Migration ; l’envers du décor

Publié le par Bernard Gasnot

Voilà l’envers du décor et ce que les européens ne savent pas

En regardant les images diffusées en boucle sur le blocage de la gare de Budapest débordée par des "réfugiés" syriens ou d'ailleurs, personne n'a vérifié, une idée s'impose: ce ne sont pas des migrants, ce sont des combattants.

Hier, une action de protestation a été organisée par des migrants-manifestants à Budapest: ils voulaient aller en Allemagne et le scandaient. Après avoir résisté comme ils ont pu, les autorités ont laissé passer la masse vers l'Allemagne, qui n'a pas manifesté une joie particulière.

C'est un groupe de combattants. De manifestants. C'est un Maïdan européen, qui va détruire l'Europe, comme le Maïdan a détruit l'Ukraine.

Maïdan dans le sens d'une technique extérieurement contrôlée de déstabilisation d'une zone par manipulation des foules et création de conflits. Alors que les médias traitent de manière uniforme ces informations sur "l'afflux de migrants qu'il faut absolument prendre en charge, on n'a pas le choix", sans analyse, sans interrogations, L'immigration est devenue une arme de déstabilisation massive, pour revenir à cette théorie développée aux Etats Unis du chaos contrôlable.

La question reste encore de savoir sur quoi cette arme doit tirer? Sur les frontières manifestement, dernier attribut de l'Etat. Sur la zone Schengen, car ces mouvements massifs de populations qui entrent en zone UE pour en ressortir et y revenir vers les pays qui les intéressent, sans avoir manifestement trop de difficultés à passer à travers des frontières fantômes, conduisent aussi à relativiser la réalité tangible des frontières européennes extérieures, au profit d'une zone floue de pays qui n'entreront pas à proprement parler dans une UE qui ne peut plus se le permettre, mais qui participent "au jeu européen".

C'est une sorte de chaos, chaos permettant un contrôle, pour un certain temps. Le temps de redistribuer les cartes d'un jeu qui est dans une impasse.

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