippe sur Casimir Perrier. Il avait du « plafond » dans sa spécialité et le crevait volontiers pour atteindre des régions supérieures.

En bon Oriental, il s’exprimait par images auxquelles, en cérébral, il donnait des prolongements intellectuels. Un convive lui ayant demandé « comment la Haute Finance pouvait protéger le bolchevisme, ennemi de la propriété immobilière, condition de l’industrie bancaire, comme de la richesse immobilière qui lui est non moins nécessaire », notre homme préposé au ravitaillement des sans-pain, vida un grand verre de Tokay, prit un temps, en tirant une bouffée de son énorme cigare à cinq francs-or, et dit : « Ceux qui s’étonnent de notre alliance avec les Soviets oublient que le peuple d'Israël est le plus nationaliste de tous les peuples, car il est le plus ancien, le plus uni, le plus exclusif. Ils oublient que son nationalisme est le plus héroïque car il a résisté aux plus terribles persécutions.

Ils oublient aussi que c’est le nationalisme le plus dur, le plus immatériel, puisqu’il a subsisté à travers les siècles en dépit de tous les obstacles sans le support d’un territoire. Il est œcuménique et spirituel comme la papauté. Mais il est tourné vers l’avenir au lieu de l’être vers le passé et son royaume est ici-bas. C’est pourquoi il est le sel de la terre ce qui ne l’empêche pas d’être, comme on le dit sur le boulevard, le plus dessalé des nationalismes, c’est à dire, le plus décanté, le plus dépouillé… »

Quelques convives ayant accueilli ces derniers mots par un sourire mal réprimé, ce Sage de Sion y répondit par cette glose : « Quand je dis le plus dépouillé, j’entends que notre nationalisme est le plus buvable de tous, celui qui a le plus de bouteille, celui que les autres peuples absorbent le plus facilement avec délices et sans mal aux cheveux. Pour en venir au sel, connaissez-vous le précepte des saleurs de morue ? Je l’ai appris sur le banc de Terre Neuve. Le voici : Trop de sel brûle la chair, pas assez ne la corrompt. De même pour l’esprit et pour les peuples. Nous appliquons ce précepte sagement, ainsi qu’il convient, le sel étant l’emblème de la sagesse.

Nous le mêlons discrètement au pain des hommes : nous ne l’administrons à doses corrosives que dans des cas exceptionnels quand il s’agit de brûler les débris d’un impur passé, comme par exemple dans la Russie des tsars. Cela vous explique déjà un peu pourquoi le bolchevisme nous agrée : c’est un admirable saloir pour brûler non pour conserver. Mais en dehors et au-dessus de ce cas particulier, nous communions avec le marxisme intégral dans l’Internationale, notre religion, parce qu’il est l’arme de notre nationalisme, arme tour à tour défensive et offensive, le bouclier et le glaive.

Le marxisme, direz-vous, est aux antipodes du capitalisme qui nous est également sacré. C’est précisément parce qu’ils sont aux antipodes l’un de l’autre qu’ils nous livrent les deux pôles de la planète et nous permettent d’en être l’axe. Ces deux contraires trouvant comme le bolchevisme et nous, leur identité dans l’Internationale. De plus ces deux contraires qui sont aux antipodes de la société comme de la doctrine, se rejoignent dans l’identité de la même fin : la rénovation du monde par en haut, c’est à dire par le contrôle de la richesse et par en bas, c’est à dire par la révolution.

Pendant des siècles, Israël a été séparé de la chrétienté, refoulé dans le ghetto afin de montrer aux fidèles ce qu’on appelait les témoins de l’ancienne foi, dans un abaissement qui, disait-on, était l’expiation du déicide. C’est ce qui nous a sauvés et, par nous, sauvera l’humanité. Nous avons ainsi conservé notre génie et notre mission divine. C’est nous aujourd’hui les vrais fidèles. Notre mission consiste à promulguer la loi nouvelle et à créer un Dieu, c’est à dire épurer la notion de Dieu et à la réaliser quand les temps seront révolus. Nous l’épurons en l’identifiant à la notion d’Israël devenu son propre Messie, ce qui en facilitera l’avènement par notre triomphe définitif. C’est notre Nouveau Testament.

Nous y réconcilions les rois et les prophètes, comme David le prophète-roi ou le roi-prophète, les réunissant en sa personne. Nous sommes rois pour que les prophéties s’accomplissent et nous sommes prophètes pour ne pas cesser d’être rois ».

Là-dessus, ce roi-prophète but un autre verre de Tokay.

Un sceptique lui fit cette objection : « Ce Messie dont vous êtes les prophètes et les apôtres, ne risquez-vous pas d’en être aussi les martyrs ? Car enfin, si dépouillé que soit votre nationalisme, il dépouille parfois les autres peuples. Si vous méprisez la richesse vous ne la dédaignez pas, ne serait-ce que comme moyen non de jouissance, mais de puissance. Comment le triomphe de la révolution universelle, destructrice et négatrice du capitalisme, peut-il préparer le triomphe d’Israël arche sainte de ce même capitalisme ? »

« Je n’ignore pas que Jéroboam a fondé à Dan et à Béthel, le culte du Veau d’Or. Je n’ignore pas non plus que la révolution est, dans les Temps modernes, la grande prêtresse de ce culte, la plus diligente pourvoyeuse de ses tabernacles. Si le Veau d’Or est toujours debout, son piédestal le plus confortable est le tombeau des Empires, et cela pour deux raisons : d’abord la révolution n’est jamais qu’un déplacement de privilèges, partant de richesses. Or ce qui nourrit notre Veau d’Or, ce n’est pas la création de richesses, ni même leur exploitation, c’est surtout leur mobilisation, âme de la spéculation. Plus elle change de main et plus il en reste dans les nôtres. Nous sommes des courriers qui touchons des commissions sur tous les échanges, ou si vous préférez, des péagers qui contrôlons les carrefours du globe et percevons une taxe sur tous les déplacements de la richesse anonyme et vagabonde, que ces déplacements soient des transferts d’un pays à l’autre, ou des oscillations entre les cours. A la calme et monotone chanson de la prospérité nous préférons les voix passionnées et alternées de la hausse et de la baisse. Pour les éveiller, rien ne vaut la révolution si ce n’est la guerre, qui est une forme de révolution. En second lieu la révolution affaiblit les peuples, les met en état de moindre résistance contre les entreprises étrangères. La santé de notre Veau d’Or exige la maladie des Nations, celles qui sont capables de se développer par elles-mêmes. Nous sommes au contraire, solidaires des grands Etats modernes comme la France, les Etats-Unis, l’Angleterre, l’Italie, représentés à cette table, qui nous ont accordé une généreuse hospitalité et avec qui nous collaborons pour le progrès de la civilisation. #

Mais prenez par exemple la Turquie d’avant-guerre, « l’homme malade » comme l’appelaient les diplomates. Cet homme malade était un élément de notre santé car il nous prodiguait des concessions de toutes natures, banques, mines, ports, chemins de fer, etc.

Toute sa vie économique nous était confiée : nous l’avons si bien soigné qu’il en est mort, du moins en Europe. En nous plaçant du point de vue terre à terre de l’accumulation des richesses en vue de l’accomplissement de notre mission, nous avons besoin d’un autre homme malade. C’eût été déjà une raison suffisante en dehors de considérations plus élevées, pour inoculer le bolchevisme à l’ancienne Russie. Elle est maintenant l’homme malade d’après guerre, beaucoup plus nourrissant que l’Empire Ottoman et qui se défend encore moins. La voici à point pour un autre festin. Ce sera bientôt un cadavre, nous n’aurons que la peine de le dépecer ».

A l’autre bout de la table, un coreligionnaire, enfant terrible de la synagogue, guettait le moment de placer son mot : « On nous prend pour des rapaces, nous sommes plutôt des charognards ».

Oui, si vous y tenez, répliqua le confesseur de la loi nouvelle. Mais ajoutez que nous le sommes pour le bien de l’humanité, pour sa santé morale, comme dans les pays où la voirie est rudimentaire, d’autres oiseaux le sont pour la salubrité publique. Ajoutez aussi que notre dynamisme essentiel utilise les forces de destruction et de création mais utilise les premières pour alimenter les secondes. Qu’étaient des pays comme l’ancienne Turquie, l’ancienne Russie, et même à une moindre échelle l’ancienne Hongrie avec son régime féodal et ses latifundia ? Ils étaient des membres paralysés qui gênaient tous les mouvements du monde ; ils étaient des embolies de l’Europe qui pouvait en mourir, des caillots de sang oblitérant des vaisseaux vitaux. En les dissolvant nous les restituons au courant circulaire du corps tout entier. Si au cours de l’opération giclent quelques gouttes de sang liquéfié, pourquoi nous en émouvoir ? C’est le prix infime d’un immense bienfait. Quelqu’un a dit que « nous sommes révolutionnaires parce que nous sommes conservateurs de nous-mêmes. »

Dans l’aménagement du monde nouveau, nous prouvons notre organisation pour la révolution et pour la conservation par cette destruction, le bolchevisme, et par cette construction de la Société des Nations, qui est aussi notre œuvre, l’un étant l’accélérateur, l’autre le frein de la mécanique dont nous sommes le moteur et la direction. Le but ? Il est marqué par notre mission. Israël est une nation synthétique et homogène. Elle est formée d’éléments épars dans toutes les parties du monde mais fondus à la flamme de notre foi en nous-mêmes. Nous sommes une SDN qui résume toutes les autres. C’est ce qui nous qualifie pour les réunir autour de nous. On nous accuse d’en être les dissolvants. Nous ne le sommes que sur les points réfractaires à cette synthèse dont la nôtre est l’exemple et le moyen. Nous ne dissocions la surface que pour réveiller dans les profondeurs les affinités qui s’ignorent. Nous ne sommes le plus grand commun diviseur des peuples que pour en devenir le plus grand commun fédérateur. Israël est le microcosme et le germe de la Cité future ».

Ce texte mérite une profonde méditation. Il est simplement ahurissant.

Le Père Denis Fahey, dans son livre» (Les dirigeants de la Russie) donne aux pages 9 à 14 les noms de tous ces dirigeants révolutionnaires, leur nationalité, leur origine raciale et les situations qu’ils occupèrent dès que Lénine eût usurpé le pouvoir et que Trotsky eût consolidé sa position en Russie en Novembre 1917

Le Capitaine A. H. M. Ramsay, membre du Parlement pour le Midlothian et le Pleebleshire de 1931 à 1945, déclare à la page 96 de son livre (La Guerre sans Nom). : «On m’a montré les Deux Livres Blancs… l’original et la version expurgée, en parallèle. Les passages cruciaux avaient été supprimés dans l’édition expurgée»

François Coty déclare dans Le Figaro du 20 Février 1932 : «Les subsides accordés aux Nihilistes en Russie et ailleurs à cette période par Jacob Schiff n’étaient en aucun cas des actes de générosité isolée. Une véritable organisation Terroriste Russe avait été constituée aux États-Unis, à ses frais, et était chargée d ‘assassiner les ministres, les gouverneurs, les chefs de la police, etc.» Les Illuminati qui utilisent le communisme et le nazisme pour favoriser leurs visées secrètes totalitaires prévoient l’action révolutionnaire en trois phases ou trois mouvements

Le remplacement de la forme existante de gouvernement (sans considérer le fait qu’il s’agisse d’une monarchie ou d’une république) en un État socialiste si possible par des voies constitutionnelles.

Le remplacement de l’État socialiste par une dictature prolétarienne par l’action révolutionnaire.

Le remplacement de la dictature prolétarienne par une Dictature Totalitaire avec suppression de toutes les personnes influentes qui peuvent s’y opposer.

Après 1918, tous les Juifs russes furent, ou bien des Juifs révolutionnaires se cramponnant avec ténacité aux théories marxistes et œuvrant pour l’établissement d’une Internationale des Républiques Socialistes Soviétiques (Trotskystes), ou bien des Juifs Sionistes qui préférèrent retourner en Palestine.

Mademoiselle B. Baskerville, dans son livre «Le Juif Polonais» publié en 1906, déclare à propos des ghettos, aux Pages 117 et 118 : «Le Social-Sionisme vise à convertir les Sionistes au Socialisme avant qu’ils aillent en Palestine pour faciliter l’établissement d’un gouvernement socialiste… et clans le même temps, ils font leur possible pour renverser ces gouvernements européens qui ne considèrent pas leur programme politique… leur programme qui regorge d’idées socialistes… qui comprend l’organisation de grèves, d’actes de terreur, et les organisateurs étant très jeunes, des actes de sottise aussi bien…»

Le «Pouvoir Occulte» derrière le M.R.M. contrôle également le Sionisme Politique ; cependant, la grande majorité des Juifs qui œuvre en faveur du Sionisme est totalement ignorante du fait qu’on l’utilise comme des «Pions sur un Jeu d’Echec International».

Le moteur secret du Communisme

La tête du Communisme

Il ne fait donc pas le moindre doute que la théorie marxiste (communiste) est une œuvre juive, tout comme l’est aussi toute l’action entreprise pour la mise en pratique de cette doctrine ainsi que les millions d’assassinats commis à cet effet. Les dirigeants et les organisateurs de tout le mouvement communiste antérieur à l’établissement définitif du Bolchevisme en Russie furent juifs dans leur quasi-totalité, comme aussi la grande majorité des dirigeants effectifs des révolutions qu’ils provoquèrent.

Mais en Russie, dans le premier pays où triompha définitivement le Bolchevisme et qui a été et demeure actuellement le centre moteur de sa propagation mondiale, la paternité juive du système, de l’organisation et de la praxis soviétique ne fait non plus aucun doute. Selon des données certaines, pleinement démontrées et acceptées par tous les écrivains qui ont traité de cette question avec impartialité, l’action communiste des juifs dans le pays des tsars est si patente qu’il serait bien vain d’essayer de leur dénier l’exclusivité de cet abominable triomphe.


Qu’il suffise de rappeler les noms de ceux qui formèrent les gouvernements et les principaux organismes directeurs de l’Union Soviétique pour savoir à quoi s’en tenir, avant même la claire et éclatante démonstration des faits.

MEMBRES DU PREMIER GOUVERNEMENT COMMUNISTE DE MOSCOU (1918)

  1. Illich Ulin (Vladimir Illich Ulianov ou Nicolas Lénine) Président du Soviet Suprême, juif par sa mère. Celle ci était née Blank, et était une juive d’origine allemande;
  2. Lew Davidovitch Bronstein (Léon Trotsky) Commissaire à l’Armée Rouge et à la Marine, juif ;
  3. Iosiph David Vissarianovich Djugashvili-Kochba (Joseph Vissarianovitch Staline) Commissaire aux Nationalités, descendant de juifs géorgiens ;
  4. Chicherine, Commissaire aux Affaires Etrangères, russe ;
  5. Apfelbaum (Gregoire Zinoviev), Commissaire à l’Intérieur, juif ;
  6. Kohen (Volodarsky), Commissaire à la Presse et à la Propagande, juif ;
  7. Samuel Kaufman, Commissaire aux Domaines de l’Etat, juif ;
  8. Steiberg, Commissaire à la Justice, juif ;
  9. Schmidt, Commissaire aux Travaux Publics, juif ;
  10. Ethel Knigkisen (Liliane) Commissaire au Ravitaillement, juive ;
  11. Pfenistein, Commissaire à l’Accueil des Réfugiés, juif ;
  12. Schlichter (Vastanoleinine), Commissaire aux Logements (Réquisitions de maisons particulières pour les rouges), juif ;
  13. Lurie (Larine), Président du Soviet Economique Supérieur, juif ;
  14. Kukor(Kugorski), Commissaire à l’Economie, juif ;
  15. Urisky (Radomilsky), Commissaire aux « Elections », juif ;
  16. Lunacharsky, Commissaire à l’Enseignement Public, juif ;
  17. Protzian, Commissaire à l’Agriculture, arménien.

En appendice du présent volume, nous faisons figurer une liste intéressante et très explicite des hauts fonctionnaires juifs de tous les corps gouvernementaux de l’Union Soviétique, du Parti Communiste, de l’Armée Rouge, de la Police secrète (tchéka), des Syndicats, etc.
Sur un total de cinq cent deux (502) postes de premier plan dans l’organisation et la direction de la révolution communiste de Russie et de la direction de l’Etat Soviétique durant ses premières années, pas moins de quatre cent cinquante-neuf (459) de ces postes étaient occupés par des juifs et seulement quarante-trois (43) par des chrétiens de diverses origines. Alors, lesquels ont réellement accompli cette horrible révolution ? Les chrétiens ? 12 bis)

Une autre statistique, publiée semble-t-il par le périodique contre-révolutionnaire russe Le Russe Nationaliste après le triomphe des juifs communistes en Russie, indique que sur un total de cinq cent cinquante-quatre (554) dirigeants communistes de premier plan occupant diverses fonctions, on trouvait : 447 Juifs, 43 Lithuaniens, 30 Russes, 13 Arméniens, 12 Allemands, 3 Finlandais, 2 Polonais, 2 Géorgiens, 1 Tchèque, 1 Hongrois.

Pendant la deuxième guerre mondiale et après celle-ci jusqu’à nos jours, la bande juive qui gouvernait l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques continua d’être très nombreuse, et le premier de la liste est Staline lui-même, dont on a cru longtemps qu’il était géorgien de pure origine et dont on vient de découvrir qu’il est de race juive, car Djougashvili est un nom qui signifie « fils de Djou », et Djou est une petite ile de Perse vers laquelle émigrèrent de nombreux juifs marranes portugais exilés, qui passèrent ensuite en Géorgie.Il est prouvé que Staline était de sang juif,

Voici une liste des hauts fonctionnaires soviétiques du gouvernement de Staline :

Jdanov (Yadanov), juif s’appelant en réalité Liphshitz, ex-commandant de la Défense de Léningrad pendant la guerre, membre du Politburo jusqu’en 1948 et l’un des auteurs de la résolution qui exclut Tito du Kominform en 1948, décédé peu après

Lavrenty Beria, juif, chef de la Police du M.V.D. et chef de l’Industrie Lourde soviétique, membre du Comité directeur de l’Industrie Atomique soviétique, éxécuté sur l’ordre de Malenkov pour le même motif que Staline liquida Yagoda

Lazare Kaganovitch, juif, chef de l’Industrie Lourde soviétique, membre du Politburo de 1944 à 1952, puis membre du Présidium et ensuite Président du Présidium du Soviet Suprême de l »URSS

Malenkov (Georgi Maximilianovich Malenk), membre du Politburo et de l’Orgburo jusqu’en 1952, ensuite membre du Présidium Suprême et Président du Conseil des ministres jusqu’à la mort de Staline ; ministre du gouvernement de Boulganine à partir de 1955. Il est juif d’Ornenbourg et non pas cosaque comme il l’affirme. Le nom de son père Maximilien Malek est typiquement juif russe. Il y a en outre un détail très important qui dévoile la véritable origine de Malenkov et aussi de Kroutschev. L’épouse actuelle de Malenkov est la juive Pearlmutter, connue comme « la camarade Schemschne » qui fut ministre de la Pêche dans le gouvernement soviétique en 1938. Il n’existe pas de biographie officielle de Malenkov, et ceci est certainement du à ce qu’il ne tient pas que l’on découvre son origine juive ;

Nicolas Salomon Kroutschev, l’actuel (NDT en 1968) chef du Parti Communiste soviétique, membre du Politburo depuis 1939 soit la même année que Malenkov fut élu membre de l’Orgburo. Il est le frère de l’épouse de Malenkov, c’est à dire de la juive Pearlmutter et donc juif lui-même, et s’appelle Pearlmutter de son vrai nom

Le Maréchal Nicolaï Boulganine, actuel Premier ministre soviétique, ancien fonctionnaire de banque, fut l’un des dix juifs membres du Commissariat pour la Liquidation des Banques privées en 1919 ;

Anastase Iosiphovich Mikoyan, membre du Politburo depuis 1935, membre du Présidium Suprême depuis 1952, ministre du Commerce et vice-président du gouvernement de Malenkov. C’est un juif d’Arménie et non pas un Arménien authentique comme on le croit

Kruglov, chef du M.V.D. (police secrète) depuis Beria. C’est par ordre de Kruglov que furent remis en liberté les médecins juifs arrêtés en 1953 par Riumine, le Sous-chef de la Police pendant le mandat de Beria. Il est également juif. A la mort de Staline, survinrent ces querelles de famille entre juifs qui éclatent parfois sous l’effet des ambitions de pouvoir, et le juif Beria fut assassiné par ses frères israélites du Gouvernement de Moscou, comme bien des années auparavant les juifs Staline, Vychinski, Kaganovitch et leurs amis avaient fait tuer les juifs Trotski, Zinoviev, Kamenef, Radek, Boukkharine et des milliers de leurs partisans israélites, dans la guerre intestine, véritable guerre civile, survenue au sein du Judaïsme, que les deux factions juives soutinrent l’une contre l’autre pour s’assurer le contrôle de la malheureuse Russie et du Communisme international

Alexandre Kossyguine, juif également, fut membre du Politburo jusqu’en 1952, puis suppléant au Présidum du Soviet Suprême et Ministre de l’Industrie Légère et de l’Alimentation du gouvernement Malenkov. (A l’heure où fut imprimée l’édition mexicaine de ce livre, en 1968, il était devenu Premier Ministre du Gouvernement soviétique, après avoir participé à l’éviction du juif Nikita Salomon Kroutschev dans un nouvel épisode de la lutte entre juifs communistes pour le pouvoir)

Nicolas Schvernik, membre du Politburo jusqu’en 1952, ensuite membre du Présidium Suprême et membre du Présidium du Comité Central, juif

Andrés Andrievich Andriev, qui était connu comme le « polit-burocrate » des 3 A, membre du Politburo entre 1931 et 1952, juif de Galicie en Pologne. Il adopta un pseudonyme russe

P.K. Ponomarenko, juif, membre de l’Orgburo en 1952, depuis, membre du Présidium Suprême et Ministre de la Culture dans le gouvernement de Malenkov

P.F. Yudine (Iuden) membre suppléant du Présidium Suprême et titulaire du Ministère des Matériaux de Construction dans le gouvernement de Malenkov de 1953, juif

Mikhail Pervukine, juif, membre du Présidium du Comité Central du Parti Communiste depuis 1953

N. Schataline, potentat du Sous-secrétariat du Comité Central du Parti Communiste, juif

K.P. Gorschenine, juif, Ministre de la Justice, dans le gouvernement de Malenkov

D. Ustinov (Zambinovich), juif, Ambassadeur soviétique à Athènes jusqu’à la deuxième guerre mondiale ; devint ministre de la Défense dans le gouvernement de Malenkov.

V. Merkulov, Ministre du Contrôle de l’Etat à l’époque de Malenkov

A. Zasyadko, Ministre de l’Industrie Charbonnière sous Malenkov, juif

Cherburg, Chef de la Propagande soviétique, juif

Milstein, l’un des dirigeants juifs de l’Espionnage soviétique.

Ferentz Kiss, Chef du Service d’Espionnage soviétique en Europe, juif

Potschrebitscher (Poscrebichev), israélite, ex-secrétaire particulier de Staline, actuellement (en 1968) chef des Archives secrètes du Kremlin

Ilyia Ehrembourg, député de Moscou au Soviet Suprême, écrivain soviétique, également juif

Mark Spivak, député de Staline (Ukraine) au Soviet Suprême de Moscou, également israélite

Rosalia Goldenberg, juive, députée du Birobidjan au Soviet Suprême de Moscou

Anna E Kaluger, juive, députée de Bessarabie au Soviet Suprême. Son frère qui s’appelle actuellement non pas Kaluger mais Calugaru, en roumain, est un potentat communiste dans l’Administration en Roumanie.

Ajoutons que Kalinine, le Président en titre durant le gouvernement de Staline et décédé depuis quelques années, était également juif Il est donc bien clair que l’antisémitisme de Staline fut une grande imposture, et que l’assassinat des juifs trostkystes, sinovievistes et boukkharinistes qui fut entreprise pour s’assurer le pouvoir se déroula entre juifs. En dernière analyse, la lutte entre le juif Trotsky et le juif Staline fut une bataille entre deux clans juifs pour la prise de contrôle du gouvernement communiste que ceux-ci avaient créé, une simple querelle de famille.

En est la preuve la liste suivante des Commissaires aux Affaires Etrangères au moment où Staline se débarrassa de tant de juifs qui étaient dangereux pour son pouvoir personnel :

Maxime Davidovitch Litvinoff, Ministre Soviétique des Affaires Etrangères jusqu’à 1939, époque à laquelle il fut remplacé par Molotov, mais il occupa ensuite de hautes fonctions dans ce même ministère jusqu’à sa mort en février 1952. Il était né en Pologne, fils de l’agent de banque juif Meer Genokh Moisevitch Vallakh. Pour masquer son vrai nom, Maxime Moisevitch Vallakh (Litvinoff) utilisa au cours de sa carrière divers pseudonymes, entre autres Finkelstein, Dudwig Nietz, Maxime Harryson, David Mordecay, Félix, et finalement, une fois devenu un haut cadre du régime communiste en Russie, il adopta celui de Litvinoff ou Litvinov. Quand ce juif fut remplacé par Molotov en 1939, la juiverie du monde occidental et toute la presse judéo-maçonnique commencèrent à hurler qu’il avait été écarté par Staline « parce qu’il était juif », mais ils se gardèrent bien de dire ensuite que Litvinoff resta au Ministère jusqu’à sa mort. Pourquoi le dire, si cela n’intéressait pas la conspiration ? Dans les Mémoires de Litvinoff, publiés après sa mort, il est écrit qu’à son avis, rien ne changerait en Russie soviétique après la mort de Staline. Et en effet Staline mourut un an après Litvinoff, et rien ne changea dans la politique intérieure et extérieure soviétique.
Ce que l’on nomme en Occident les changements de la politique soviétique ne sont que de simples artifices de propagande adaptés aux besoins du plan de domination mondiale des juifs. Rien n’a changé après la mort de Staline. Il y eut un peu d’agitation due au manque d’un chef suprême de la stature de Staline ou de Lénine, mais c’est tout. Grâce à quoi, les conspirateurs judéo-maçons d’Occident cherchent à dépeindre le cours ténébreux du soviéto-communisme de couleurs brillantes, parlant de « pacifisme », de « coexistence », « d’humanisation », etc. pour le présenter au monde comme quelque chose d’inoffensif. Lorsque Livinoff affirma que rien ne changerait avec la mort de Staline, il savait bien que c’est en effet ce qui se passerait, parce que Staline n’était que l’un des opérateurs de la bande judaïque qui dirige l’URSS, et qu’après lui, les autres demeureraient en place pour poursuivre le plan de domination mondiale auquel collaboraient les Boulganine, Baruch, Reading, Maurice Thorez, Mendes-France, David Ben Gourion et bien d’autres. Poursuivant la liste des juifs du Ministère des Affaires Etrangères d’URSS, nous avons

Andrès Ianuarevitch Vichinsky, mort maintenant, mais qui fut le Ministre des Affaires Etrangères de l’URSS avant la mort de Staline, puis ensuite Délégué permanent de l’Union Soviétique à l’ONU, où il ne perdait pas une occasion de lançer des insultes contre les pays non-communistes, comme il le faisait lorsqu’il était « Juge populaire ». Son nom juif était Abraham Ianuarevine. Ce juif fut procureur dans les procès qui condamnèrent à mort les juifs ses frères de race qui constituaient la vieille garde révolutionnaire de Lénine, et qui furent assassinés par Staline et sa bande également juive, dans leur lutte pour le pouvoir en Russie.

Jacob Malik, le représentant Soviétique devant l’ONU et haut personnage dans la hiérarchie diplomatique soviétique, juif.

Valerian Zorine, pendant un temps Ambassadeur à Londres, et aussi grande figure de la diplomatie soviétique, qui changea de poste selon les nécessités.

Gromyko, également diplomate juif.

Alexandre Uanoushkine, ex-Ambassadeur soviétique à Washington, puis Ambassadeur à Pékin en 1955, considéré alors comme le véritable dictateur de la Chine rouge jusqu’à ce que Mao-Tsé-Tung, fidèle au stalinisme, se rebelle contre Kroutschev lorsque ce dernier trahit le stalinisme.

Zambinovitch (Ustinov) juif, Ambassadeur à Athènes jusqu’en 1940.

Almirante Radionovitch, Ambassadeur à Athènes entre 1945 et 1946 c’est à dire pendant la prépation du coup d’Etat communiste en Grèce, juif.

Constantin Omansky, envoyé à Washington pendant la deuxième guerre mondiale et ensuite haut dirigeant au Ministère des Affaires Etrangères de Moscou

Manouilsky, ex-représentant en Ukraine et à l’ONU, actuellement Président de l’Ukraine (en 1962), juif aussi.

Ivan Maisky, israélite, Ambassadeur à Londres durant la deuxième guerre mondiale, ensuite haut fonctionnaire au Ministère des Affaires Etrangères à Moscou.

Mme Kolontaï, Ambassadrice à Stockholm jusqu’à son décès en mars 1952. Auparavant cette juive vécut à Mexico où sa famille israélite s’était alliée à l’aristocratie russe qu’elle trahit, tout comme l’ont fait tous ces juifs qui s’infiltrèrent dans la noblesse par des mariages mixtes ou à l’aide de titres nobiliaires obtenus pour services rendus à des rois, qui sans s’en rendre compte minèrent ainsi la puissance de la noblesse de sang, en facilitant, tantôt sa mise en tutelle par le Judaïsme comme il advint en Angleterre, tantôt le renversement de la monarchie elle-même comme dans d’autre pays.

D. Solod, Ambassadeur au Caire en 1955. Celui-ci, aidé d’un groupe de juifs du corps diplomatique en poste au Caire, dirige la conspiration israélite dans le monde arabe sous protection diplomatique soviétique, à l’insu du Gouvernement Egyptien. Ce gouvernement ne devrait portant pas oublier que David Ben Gourion le Premier Ministre d’Israel, tout comme Golda Meierson, le Ministre d’Israel à Moscou, sont l’un et l’autre des juifs russes comme Solod.

On ne doit pas oublier non plus que ce fut le juif Yagoda, à l’époque chef de la Police secrète de Staline, qui fut celui qui dirigea avec son équipe de bourreaux israélites le massacre des juifs ennemis de Staline en URSS. Actuellement (NDT en 1968) selon des données prouvées, entre 80 et 90 % des postes clefs dans tous les ministères de Moscou et des autres Républiques Soviétiques sont occupés par des juifs.*)

Le Duc de la Victoria, conclut après une minutieuse enquête :

« Je ne crois pas que l’on puisse avoir un doute quelconque sur l’origine de tous ceux qui dirigèrent et qui occupèrent les premiers postes à Moscou depuis les premiers moments de la révolution ; ce qui est lamentable pour les Russes, c’est que malgré le temps écoulé, leur situation a extrêmement empiré, parce que le nombre de juifs en Russie a augmenté de manière alarmante et que tous les principaux postes dirigeants sont entre leurs mains… ».

A l’égal de la Russie, les pays d’Europe où le Communisme s’est imposé sont totalement tombés sous la domination de la minorité juive, qui partout dirige le gouvernement communiste d’une main de fer, criminelle et impitoyable pour assurer la mise en esclavage des citoyens autochtones par un groupe insignifiant de juifs. Il suffit de passer en revue les principaux dirigeants des dictatures communistes, qui toujours sont juifs, et c’est un argument encore plus convainquant que tout.

INTRIGUE POLITIQUE 1914 ~ 1919

(…) Au cours de l’été 1917, il devint impératif de savoir qui financerait Lénine et Trotsky pour leur coup d’état révolutionnaire. Les Banquiers Internationaux décidèrent que leurs représentants se rencontreraient à Stockholm (Suède) parce que ce pays était neutre et relativement peu fréquenté par les espions internationaux.

26

Max Warburg en 1905

Parmi les personnes qui assistèrent à la réunion, se trouvaient des hommes qui représentaient les intérêts bancaires de Grande-Bretagne, d’Allemagne, de France, de Russie et des États-Unis d’Amérique. M. Protopopoff, le ministre russe de l’Intérieur y était, de même que M. Warburg de Hamburg, frère de Paul Warburg, associé de Kuhn-Lœb & Co de New-York, qui avait mis au point la législation du Système de Réserve Fédérale en 1910. Nous verrons que dans le but de savoir comment on s’entendrait sur le financement de Lénine et de Trotsky pour renverser le gouvernement russe, des délégués vinrent de toutes les nations en guerre. Il fut décidé finalement que Kuhn-Lœb de New-York mettrait $50.000.000 à la disposition de Lénine et de Trotsky à la Banque de Suède.

En 1917, les officiers des Renseignements britanniques et américains rapportèrent ces faits à leurs Gouvernements respectifs. Ce fut à ce moment tragique que le Commander E.N. Cromie mourut en repoussant une foule de révolutionnaires qui attaquait le Consulat de Grande-Bretagne à St Petersburg. Il retint ces enragés afin de donner à ses collègues le temps de brûler des documents qui avaient trait à ces questions et à d’autres sujets . Le gouvernement américain expédia au gouvernement britannique les rapports qu’il avait reçus de ses officiers des services de renseignement. M. Oudendyke, ministre des Pays-Bas à Petrograd (qui veillait sur les intérêts britanniques en Russie après que le Commander Cromie ait été assassiné), avertit également le gouvernement britannique. Son avertissement fut publié en Avril 1919 dans le «Livre Blanc» sur la révolution bolchevique édité par les imprimeurs du Roi.

Les plans que Jacob Schiff avait dressés pour permettre à Trotsky et à sa cohorte de révolutionnaires professionnels de revenir à St Petersburg via New York «tombèrent à l’eau» lorsque Trotsky fut emprisonné par le gouvernement canadien à Halifax (Nouvelle Ecosse)

Le pouvoir que les Banquiers Internationaux exercent sur les gouvernements constitutionnels est ainsi prouvé par le fait qu’ils protestèrent aussitôt auprès des gouvernements concernés. Trotsky et son «gang» de révolutionnaires furent relâchés et ils reçurent un sauf-conduit pour traverser la Zone de blocus britannique. Nous avons une preuve supplémentaire de la complicité des politiciens britanniques dans la Révolution Russe de 1917, grâce à D. Petrovsky qui nous expose le rôle joué par Sir G. Buchanan, ambassadeur de Grande-Bretagne

.

Le Commander Cromie servit dans les sous-marins britanniques à la même époque que l’auteur.

27

David Lloyd George

Petrovsky prouve que bien que parfaitement informé de tout ce qui se tramait dans les coulisses, le gouvernement de Lloyd George aida les Banquiers Internationaux à faire entrer Trotsky et ses révolutionnaires en Russie pendant qu’au même moment le Haut Commandement allemand aidait les Banquiers Internationaux à faire passer Lénine et son «gang» de révolutionnaires de Suisse à Petrograd. On fournit à Lénine ainsi qu’à ses hommes de main un wagon de chemin de fer privé pour leur voyage à travers l’Allemagne.

M. Petrovsky révèle que Milioukoff, qui avait été nommé ministre des Affaires étrangères par le gouvernement républicain russe au printemps de 1917, fut l’homme qui négocia cette intrigue qui impliquait des nations en guerre. Il est aussi mentionné qu’en remerciement de la coopération du Haut-État-Major allemand, le gouvernement de Grande-Bretagne accepta la requête de Milioukoff, à savoir la libération de M. M. Litvinov. Ce dernier avait été arrêté par les officiers du renseignement britannique en tant qu’espion de l’Allemagne. Les origines de M. Litvinov s’avèrent d’un grand intérêt ; ses parents portaient le nom de Finkelstein. Lorsqu’il rejoignit le Mouvement Révolutionnaire Mondial, il changea son nom en celui de Meyer Wallach. Lorsqu’il décida de s’associer avec Lénine et son parti bolchevique, il changea de nouveau son nom en celui de Maxim Litvinov. C’est le même homme qui fut l’espion des Allemands et c’est encore le même homme qui sera arrêté lorsqu’il essayera de changer les billets de banque de 500 roubles qu’il avait dérobés après avoir lancé une bombe lors du cambriolage de la Banque de Tiflis.

28

Maxime Litvinoff

Après sa libération par les autorités britanniques, Litvinov retourna en Russie. Il aida Lénine à renverser le Gouvernement Provisoire de Kérensky et le Soviet Menchevik instauré à St Petersburg avant octobre 1917. Litvinov fut le Commissaire des Affaires étrangères de Staline de 1930 à 1939 et fut nommé membre dû Comité Central du Parti Communiste en 1935.

Assassin, receleur d’argent volé, espion, gangster international et Chef d’orchestre des menées révolutionnaires dans de nombreux pays, toutes ces qualités furent acclamées par les nations du monde lorsqu’il fut élevé à la fonction de Président du Conseil des Nations Unies. Seul un groupe international, tel que les Banquiers Internationaux, pouvait sauver la vie de cet homme et lui assurer la liberté lorsqu’il exécutait les mots d’ordre criminels des comploteurs internationaux. Seuls le pouvoir et l’influence des Banquiers Internationaux ont pu le faire élire Président du Conseil des Nations Unies. Voici une bonne preuve pour montrer que les Illuminati contrôlent les hommes qui dirigent les Nations Unies !

Une autre preuve qui vaut la peine d’être citée établit que les Banquiers Internationaux du Royaume-Uni, des États-Unis, d’Allemagne et de Russie travaillèrent ensemble même après que l’Allemagne et la Grande-Bretagne se soient déclaré la guerre. Nous trouvons cette preuve dans une brochure intitulée «Trotsky» (Defender Publishers, Wichita, Kansas), citant une lettre de J.M. Dell et adressée personnellement à Lloyd George. Mais pourquoi continuer ?

Il faudrait des livres entiers pour citer toutes les preuves établissant que les Banquiers Internationaux organisèrent, financèrent et dirigèrent la Révolution Russe afin d’obtenir le contrôle d’un énorme territoire pour que les Illuminati puissent y tester à fond leurs théories totalitaires.

En pratiquant des expériences sur un territoire aussi gigantesque que la soi-disant U.R.S.S., ils pouvaient déceler les erreurs et les faiblesses du procédé par tâtonnements. Il aurait été vraiment stupide de leur part d’essayer de diriger le monde entier avant d’avoir accompli cette expérience qui coûta des millions de vies humaines. De telles actions ont toujours fait partie de leur Plan à longue échéance. Ce plan a commencé il y a cinq mille ans et fut remis à jour lors de la réunion qui eut lieu dans l’Orfèvrerie Bauer à Francfort en 1773. «A moins que l’on ne décide d’agir en commun, il est probable que ce plan arrivera à échéance lorsqu’ils auront obtenu le contrôle économique et politique après la Troisième Guerre Mondiale».

Nous verrons que le gouvernement de coalition qui avait accusé le Premier Ministre Asquith pendant la Première Guerre, en Décembre 1916 ne fit aucun effort pour arrêter les Banquiers Internationaux dans l’exécution de leurs plans, qui concernaient la Révolution Russe alors que ce gouvernement savait que leur succès entraînerait le retrait des Armées russes de la guerre. Les Sionistes de Grande-Bretagne acceptèrent le renversement du gouvernement impérial russe, nous en avons la preuve dans le fait suivant : dès que Lénine eut annoncé qu’il venait d’établir sa dictature, en Novembre 1917, Lloyd George annonça également que la politique du gouvernement britannique appuierait le Plan Rothschild pour l’établissement d’un Foyer National du Peuple Juif en Palestine. Lloyd George n’éprouvait donc aucun ressentiment vis-à-vis des Banquiers Internationaux qui avaient pourtant retiré la Russie de la guerre, pays allié de la Grande-Bretagne.

Les révolutionnaires Mencheviks dirigés par les Juifs, en Russie, avaient combattu lors de la révolution avortée de 1905. Les mêmes révolutionnaires déclenchèrent la révolution en Février 1917. Une fois de plus, ils allèrent au-devant de grands succès au cours des premières phases du coup d’état révolutionnaire. Ils constituèrent de fait un Soviet à Petersburg.

Les Banquiers Internationaux ne se soucièrent pas de qui menait ce soviet jusqu’à ce qu’il soit près du but ; mais dès qu’il fut en position de marquer, ils s’interposèrent et prirent la partie en main. Leur but était de mettre en place une Dictature Totalitaire fonctionnant selon le principe de la société anonyme.

On fit de Lénine de staline de Trotsky des «dictateur» et le soviet retourna dans les coulisses. Ensuite, on accusa la foule communiste de leurs crimes contre l’humanité…

Le 17 Juillet 1917, les Bolcheviks, sous la direction de Lénine, lancèrent une agitation anti-gouvernementale en Russie. Il en résulta un soulèvement de la population échauffée des villes, qui était composée d’ouvriers et de soldats. Cette révolte sans lendemain prit le nom de «Journées de Juillet». Kérensky fit face à la situation avec fermeté. Il fit tirer sur les foules ; plusieurs centaines de personnes furent tuées niais on restaura l’ordre. Les dirigeants Bolcheviks s’enfuirent et quelques-uns d’entre eux furent arrêtés. Lénine et Zinoviev se cachèrent à Sestroretsk. Trotsky, Kamenev et Lunatcharsky faisaient partie des révolutionnaires arrêtés. Staline qui était à cette époque rédacteur-en-chef de la «Pravda» ne fut pas malmené. Après la révolte, le Prince Lvov abdiqua et Kérensky, le «Napoléon Juif» devint Premier ministre. Kérensky, qui était un grand orateur, essaya de relancer l’enthousiasme pour l’effort de guerre parmi les soldats et les ouvriers. Toutes les tentatives oratoires de Kérensky échouèrent.

L’influence de Kérensky commença à décliner régulièrement. Lénine était affairé et convoqua le Sixième Congrès du Parti Ouvrier Social-Démocrate Russe pour le 8 Août. Ce congrès dura jusqu’au 16 Août. Il en sortit responsable des groupes révolutionnaires unifiés.

C’EST PENDANT CETTE ANNEE-LA QUE LE PARTI REVOLUTIONNAIRE UNI PRIT LE NOM DE PARTI COMMUNISTE.

Au Congrès, un comité secret se constitua et s’intitula Comité Central d’Octobre. Il comprenait 26 membres qui devaient préparer la Révolution d’Octobre, et diriger ensuite le coup d’état révolutionnaire dans toutes ses différentes phases. Staline se montra à la hauteur de la situation, et à la clôture du Congrès on l’élut au Praesidium du Sixième Congrès du Parti. Les étudiants, en leur majorité, croient qu’on n’aurait jamais remarqué Staline si de nombreux autres dirigeants révolutionnaires expérimentés n’avaient été emprisonnés.

Mais la vérité, c’est que Lénine agissait comme Agent Principal du Pouvoir Occulte qui avaient des vues sur Staline : il devait supplanter les autres à terme.

Le Comité Central, en organisant la Révolution d’Octobre, voulait devancer le Gouvernement Provisoire et en appeler à une élection générale où l’on emploierait le bulletin secret pour élire un gouvernement constitutionnel représentatif qui dirigerait l’Empire Russe. La tentative de prise du pouvoir par Lénine devait, pour réussir, être accomplie avant que l’Assemblée Constitutionnelle ne se réunisse en Janvier pour mettre au point cette élection à l’échelle de la nation. Si cette élection venait à être organisée, la population aurait des représentants au gouvernement. Il sentit qu’il serait plus difficile d’obtenir le soutien nécessaire pour le renversement d’un gouvernement du peuple que de renverser le Gouvernement Provisoire. Son raisonnement s’avéra juste.

Aussi étrange que cela puisse paraître, à la lumière des événements qui se déroulèrent par la suite, Kamenev fut libéré le 17 Août et Trotsky, un mois plus tard. Le 24 Septembre, Trotsky fut élu Président du Soviet de Petersburg à la place de Cheidze. Le 26 Septembre, le Soviet de Petersburg vota le transfert du pouvoir militaire à un Comité Révolutionnaire Militaire dirigé par Trotsky. La véritable révolution de Lénine n’était alors qu’une question de jours. Lénine démontrait ce qu’une préparation minutieuse et une précision d’horlogerie, soutenue par des moyens financiers illimités pouvaient accomplir. Il savait comment utiliser à son avantage l’élément de surprise et convainquit rapidement de nombreux dirigeants d’autres groupes révolutionnaires qu’il était l’homme de la guerre révolutionnaire. Il eut bientôt tout le monde sous sa coupe et les chefs durent obéir à ses ordres avec efficacité et sans poser de question.

Les dirigeants révolutionnaires firent circuler une rumeur qui disait que le Deuxième Congrès Pan-Russe des Soviets aurait lieu le 7 Novembre. C’était pour détourner l’attention et faire croire au grand public qu’il n’y avait aucune action révolutionnaire prévue à court terme. Le 4 Novembre, toutefois, le Comité Révolutionnaire Militaire organisa de gigantesques manifestations de masse, sorte de préparation à la véritable révolte. Le jour suivant, le 5 Novembre, la garnison de Pierre et Paul choisit de prendre le parti des Bolcheviks. Le 6 Novembre, Kérensky fit un effort désespéré pour prévenir la révolution en ordonnant l’arrestation du Comité Révolutionnaire Militaire. Il interdit toutes les publications des Bolcheviks et ordonna à des troupes fraîches de remplacer la garnison de Pierre et Paul. Mais Lénine avait trop bien organisé sa Cinquième Colonne. Les ordres de Kérensky ne furent jamais transmis. Les officiels en qui il avait confiance le laissèrent tomber.

29

Iakov Mikhaïlovitch Sverdlov

Lénine sortit discrètement de son repaire. 11 rejoignit le Comité Révolutionnaire Militaire à l’Institut Smolny dès qu’il sut l’échec des mesures contre-révolutionnaires de Kérensky. L’Institut servait de quartier général aux révolutionnaires. Le 7 Novembre à 14 heures, on donna le signal pour le déclenchement de la révolution. La nuit arrivée, Lénine avait bien en main St Petersburg. A 15 heures, il fit un discours enflammé au Soviet de Petersburg. A 21 heures, les troupes Bolcheviques assiégèrent le quartier général du Gouvernement Provisoire au Palais d’Hiver. A 23 heures, le Deuxième Congrès Pan-Russe des Soviets se réunit et les Bolcheviks s’assurèrent la majorité. Le Congrès devint ainsi le Gouvernement Officiel de la Russie. Kamenev en fut élu premier Président et Lénine, Premier ministre. Trotsky devint Commissaire aux Affaires étrangères. Le 21 Novembre, un Juif du nom de Sverdlov succéda à Kamenev. Il était dans le Parti Bolchevik depuis six mois seulement et on le considérait comme un élément de peu d’importance, mais après avoir été élu Président, il exerça rapidement un contrôle absolu sur l’économie russe.

Sverdlov était un expert financier formé dans un but particulier, en fait un agent des Banquiers Internationaux.

De nombreux événements dont on ne sut jamais l’explication se déroulèrent dans les cercles révolutionnaires. Sverdlov, qui était très jeune, mourut deux années seulement après avoir réorganisé l’économie intérieure russe. Il avait accompli sa «tâche» et il en savait beaucoup trop. En conséquence, il «mourut». L’Histoire ne fait que se répéter…

Lénine appliqua la théorie selon laquelle une organisation implacable de terreur, comportant des souffrances physiques, des angoisses mentales et une dégradation morale, représente une valeur économique précise : les Bolcheviks obtinrent en effet le contrôle absolu de Petersburg après quelques jours de batailles sanglantes qui méritent le nom de massacres universels et d’impitoyable «Terreur». Lénine ne se laissa pas griser par le succès. L’Empire Russe était grand. Il décida avec habileté que les élections programmées par le Gouvernement Provisoire auraient lieu le 25 Novembre.

Ce Gouvernement avait prévu que la convocation de l’Assemblée des représentants librement élus serait organisée par une Commission spéciale. Lénine laissa tout se dérouler selon les prévisions puis il arrêta les membres de cette Commission spéciale et lui substitua un «commissaire à l’Assemblée Constitutionnelle». La seule différence entre les deux assemblées, c’était que les Bolcheviks dirigés par Uritzky dominaient l’assemblée qu’avait constituée Lénine. Grâce à cette action, les Bolcheviks étaient en position d’exercer leur autorité sur l’Assemblée nouvellement élue, dès qu’elle serait convoquée. Lorsqu’enfin l’Assemblée fut réunie, Sverdlov prit en main les débats, bien qu’il ne fût point délégué. Les Bolcheviks eurent alors recours à des tactiques qui mettaient les délégués aux prises à un tumulte constant et instituèrent un désordre complet. Au bout d’une dizaine d’heures, tous les Bolcheviks sortirent brusquement et leurs troupes firent irruption. Elles éjectèrent les délégués qui restaient et bouclèrent les portes du bâtiment. Ce fut la fin du Gouvernement Constitutionnel en Russie.

En Mars 1918, les Bolcheviks et leur «Parti Ouvrier Social-Démocrate Russe» partirent pour Moscou, changèrent le nom de leur parti et l’intitulèrent Parti Communiste. Le Deuxième Congrès Pan-Russe des Soviets devint alors le conseil d’administration officiel.

Le Parti Social-Révolutionnaire contrôlé par des Juifs ne voulut pas de Lénine comme numéro Un en Russie. Le 30 Août 1918, deux membres Juifs de ce groupe essayèrent de l’assassiner. Lénine fut blessé et Uritzky, qu’il avait nommé chef de sa «Tchéka», fut tué. Cet incident servit de prétexte à Lénine pour supprimer ceux qui le gênaient. Il nettoya le pays à fond. Les «raids» nocturnes devinrent fréquents. Aucune personne ne savait lorsqu’elle allait se coucher si elle serait en vie le lendemain matin. «Lénine, déclare : On ne perdait pas de temps à passer au crible les faits ou à trier les personnes prises dans une rafle lors de ces raids nocturnes… Les prisonniers étaient généralement poussés dans le vieux poste de police à proximité du palais d’Hiver et fusillés». Le meurtre, la torture, les mutilations, les viols, l’incendie et tous les autres attentats à l’honneur et à la pudeur furent les pierres de touche sur lesquelles on fonda la République Socialiste Soviétique. Des millions de citoyens russes moururent. On estime que plus de 12.000.000 d’autres furent condamnés à servir l’État par les Travaux Forcés.

Seule la mort les en délivrait…

Pendant que les Alliés, exténués, combattaient le Bolchevisme sur quatre fronts, Lénine réorganisait le Mouvement Révolutionnaire Mondial. En Mars 1919, il convoqua la Troisième Internationale et la présida. Zinoviev fut élu Président. Le but de la réunion était de renforcer les partis révolutionnaires dans chaque pays du monde et de prendre des dispositions pour fournir une aide financière aux dirigeants, les conseiller et les aider en de nombreux autres points considérés comme nécessaires au succès de la Révolution Mondiale Populaire

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